Tandis que Sanofi-Aventis mène une guerre de plus en plus efficace contre les génériques, Robert Sebbag, vice-président du groupe, utilise son mandat d’administrateur de la Croix-Rouge pour faire valoir les intérêts de l’industrie pharmaceutique. Ce conflit d’intérêt doit maintenant être résolu.
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Laboratoire Sanofi-Aventis
Articles
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Robert Sebbag : un conflit d’intérêt qui menace l’accès aux traitements
14 octobre 2010 -
Sanofi-Aventis : des bénéfices indécents que l’État doit taxer
16 février 2010Sanofi-Aventis a annoncé un bénéfice record pour l’année 2009 qui montre bien que les prix imposés par l’industrie pharmaceutique n’ont rien à voir avec les coûts réels. Act Up-Paris dénonce le double jeu criminel de l’industrie pharmaceutique et ses pressions sur les gouvernements qui impactent directement les décisions prises en matière de santé publique.
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Honte aux labos
23 janvier 201413 ans après le scandaleux procès de Pretoria, l’industrie pharmaceutique s’attaque de nouveau aux médicaments génériques en Afrique du Sud.
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Act Up-Paris maintient ses questions
15 octobre 2010Jeudi 14 octobre, nous diffusions un communiqué faisant état de la double casquette de Robert Sebbag, administrateur de la Croix-Rouge française et également vice-président de Sanofi Aventis et administrateur du LEEM. La réponse de la Croix-Rouge à notre communiqué du 14 octobre est troublante puisque ses rédacteurs... ne répondent pas .
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Maladies graves, dépenses de santé et responsabilités de l’industrie pharmaceutique : un enjeu central pour la campagne de 2012
29 juin 2011Les dépenses de santé liées à des maladies graves, dont les soins sont remboursés à 100 %, font l’objet d’un énième rapport témoignant de leur importante progression. Act Up-Paris demande aux candidatEs et aux partis en lice pour 2012 de se prononcer en faveur de mesures qui s’en prennent enfin aux causes réelles de cette situation, à commencer par les prix aberrants imposés par l’industrie pharmaceutique, et d’en finir avec les logiques de culpabilisation des malades. Act Up-Paris dénonce l’insuffisance et l’hypocrisie de la réforme de la politique du médicament présentée en Conseil des ministres.