Face à la réalité de la pandémie et à son ampleur dans le monde, nous appelons l’industrie du X à plus de responsabilité.
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bareback, relapse
Articles
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sida : porno sans capote, danger assuré
23 juin 2006 -
Surcontamination, « une seconde chance pour mourir plus vite »
15 juin 2005Mercredi 15 juin 2005 de 19 à 22 heures, Act Up-Paris vous invite à sa 54ème RéPI (Réunion Publique d’Informations).
Depuis la fin des années 90, Act Up a alerté sur le risque de surinfection que prennent les séropos ayant des rapports non protégés. Depuis 2002, une série d’études ont confirmé nos alertes et justifié nos interpellations des autorités sanitaires. La surinfection a des conséquences d’une part dans la prise en charge des séropos qui encourent un risque d’évoluer plus (…) -
Edito
, par Emmanuelle CosseDepuis 15 jours, quelques personnes collent dans le Marais un texte intitulé " Les grenades sexuelles dégoupillent ", signé " un groupe d’anciens sympathisants et adhérents d’Act Up-Paris ". En 20 lignes, ce texte prétend analyser les positions d’Act Up en matière de prévention... Notre discours est certainement difficile à entendre, mais nous ne lâcherons pas. Et c’est justement parce que nous avons ce courage, et parce que nous menons une guerre, que cette année, nous nous attaquons à la propriété intellectuelle et aux brevets.
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Thierry Ardisson complice du sida
11 avril 2003Dans la soirée du jeudi 10 avril, une vingtaine de militants d’Act Up-Paris ont interrompu l’enregistrement de l’émission Tout le monde en parle. Ils ont zappé Thierry Ardisson.
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Lutter contre le bareback, c’est aussi lutter contre la pénalisation
La force de notre combat contre la pénalisation tient sans doute à notre intransigeance à l’égard du sexe à risque. Le bareback donne des arguments aux tenants de la pénalisation. Celle-ci n’est pas pour autant une solution aux prises de risque sexuelles.
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Le bareback prosélyte fait son come back
En novembre 2008, Act Up-Paris a interpellé Aides sur l’organisation « d’ateliers bareback » dans ses locaux en demandant à l’association de clarifier sa position. Notre courrier aura pour le moins été efficace puisqu’il a forcé Aides à sortir de l’ambiguïté dans laquelle étaient organisés ces ateliers. Nous aurions donc pu nous satisfaire de cette clarification en comptant sur Aides pour que ces ateliers s’inscrivent dans une démarche de lutte contre le sida et de santé publique…
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FierEs d’en mettre
1er juin 2011Il y a trente ans, apparaissaient les premiers cas de sida. Premiers touchés, les gays ont connu des années lugubres à se dire que les cimetières ne seraient pas assez grands pour tous leurs amis et amants. Le “cancer gay”, comme il fut d’abord nommé, s’est ensuite répandu, tout en restant surreprésenté dans certaines communautés : gays, usagèrEs de drogues, trans, étrangerEs, travailleurSEs du sexe, détenuEs, notamment. Mais les gays font figure d’exception : les dernières données (…)
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Edito
, par Emmanuelle CosseSi nos commentateurs veulent voir dans l’élection d’une femme séronégative et héterosexuelle à la présidence, un signe de changement structurel et politique d’Act Up, c’est leur choix. Ce n’est pas le nôtre.
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Baiser sans capote c’est aussi risquer l’hépatite C
1er juin 2010Alors que le risque de transmission sexuelle de l’hépatite C chez les gays est identifié depuis plusieurs années, l’INPES publie enfin, en 2010, une brochure d’information.
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Les raisons d’un zap
23 avril 2003, par Victoire PatouillardLes éditions Blanche ont publié en janvier 2003 « Serial Fucker, journal d’un barebacker », un livre d’Éric Rémès qui lance un appel à la contamination des militants d’Act Up-Paris. Vendredi 11 avril, en réaction à la publication de ce livre, douze militants d’Act Up Paris ont zappé le bureau du directeur des éditions. Au moment où se confirme la reprise de l’épidémie de sida, il choisit de publier un livre sur le bareback, discours qui valorise les pratiques à risques...