Le 23 octobre à 9h, la Coordination nationale des sans-papiers, soutenue par Act Up-Paris et d’autres organisations engagées dans le combat des sans-papiers, ont investi les locaux de la préfecture de Melun.
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Articles
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rétention de sans-papiers : cela arrive aussi à Melun
23 octobre 1997 -
Le droit au séjour pour raison médicale
1er avril 2010L’Article L.313-11 du CESEDA énumère les différentes catégories d’étrangèrEs à qui les préfectures sont dans l’obligation de délivrer une Carte de séjour temporaire vie privée et familiale (CST), sous réserve qu’ils/elles ne menacent pas l’ordre public. Les malades étrangèrEs résidant de fait en France et « dont l’état de santé nécessite une prise en charge médicale dont le défaut pourrait entraîner pour lui des conséquences d’une exceptionnelle gravité, sous réserve qu’il ne puisse effectivement bénéficier d’un traitement approprié dans le pays dont il est originaire » forment la onzième catégorie.
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Ensemble contre le racisme et le fascisme. L’égalité ou rien !
2 mars 2015Act Up-Paris est signataire de l’appel à manifester le 21 mars 2015 contre le racisme. Les expulsions tuent !
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Act Up-Paris soutient la révolte des sans-papierEs dans les centres de rétention
3 janvier 2008Nous, malades du sida, soutenons le mouvement des sans-papierEs qui se révoltent depuis mi-décembre dans les centre de rétention de Vincennes et du Mesnil-Amelot. C’est pourquoi une délégation d’Act Up-Paris participera aux manifestations du 3 et du 5 janvier devant le Centre de rétention de Vincennes.
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plus de promesse électorale, régularisez maintenant !
7 février 2002Depuis 1996, les gouvernements successifs n’apportent pas les réponses attendues aux revendications de la Lutte des Sans Papiers. Toutes les régularisations obtenues ont été arrachées par la lutte.
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Les mesures d’expulsion
1er avril 2010Les mesures d’expulsion au sens strict du terme (AME et APE, arrêtés ministériels et préfectoraux d’expulsion, et ITF, interdiction du territoire français) diffèrent, dans leurs effets, des mesures d’éloignement. Non seulement elles permettent le renvoi forcé, mais une fois exécutées, elles interdisent l’entrée sur le territoire français, temporairement ou définitivement. Les malades étrangers remplissant les conditions de délivrance d’un titre de séjour pour raison médicale sont protégés de ces mesures (sauf situation exceptionnelle).