Act Up-Paris demande la révision du procès de Philippe Mangeot
La cour d’appel vient de confirmer la condamnation de Philippe Mangeot, président d’Act Up-Paris, a 30 000 francs d’amende pour infraction à la législation sur les stupéfiants. La justice lui impute la responsabilité d’un tract, distribué par Act Up-Paris en août 1997, intitulé " J’aime l’extasy ".
Il s’agit là non seulement d’un jugement idéologique, mais d’une manipulation judiciaire :
1. Un jugement idéologique. On se (…)
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loi de 1970
Articles
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Drogues : l’idéologie rend sourd
8 décembre 1998 -
To reduce risks is to legalize
In April 2000, on the island of Jersey, the 11th international conference on the reduction of risks from drug use never stopped turning in circles around the obstacle of prohibition.
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AG des drogues (et de ceux qui les aiment)
Cette AG avait avant tout un objectif : redonner la parole aux usagers de drogues pour échapper aux discours des experts et des pouvoirs publics qui ne les considèrent que comme malades ou comme délinquants. Les débats ont ainsi permis de faire le point sur la loi de 1970 et sa logique prohibitive pour envisager à partir des positionnements de chacun des stratégies d’action.
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Libé et les drogues : le goût du sens commun
La dépénalisation du cannabis ne nous intéresse pas. Au sens où elle n’a pas besoin de nous pour se faire. Au sens où elle est aussi évidemment indispensable qu’évidemment insuffisante. Libération, a pourtant décidé que le cannabis nous obsdédait.
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Drogues : information ou flicage, la MILDT sait-elle encore où elle en est ?
Cet été la MILDT, en partenariat avec le CFES, diffusait une campagne d’information destinée à sensibiliser les « adultes » aux problèmes de drogues des « enfants ». Sous le prétexte d’un dialogue bienfaiteur, le slogan annonce aux premiers « il n’y a pas de meilleure influence que la vôtre ».
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ni délinquants, ni malades
14 août 2000, par Aude Lalande, Gérald SanchezFin juin, des médecins et pharmaciens de Montpellier étaient mis en examen pour « facilitation d’usage de stupéfiants » - à savoir, pour avoir prescrit ou délivré du sulfate de morphine dans le cadre de traitements de substitution.
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Septembre aux abois
1er octobre 2003De la traçablitié des mangeurSEs de drogues au procès psychédélique de Techno Plus.
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Réduire les risques, c’est légaliser
En avril 2000, sur l’île de Jersey, la 11ème conférence internationale sur la réduction des risques liés à l’usage de drogues n’a cessé de tourner en rond - autour de l’obstacle de la prohibition.
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70 millions d’années après
30 décembre 2000Loi du 31 décembre 1970 : 30 ans de trop
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Apaire à la tête de la MILDT : la fin de la réduction des risques liés à l’usage de drogues ?
30 août 2007La nomination du nouveau président de la MILDT n’augure rien qui vaille dans la politique menée à l’avenir en termes de réduction des risques et de soutien aux usagerEs de drogues.