Le 28 octobre dernier, Schering annonçait l’arrêt d’un essai thérapeutique international visant à évaluer l’efficacité et la tolérance du Vicriviroc, une nouvelle molécule anti-VIH, chez des séropos naïfVEs de traitement. CertainEs malades inclusEs dans la recherche conservaient une charge virale détectable alors qu’elle aurait dû, à ce stade du traitement, être indétectable.
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laboratoire Schering Plough
Articles
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Scherring Plough arrête un essai chez les naïfVEs
1er décembre 2005 -
Le classement du Subutex abandonné. Et après ?
Le Ministre de la Santé a décidé de ne pas reclasser le Subutex dans la catégorie des produits stupéfiants. Il a finalement entendu les associations qui avaient fait front contre ce projet et choisi de ne pas suivre la MILDT qui était à l’origine de la proposition. Il s’agit d’une victoire importante et d’un désaveu pour Didier Jayle, président de la MILDT, qui paie ainsi son incapacité à mettre en oeuvre un processus de concertation. Mais il faut maintenant que nous transformions cette « non-défaite » en victoire en réfléchissant à des évolutions possibles des traitements de substitution qui s’appuient réellement sur les besoins des usagerEs.
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Act Up-Paris dénonce une stratégie commerciale cynique qui réduit la palette de prescription du médecin et la liberté de choix du patient
19 octobre 1998En ce moment-même, le laboratoire Schering-Plough manoeuvre pour obtenir l’Autorisation de Mise sur le Marché (AMM) du Rebetron, un pack de deux médicaments contre l’hépatite C : l’interféron (Introna), sous forme injectable ; et la ribavérine, (Rebetol), sous forme de cachets.
En France, le seul traitement contre l’hépatite C est l’interféron alpha en injection sous-cutanée. Cette molécule rudimentaire ne produit que de piètres résultats et de lourds effets secondaires, situation (…) -
CO-INFECTION VIH/VHC : où sont les essais ?
1er mai 2011Vous auriez dû lire ici des fiches essais sur des molécules anti-VHC pour les personnes coinfectées VIH/VHC. Mais l’industrie pharmaceutique refuse encore de mener de tels essais : rien en phase I ou II, trop peu pour la phase III (hors boceprevir et telaprevir, voir édito).
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Schering-Plough ment aux malades
14 octobre 2002Aujourd’hui, lundi 14 octobre 2002, une vingtaine de militants d’Act Up-Paris ont investi les locaux de Schering-Plough à Levallois-Perret pour dénoncer le mépris du laboratoire vis-à-vis des patients co-infectés au VIH / sida et à l’hépatite C.
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Effets secondaires, mais pour qui ?
Vers une reconnaissance des effets secondaires des traitements anti VHC.
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Edito
1er décembre 2005Pendant un an, Act Up-Paris a mené avec le TRT-5 (groupe interassociatif qui rassemble huit associations de lutte contre le sida) de dures négociations avec GlaxoSmithKline, Schering-Plough et Pfizer, à propos d’essais sur leur anti-CCR (une nouvelle classe thérapeutique susceptible de bloquer l’entrée du VIH dans les cellules cibles en inhibant un récepteur cellulaire, le co-récepteur CCR5, utilisé par le virus pour entrer dans la cellule).
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sida, la course aux molécules
14 avril 2005, par Corinne Taéron, Hugues FischerAujourd’hui, on a le droit de s’interroger sur l’avenir du mouvement associatif de lutte contre le sida et sur notre alliance objective avec l’industrie pharmaceutique, tant nous avons réclamé la même chose pour des raisons différentes : l’accès le plus rapide possible à des molécules antisida, des antirétroviraux. Il n’en reste pas moins vrai que les routes des activistes et des firmes pharmaceutiques sont immanquablement divergentes, et seul un effet d’échelle a pu permettre de les confondre un temps donné. Récemment, des événements sont venus catégoriquement démentir cette confusion.
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Schering Plough se moque des usagers de drogues
29 juin 1998Lundi 29 juin à 20H15, les activistes d’Act Up-Paris sont intervenus durant le symposium organisé par Schering Plough.
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Schering-Plough : le gâchis
15 novembre 2004, par Corinne TaéronLa mise en place en Europe d’un essai évaluant une nouvelle molécule anti-VIH soulève l’indignation des associations, qui dénoncent un risque de « perte de chance » pour les patients. Sûr de son fait, le promoteur de l’essai - le laboratoire Schering-Plough -, refuse toute négociation... avant de proposer de décevantes concessions.