Aujourd’hui une dizaine de militantEs trans’ d’Act Up-Paris et du Groupe Activiste Trans’ ont investi et occupé les locaux du PS, rue de Solférino à Paris. Ils entendaient manifester leur colère face à la surdité du principal parti d’opposition concernant la situation des trans’ en France. L’Espagne de Zapatero et l’Allemagne de Schroeder ont su faire avancer leurs législations. Pourquoi le PS français se montre-t-il incapable de comprendre la réalité de nos vies ?
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dépsychiatrisation des Trans’
Articles
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Le Parti socialiste doit cesser d’ignorer les trans’
14 février 2006 -
La Haute autorité de santé a reçu les Trans’. Méfiance
21 novembre 2006La coordination Existrans, dont Act Up-Paris est membre, a participé lundi 20 novembre à une réunion avec la Haute autorité de santé (HAS).
Cette réunion fait suite à une première qui avait été organisée par l’ANAES le 27 septembre 2004 pour évaluer les « protocoles de soins » mis en place il y a maintenant trente ans et qui ont été imposés, au mépris de la législation en vigueur, par une équipe médicale avec pour seule validation celle du Conseil national de l’Ordre des médecins. -
Trans’ : vers la liberté, mais quand ?
1er juin 2010Le 17 mai dernier la France annonçait qu’elle plaidait en faveur d’un retrait de la transidentité de la liste des maladies mentales de l’OMS. Le même jour la ministère de la Santé annonce qu’elle souhaitait retirer les transidentités de la liste des ALD. A cette annonce de une « dépsychiatrisation » des Trans’, les associations ont fait une mise au point.
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Bilan de la situation début 2005
1er février 2005Malgré de multiples interpellations du gouvernement sur la situation des trans (transsexuelLEs et transgenres), les pouvoirs publics ont donc catégoriquement refusé (malgré des promesses verbales) d’inscrire la transphobie dans la liste des délits et des discriminations.
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Résolutions de l’Assemblée Générale des personnes trans
26 avril 2010L’Assemblée Générale des Trans à l’initiative de l’association OUTrans a réuni ce dimanche 25 avril 2010 une cinquantaine de participantEs et une trentaine d’individu-e-s.
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Sida : les trans en première ligne
10 octobre 2009En Italie les premières études de séroprévalence au VIH chez les trans remontent à 1991. Aux USA c’est 1992. En France, les spécialistes autoproclaméEs de la question se sont bien gardéEs d’écrire la moindre ligne à ce sujet. On n’entend parler de VIH/sida que lorsque des personnes sont refusées par les équipes hospitalières pour cause de séropositivité. Les mêmes psys des parcours protocolaires hospitaliers qui refusent aux trans la libre disposition de leur corps et de leur identité (...)
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Assez de la disphorie de genre : nous ne sommes pas malades !
4 octobre 2007Appel des activistes trans à manifester pour la lutte transgenre, transsexuelLE et interssexuelLE et contre la psychiatrisation. Dimanche 7 octobre à Barcelone et samedi 6 octobre à Paris pour l’Existrans
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Trans et sida : la psychiatrisation tue
5 octobre 2007Act Up-Paris participe à la 11e Existrans - la manifestation des trans et de celles et ceux qui les soutiennent - samedi 6 octobre, de Châtelet à République.
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Oui, les conséquences des discours et des pratiques psychiatriques sur les personnes transgenres peuvent et doivent être dénoncées
28 février 2008En juin 2005, Act Up-Paris diffusait un texte dénonçant les discours de la psychiatre Colette Chiland, spécialiste autoproclamée du transexualisme. Cette dernière a porté plainte pour diffamation. Le président de l’époque a été mis en examen et jugé. Il a été condamné le 28 juin 2007 pour diffamation à 500 euros d’amende avec sursis et un euro de dommages et intérêts. Il a fait appel de cette décision ; l’audience de plaidoirie se tiendra le 28 février 2008. A cette occasion, nous lançons une pétition pour la reconnaissance des discriminations transphobes et pour la dépsychiatrisation. A signer en ligne.
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Trans dépsychiatriséEs : on aimerait bien.
18 mai 2009Roselyne Bachelot-Narquin a annoncé la déclassification de la
transidentité de la liste des « affections psychiatriques de longue
durée ». Cette appellation entrait dans le cadre de la grille de
remboursements de la Sécurité Sociale, mais n’a rien à voir avec le
parcours de transition.