L’enquête PREVAGAY avait déjà montré que, parmi les gays fréquentant les bars parisiens, une personne sur six était infectée par le VIH et 20 % ignoraient leur statut sérologique. Depuis, des données d’incidence particulièrement dramatiques ont été publiées à partir de cette étude. Ces
chiffres sont tellement effarants que personne n’a pu les commenter.
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pratiques safe / pratiques à risques
Articles
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La moitié des gays contaminés en 2015 ?
1er juin 2010 -
Prévention : contre-exposé
30 novembre 2003A Act Up-Paris, les militantEs ont une vie sexuelle très active et nous rencontrons de nombreuxSES partenaires. Malheureusement, la prévention ne semble plus une évidence et nous devons de plus en plus souvent imposer le port de la capote. Pendant ce temps, les contaminations reprennent de plus belle dans notre communauté. Voici donc une liste des idées reçues sur le sida et la prévention, chacune accompagnées d’un contre-argumentaire :
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Ne rien dire, ne rien voir, ne rien entendre
1/5 : ce serait la part d’homosexuels touchés par le VIH en France. Alors que les gays sont censés être les mieux informés parmi la population, quel paradoxe nous conduit aujourd’hui à de tels chiffres, 25 ans après le début de l’épidémie ? Portrait d’un serpent qui se mord la queue...
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Chroniques de Mexico (2) : avant l’ouverture
3 août 2008Où le travail commence sur les chapeaux de roue, où on parle de médicaments pour enfants et de sexe multipartenaire.
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NoKpote = infections sexuellement transmissibles
14 juin 2004Les infections sexuellement transmissibles (IST) sont en pleine recrudescence en France. Cette réapparition des IST est préoccupante car elle indique que le risque de transmission du VIH est aussi augmenté, notamment chez les gays.
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Le sida c’est maintenant, prévention c’est urgent
Dès sa création en 1989, Act Up-Paris a dénoncé, par la contestation et l’action, le sempiternel retard pris par la France en matière de prévention. Originellement issuEs de la communauté gay, et premierEs à avoir été touchéEs par l’épidémie, nous ne pouvons tolérer le peu de mobilisation des pouvoirs publics face au nombre de nouvelles contaminations qui ont lieu chaque année.
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Rencontre avec les IST
4 juin 2015Même si le déploiement du concept de santé sexuelle semble très en vogue actuellement, les préoccupations en matière de santé sexuelle n’ont pas commencé avec le sida mais bien avant. Dans les années 70, avec la syphilis, l’hépatite B était au premier rang des préoccupations des gays et a servi, bien avant le sida, à concrétiser les règles du safer sex qui se sont répandues dans les années 80 pour se protéger de la transmission du VIH.
Ces règles ont permis la quasi disparition des (…) -
Baiser sans capote c’est aussi risquer l’hépatite C
1er juin 2010Alors que le risque de transmission sexuelle de l’hépatite C chez les gays est identifié depuis plusieurs années, l’INPES publie enfin, en 2010, une brochure d’information.
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Ceci est une pipe
15 juin 2004En octobre 1991, une étude menée à San Francisco alertait sur le fait que la fellation présentait un risque de transmission au VIH. Elle mettait en évidence que plusieurs pédés qui n’avaient pas pratiqué de pénétration anale mais seulement des fellations avaient été contaminés.
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Le poids des primo-infections dans l’épidémie chez les gays
L’infectiosité d’une personne récemment infectée est très élevée les premiers mois qui suivent sa contamination. Ignorant souvent encore qu’ils viennent d’être contaminés, ces nouveaux séropositifs ne modifient pas nécessairement leur comportement sexuel pour adopter des pratiques safe.