UNODC blocks actions of prevention and harm reduction. Act Up-Paris and other activists protested about the consequences of its criminal deadly policy : stigmatizations, emprisonment, repression. Leading to a lack of prevention and treatment, new contaminations and deathes. UNODC must stop the war on drugs.
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répression de l’usage de drogues
Articles
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UNODC : War against drugs is war againt drug users
22 juillet 2010 -
L’OICS, ennemi de la réduction des risques !
2 mars 2011Marc Moinard, expert auprès de l’Organisation Internationale de Contrôle des Stupéfiants (OICS) présente aujourd’hui à Paris le rapport de l’OICS 2010. Depuis sa création, l’OICS a été le moteur de la guerre internationale contre les droguéEs. Pourquoi cette année serait-elle différente ?
L’OICS ne s’intéresse pas aux autres priorités de l’ONU telles que la lutte contre la pandémie VIH. Il a pris de nombreuses positions contre la réduction des risques ou cautionnant des politiques mortelles pour les usagerEs de drogues. -
RdR Drogues & Moyen-orient
1er février 2011Cette année encore, l’IHRA (International Harm Reduction Association) a choisi un pays symbolique pour organiser la conférence internationale de réduction des risques (RdR) liés à l’usage de drogues : le Liban.
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Un hiver de faux espoirs
1er février 2005Le 7 septembre 2004, 126 toxicomanes étaient évacuéEs par la police d’un bâtiment de la SNCF occupé depuis plus d’un an (lire Action n° 95). Chose exceptionnelle, et malgré les pressions exercées par la préfecture pour que l’événement reste discret, l’expulsion se déroule en présence d’une dizaine de journalistes alertéEs par Act Up-Paris. De nombreuses associations spécialisées sont présentes, qui garantissent le calme et offrent du café chaud, au petit matin.
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Sans bâton, tambour ni trompette
9 septembre 2004, par Éric LabbéLe quartier de Stalingrad est l’un des trois ou quatre principaux lieux parisiens du trafic de crack. Du fait de sa réputation, de son délabrement urbanistique, de sa proximité avec les gares et le périphérique, il restera sans doute un point de deal important pendant de nombreuses années. Les usagers de drogues qui viennent y acheter leurs produits sont généralement des personnes extrêmement précarisées, souvent sans papiers, sans revenu, sans abri et dans des situations sanitaires des plus préoccupantes. Ils sont en danger, constamment : face au sida, aux hépatites, au froid, à la violence de la rue, à la violence de la police. Pour tenter de répondre à cette situation, deux logiques s’affrontent, sur le fond et sur la forme, parmi ses habitants.
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Drogues : ouvrons les yeux
1er novembre 2009Ce n’est pas en emprisonnant les usagèrEs qu’on luttera contre les drogues. Act Up-Paris défend une approche dépassionnée et des actions innovantes comme l’ouverture de salles de conso ou la délivrance d’héroïne médicalisée.
« Drogues : ne fermons pas les yeux » : la dernière campagne de l’Institut national de prévention et d’éducation à la santé (INPES) et de la Mission interministérielle de lutte contre la drogue et la toxicomanie (MILDT) nous ramène aux années 80. Rien d’étonnant. Le (...) -
To reduce risks is to legalize
In April 2000, on the island of Jersey, the 11th international conference on the reduction of risks from drug use never stopped turning in circles around the obstacle of prohibition.
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Santé répression
Le slogan choisi par Act Up-Paris pour la manifestation du 1er décembre 1997 (voir ci-dessus), est explicite. En effet, des textes légaux ou réglementaires condamnent certaines personnes à la clandestinité, et les exposent ainsi à plus de risques sanitaires, dont ceux liés au VIH ou aux hépatites virales.
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Dissimulation versus Prévention, Répression versus Vie
1er octobre 2004Le 23 août dernier à Marseille, un homme et une femme sont morts des suites d’une embolie pulmonaire vraisemblablement causée par un « cocktail de drogues » alliant (au moins) alcool, ecstasy et cocaïne.
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Débat toxicophobe à l’Assemblée
1er juin 2005La toxicomanie est un sujet complexe et délicat qui demande beaucoup de pragmatisme. C’est ce qu’ont bien compris ces députéEs de l’UMP qui ont organisé un débat à l’Assemblée nationale le 14 avril dernier. Emmenée par les plus réactionnaires, l’hystérie toxiphobe n’avait pas de contradicteurRICEs : aucunE VertE, un seul député PS, Gérard Bapt, et une PC, Muguette Jacquaint. Rarement on aura entendu une telle accumulation de bêtises et de mensonges en une seule séance de l’Assemblée nationale. Rarement également, on aura vu ces mensonges englués dans tant de bons sentiments et de paternalisme mielleux : l’expression « nos enfants » aura été utilisé 8 fois, « notre jeunesse » 5 fois, « nos jeunes » (un must) 2 fois.