Effets dus à l’intolérance aux traitements Les effets secondaires dus aux antirétroviraux correspondent à des intolérances aux traitements. Les plus fréquents sont les maux de tête, les nausées et vomissements, la fatigue, la perte d’appétit, les accès de fièvre, les picotements ou brûlures aux mains et aux pieds, les diarrhées et les problèmes de peaux.
Certains effets secondaires sont mortels : Hypersensibilités cutanées ou respiratoires dues à l’abacavir (Ziagen®) ; Hypersensibilités (...)
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sexualité et séropositivité
Articles
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les effets secondaires des traitements VIH
1er mars 2000 -
VIH & SEXUALITÉ : PLUS JAMAIS SANS PLAISIR
5 décembre 2013Quand ça ne mouille pas ou que ça ne bande pas, que ça fait mal ou que ça ne jouit pas, quand ça retient ou que ça repousse, quand la « charge virale indétectable » est devenue un refrain sur les sites de rencontres. On ne peut garder le silence sur les difficultés rencontrées entre sexualité, plaisir et
séropositivité. -
Femmes, sida et sexualité : premier bilan des États généraux 2005
1er avril 2005Après le succès de l’édition 2004, Act Up-Paris, Aides, le Kiosque, le Planning familial et Sida Info Service ont organisé, le 5 mars dernier, les 2e États généraux « Femmes, sida et sexualité ».
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Transmission sexuelle du VIH : c’est quoi le risque ?
9 juin 2009sida : qui ne risque rien n’a rien
Quel que soit son statut sérologique, chacunE s’interroge sur le risque de transmission du virus du sida. Dans les débats qui traversent actuellement la prévention (notamment sur l’influence de la charge virale et l’impact des traitements), cette notion de risque et de son évaluation est centrale. Comment caractérise-t-on ce risque ? -
Sex, drug and sex : c’est la fête ?
19 décembre 2007Mercredi 19 décembre 2007 de 19 heures à 22 heures, Act Up-Paris vous invite à sa 67ème RéPI (réunion publique d’information).
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Transmission, contamination, prévention IV
31 juillet 2008Lors de l’annonce suisse du 30 janvier 2008, selon laquelle « une personne suivant un traitement antirétroviral avec une virémie entièrement supprimée ne transmet pas le VIH par voie sexuelle », nous avions réagi dans un communiqué de presse, nous reprenons ici les points essentiels.
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Transmission, contamination, prévention III
31 juillet 2008Le Docteur François Bourdillon, président de la Société Française de Santé Publique à la Pitié Salpêtrière mais aussi clinicien à l’hôpital Henri Mondor à Créteil, a abordé à partir de réflexions personnelles, que nous publions ici, les questions politiques liées à la construction et à la diffusion des messages de prévention.
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Avis du CNS sur les antirétroviraux comme moyen de prévention : un avis mesuré qui n’épuise pas la question
30 avril 2009Le Conseil National du Sida (CNS) vient de publier un avis sur l’intérêt du traitement en matière de prévention. Au regard de cet avis plutôt mesuré, les recommandations avancées par le CNS sont relativement simplistes. Cet avis confirme l’intérêt du dépistage et de la mise sous traitement pour endiguer l’épidémie à une échelle globale et réitère la prudence nécessaire quant à la transposition à l’échelle individuelle de ces données.
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sida : prévenir, pas punir
3 juin 2008Le tribunal correctionnel de Marseille vient de condamner un homme séropositif de 41 ans à trois ans de prison, dont un avec sursis, pour « administration volontaire d’une substance nuisible ayant entraîné une infirmité ou une incapacité permanente ». Nous condamnons cette décision de justice, à l’unisson de la grande majorité des acteurs et actrices de la lutte contre le sida, comme toutes les mesures visant à la pénalisation de la transmission du VIH, et finalement à celle des séropositifVEs.
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Genève – Mexico : Le chemin parcouru par les Suisse
A l’occassion de la session intitulée « HIV transmission under ART » a accueilli notamment le Dr. Bernard Hirschel et le Pr. Pietro Vernazza, nous avons dû, en tant qu’association de lutte contre le sida, recadrer très rapidement ce discours pour expliquer que de telles annonces, aussi réjouissantes soient-elles pour l’ensemble des séropositifVEs et leurs partenaires, se faisaient dans un cadre médical strict, où l’observance étaient de rigueur, et que, malgré tout, le risque de transmission n’était pas nul.