A l’occasion de la publication du dernier rapport du Conseil National du Sida, du 21 juin 2001, intitulé « Les risques liés aux usages de drogues comme enjeu de santé publique ». Pour la commission Drogues & Usages d’Act Up-Paris, il s’agit avant tout d’un outil de réflexion dans la perspective d’une abrogation de la loi du 31 décembre 1970.
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réduction des risques liés aux drogues
Articles
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pour une abrogation de la loi de 70
26 septembre 2001 -
Les conventions internationales sur les stupéfiants n’interdisent pas les salles d’injection supervisées !
26 janvier 2011Ce mercredi à 18h15, la mission d’information parlementaire sur la toxicomanie auditionne Marc Moinard, expert auprès de l’Organisation Internationale de Contrôle des Stupéfiants (OICS). A cette occasion, le collectif du 19 mai tient à clarifier la position négative de l’OICS sur les centres d’injection supervisée, principal argument contre les centres d’injection supervisée avancé par la MILDT et l’Académie de médecine.
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Réduction des risques
Ecoutons les pourfendeurs du « dogme de la capote ». Ils prétendent s’adresser au pédé qui a abandonné la capote en lui envoyant un message préventif « individualisé », lequel tiendrait compte de ses pratiques. Qu’en est-il vraiment ?
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Apaire à la tête de la MILDT : la fin de la réduction des risques liés à l’usage de drogues ?
30 août 2007La nomination du nouveau président de la MILDT n’augure rien qui vaille dans la politique menée à l’avenir en termes de réduction des risques et de soutien aux usagerEs de drogues.
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Réduire les risques, c’est légaliser
En avril 2000, sur l’île de Jersey, la 11ème conférence internationale sur la réduction des risques liés à l’usage de drogues n’a cessé de tourner en rond - autour de l’obstacle de la prohibition.
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ONU : l’Etat et les associations remettent un rapport commun sur la politique française de lutte contre le sida
9 juin 2008Mardi 10 juin 2008 s’ouvre à New York la réunion annuelle des Nations Unies sur le respect des engagements pris en 2001 contre la pandémie du VIH/sida. A cette occasion, l’ONU publie chaque année un rapport sur les avancées réalisées - ou non - par chaque pays. Pour la première fois pour la France, ce rapport remis par les pouvoirs publics fait une place aux constats et aux recommandations portés par les associations françaises (AIDES, Act Up-Paris et le Planning familial).
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Les laboratoires Schering-Plough sacrifient les malades à leur logique commerciale
6 novembre 1998Aujourd’hui 6 novembre, 40 militants d’Act Up-Paris se sont rendus à l’usine de Hérouville Saint Clair (banlieue nord de Caen) et bloquent depuis 7 h du matin, toute la production ainsi que l’accès à l’unité de fabrication des médicaments du laboratoire.
Depuis 1996, Schering Plough prospère en France grâce au marché que lui offre la prohibition des drogues : 150 000 à 200 000 usagers de drogues par voie intraveineuse constituent le réservoir d’utilisateurs potentiels de ses produits. (...) -
Cannabis médical et VIH : je ne me drogue pas, je me soigne
15 décembre 2010Depuis la nuit des temps, le cannabis est utilisé pour apaiser ou soigner les malades. Cette pratique a été oubliée et le cannabis est devenu une drogue dont seuls les effets psychotropes ont été retenus. Aujourd’hui, la communauté scientifique revient sur cet oubli et le cannabis est à nouveau inscrit dans la pharmacopée, en tout cas dans certains pays.
Alors même que le cannabis peut avoir des effets extrêmement positifs sur les personnes vivant avec le VIH, la France accuse un retard dans ce domaine.
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Drogues : information ou flicage, la MILDT sait-elle encore où elle en est ?
Cet été la MILDT, en partenariat avec le CFES, diffusait une campagne d’information destinée à sensibiliser les « adultes » aux problèmes de drogues des « enfants ». Sous le prétexte d’un dialogue bienfaiteur, le slogan annonce aux premiers « il n’y a pas de meilleure influence que la vôtre ».
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Répression de la politique de substitution : Non contente de s’acharner sur les usagers de " drogues ", la justice s’en prend aux médecins
5 juillet 1999Un médecin généraliste de Nemours a été placée sous contrôle judiciaire par un juge d’instruction de Fontainebleau pour " facilitation de l’usage de produits stupéfiants (Subutex®)".