Comment me faire dépister sans informer mon entourage ? Ai-je le droit de donner mon avis ? Le/la médecin doit-il/elle suivre les indications de mes parents ? Que faire si j’estime que l’attitude de mes parents est dangereuse pour ma santé ? Peut-on me refuser des soins ou des vaccins en raison de mon âge et de ma séropositivité ? Que faire si je ne veux pas informer mes parents de ma séropositivité ? Comment payer mes soins ? Et si je veux assumer ma vie pleinement avant ma majorité ?
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accès aux soins
Articles
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Les mineurEs et l’accès aux soins
1er avril 2010 -
Le silence du Conseil National de l’Ordre des médecins
5 février 2003Par son silence approbateur, le Conseil National de l’Ordre des médecins collabore à une politique ouvertement discriminatoire et xénophobe.
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Pour faire des économies, J-F. Mattéi est-il prêt à tuer des étrangers malades ?
19 décembre 2002Aujourd’hui une quinzaine de militants ont décidé d’occuper le ministère de la santé pour protester contre cette inertie.
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La personne de confiance
1er avril 2010À l’occasion d’une hospitalisation, toute personne majeure peut désigner une personne de confiance qui peut être unE parent, unE proche ou unE médecin traitantE. La personne de confiance sera consultée au cas où le/la malade est hors d’état d’exprimer sa volonté et de recevoir l’information nécessaire à cette fin. La désignation se fait par écrit et peut être révoquée à tout moment (Article L. 1111-6 CSP).
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Continuité des soins
1er avril 2010La continuité des soins aux malades est assurée, quelles que soient les circonstances. Lorsqu’unE médecin se dégage de sa mission de soins pour des raisons professionnelles ou personnelles, il/elle doit indiquer le confrère/la consoeur auquel les malades pourront s’adresser en son absence et informer le conseil départemental de l’ordre de ses absences programmées dans les conditions et selon les modalités définies par décret (Article L. 6315-1 du Code de Santé Publique).
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Le secret médical et l’accès aux soins et aux traitements
1er avril 2010Même en détention, le secret médical s’impose à toute personne intervenant dans votre suivi médical. En réalité, ce secret n’est pas respecté, en particulier lorsque l’accès aux dossiers médicaux est rendu possible au personnel de surveillance, ou que ce dernier ou certainEs prisonnièrEs participent à la distribution des médicaments.
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La substitution aux opiacés
1er avril 2010Un traitement de substitution consiste à prescrire des substances pharmaceutiques dont l’activité pharmacologique est similaire à celles des drogues addictives, en restant efficace autant que possible sur de longues durées.
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Le consentement éclairé
1er avril 2010Aucun acte médical ni traitement ne peut être pratiqué sans le consentement libre et éclairé de la personne. L’obligation d’information évoquée précédemment doit vous permettre de donner votre consentement libre et éclairé aux soins proposés. Il vous appartient donc de prendre, avec l’aide du/de la médecin, toutes les décisions qui concernent votre santé. Le consentement doit être libre : il ne doit pas avoir été obtenu sous la contrainte, et renouvelé pour tout acte médical. Il doit être (…)
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Nouveaux décrets sur l’Aide médicale d’état : un autoritarisme assassin
29 juillet 2005Le gouvernement Villepin a publié aujourd’hui au Journal Officiel deux décrets restreignant l’accès à l’Aide médicale d’état. Alors qu’elles sont déjà exclues d’une couverture maladie faussement universelle, les personnes vivant en France sans titre de séjour sont à nouveau la cible d’une politique d’exclusion des soins aussi absurde que violente. Politique que la CNAM avait déjà sanctionnée par un avis défavorable.
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Visite médicale et dépistages sur demande de l’intéresséE seulement (VIH, VHC)
1er avril 2010La visite médicale
Dans les 24 heures suivant votre incarcération, vous allez être soumisE à un examen médical, notamment afin de rechercher toute maladie contagieuse ou évolutive qui nécessiterait des mesures d’isolement ou des soins urgents. Vous passerez aussi une radio des poumons pour la détection de la tuberculose. Une seconde visite médicale est proposée à toute personne condamnée dans le mois précédant sa libération.
La visite médicale d’entrée est censée aussi contrôler l’état (…)