Le 20 mai 1983, il y a tout juste 25 ans, un article de Sciences annonçait la découverte d’un nouveau virus, plus tard appelé VIH, et responsable de l’épidémie de sida. Etant donné l’avenir promis à la recherche publique en France et l’accès au traitement dans le monde, nous n’avons aucune raison de fêter cet anniversaire.
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programmes d’accès aux traitements
Articles
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25 ans de sida : faute de budgets publics alloués à la recherche en France, on n’y découvrirait plus le VIH aujourd’hui
20 mai 2008 -
Le tour de la planète
Du 25 au 28 février dernier, deux membres de la commission Traitements & Recherche d’Act Up-Paris ont suivi la 14ème Conférence sur les rétrovirus et les infections opportunistes (CROI). Entre recherche fondamentale et résultats d’études cliniques, cette conférence fut dense et notre compte-rendu ne pourra être exhaustif.
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Cameroun : précieux bilans
14 février 2008Le 8 janvier dernier, le Comité National de Lutte contre le Sida du Cameroun émettait une circulaire auprès des centres de prise en charge des malades du sida de tout le pays. La mobilisation nationale et internationale a eu raison de ce grand pas en arrière.
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VIH/sida en RDC : il faut sauver 1 million de vies !
26 juillet 2012La situation du VIH/sida en République Démocratique du Congo invite à la mobilisation la plus large, afin que soit réalisé l’objectif d’accès universel aux traitements et aux soins à l’échéance de 2015
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Campagne de demande de traitements
Dans certains pays, 1 personne sur 4 est contaminée. Mais pratiquement aucune n’a accès à des soins médicaux.
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Act Up Fight back ! De Paris à Lusaka
1er juin 2010La Zambie est un pays d’Afrique australe, dans une région où la pandémie a le plus explosé au monde. L’espérance de vie y est de 39 ans et la prévalence à VIH de 16%. Ce taux a longtemps avoisiné les 30 % : les décès liés au sida ont été si massifs qu’ils ont fait chuter la séroprévalence !
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Les pays riches comptent leurs sous, les pays pauvres comptent leurs morts
L’Onusida estime que le nombre de personnes vivant avec le VIH s’élèvera à 33 millions fin 2009. À cette même date, au moins 70 % des personnes qui auraient besoin d’un traitement n’y auront pas accès. Les premiers responsables ? Les grands laboratoires de marques, qui imposent des prix exorbitants et s’opposent à la concurrence des génériques, mais aussi les pays riches, parmi lesquels la France, dont les contributions financières à la lutte contre le sida dans les pays du Sud restent totalement insuffisantes, et qui font pression pour que les pays pauvres n’aient pas recours aux médicaments génériques.
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Mali
23 septembre 2002Sur l’exemple de l’Initiative Sénégalaise d’Accès aux Antirétroviraux, le Mali a lancé l’Initiative Sénégalaise d’Accès aux Antirétroviraux (IMAARV) en septembre 2001. Un an après, le programme compte aujourd’hui 274 patients dont 47 enfants.
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Lait en poudre et poudre aux yeux
A première vue, ce qu’a financé le Fond de Solidarité Thérapeutique International (FSTI) en Côte d’Ivoire ne mérite guère qu’on s’y attarde : ce qui devait être le fer de lance de l’accès aux antirétroviraux en Afrique ressemble plus à un programme d’accès au lait en poudre.
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Prise de conscience à la Banque ?
Un an a passé depuis les premières frictions entre Act Up-Paris et les représentants de la Banque mondiale à Abidjan lors de la conférence sur le sida en Afrique.