Comment me faire dépister sans informer mon entourage ? Ai-je le droit de donner mon avis ? Le/la médecin doit-il/elle suivre les indications de mes parents ? Que faire si j’estime que l’attitude de mes parents est dangereuse pour ma santé ? Peut-on me refuser des soins ou des vaccins en raison de mon âge et de ma séropositivité ? Que faire si je ne veux pas informer mes parents de ma séropositivité ? Comment payer mes soins ? Et si je veux assumer ma vie pleinement avant ma majorité ?
Accueil > Mots-clés > Guide des droits sociaux > secret médical
secret médical
Articles
-
Les mineurEs et l’accès aux soins
1er avril 2010 -
L’embauche
Malgrè les effets de la crise, il est possible aujourd’hui de trouver un emploi. La question de la séropositivité lié au travail peut se poser dès lors que l’on passe un entretien d’embauche. Que faut-il savoir ? Que dire ? Pourquoi ne pas dire ?
-
Le secret médical
1er février 2010Un droit inaliénable.
Le secret médical renvoie au principe du respect de la personne et de sa vie privée. Il est également à la base d’une relation de confiance entre le/la malade et son médecin. Toute personne prise en charge par unE professionnelLE, un établissement, un réseau de santé ou tout autre organisme participant à la prévention et aux soins a droit au respect de sa vie privée et du secret des informations la concernant. Les exceptions sont les seuls cas prévus par la loi.
-
Projet de loi Dati sur la rétention de sûreté : Act Up-Paris dénonce la remise en cause du secret médical en prison
7 janvier 2008L’Assemblée Nationale s’apprête à examiner, ce mardi, en première lecture, le projet de loi de Rachida Dati relatif à la rétention de sûreté et à la déclaration d’irresponsabilité pénale pour cause de trouble mental. Act Up-Paris dénonce cette mesure de rétention intervenant après qu’une peine de prison a été purgée, sans qu’aucune infraction n’ait été commise, et sur la simple base d’une expertise psychiatrique cherchant à évaluer " la dangerosité d’un individu ".
-
Le cabinet Condorcet, à Eaubonne (95) refuse de soigner les malades du sida
22 janvier 1999Le 22 janvier 1999, une dizaine de militants de l’association Act Up-Paris se sont rendus au cabinet d’infirmier Condorcet, situé à Eaubonne (95) pour dénoncer l’attitude discriminatoire d’un des infirmiers de ce cabinet.
-
Faut-il révéler votre séropositivité à la médecine du travail ?
1er avril 2010Voir la partie consacrée au milieu du travail
-
Séropositivité et droit du travail (I)
En matière de droit du travail, la législation actuelle ne tient pas assez compte des problèmes spécifiques des personnes atteintes d’une pathologie grave comme le VIH.
-
Secret médical en détention : Rachida Dati coupable, Roselyne Bachelot-Narquin complice.
14 février 2008Le 20 Août 2007, Rachida Dati, surfant sur l’émotion de l’opinion publique et prenant prétexte de la récidive d’un pédophile quelques jours après sa sortie, déclarait au journal télévisé de France 2 que « l’Administration Pénitentiaire [devrait] avoir accès au dossier médical de la même manière que les médecins [devraient] avoir accès au dossier pénitentiaire », tout en se gardant bien de préciser qu’un médecin de l’Unité de Consultations et de Soins Pénitentiaire (UCSA) avait prescrit au détenu un stimulant sexuel quelques jours avant sa libération.
-
discriminations et viols en milieu carcéral
24 janvier 2002L’Administration Pénitentiaire est irresponsable et criminelle. M X et M Y témoignent de leur vie en milieu carcéral. M Y est incarcéré dans une maison d’arrêt du nord de la France depuis quelques mois.
-
Dossier médical informatisé : le patient doit rester maître du partage de l’information sans être pénalisé
25 juillet 2004Dans le cadre du projet de loi relatif à l’assurance maladie actuellement soumis au Parlement, le gouvernement prévoit la mise en place d’un dossier médical personnel, unique, à visée exhaustive, informatisé et accessible par des moyens électroniques. Le dossier de chaque assuré serait identifié au moyen d’un numéro dérivé du numéro de sécurité sociale. L’accès à ce dossier de tous les praticiens de santé consultés par le patient conditionnerait le remboursement des actes et prestations.