Accueil > Mots-clés > Institutions internationales > Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme
Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme
Le Fonds Mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme a été créé en 2001 par l’ONU pour intensifier la lutte contre les trois pandémies les plus meurtrières au monde. Le Fonds mondial est un mécanisme financier qui a pour objectif de collecter des fonds et de les redistribuer afin de mettre en œuvre des projets de prise en charge et de prévention. Aujourd’hui, c’est le premier financeur multilatéral.
Articles
-
Jacques Chirac, Romano Prodi et Georges Bush sabotent le Fonds mondial contre le sida
17 juillet 2003
Hier, mercredi 16 juillet, les militants d’Act Up aux côtés d’activistes de nombreux pays (Afrique du Sud, États-Unis, Allemagne, Côte d’Ivoire, Mali, Royaume Uni, Burundi, etc.) ont interrompu le discours de Jacques Chirac lors de la cérémonie de clôture conjointe de la conférence l’IAS et de la conférence internationale de soutien au Fonds mondial.
-
fonds mondial contre le sida, la tuberculose et la malaria
20 mai 2002
Le Fonds mondial se doit de financer les programmes d’accès aux traitements qui lui sont soumis dès lors que ces projets sont techniquement et scientifiquement valables.
-
Act Up Fight back ! De Paris à Lusaka
1er juin 2010
La Zambie est un pays d’Afrique australe, dans une région où la pandémie a le plus explosé au monde. L’espérance de vie y est de 39 ans et la prévalence à VIH de 16%. Ce taux a longtemps avoisiné les 30 % : les décès liés au sida ont été si massifs qu’ils ont fait chuter la séroprévalence !
-
Fonds mondial saboté
1er septembre 2003
Face à l’absence d’engagement des pays riches pour financer le Fond Mondial, celui-ci se trouve dans une situation telle qu’il ne peut garantir la réalisation du 3ème appel d’offre qu’il devait lancer en octobre 2003.
-
Michel Kazatchkine à la tête du Fonds mondial
8 février 2007
Act Up-Paris se félicite de l’élection de Michel Kazatchkine à la
tête du Fonds mondial de lutte contre le sida, le paludisme et la
tuberculose. En tant que malades et activistes, nous avons travaillé
avec lui depuis de nombreuses années, et nous connaissons sa valeur.
-
le pas de Doha
7 décembre 2001, par Gaëlle Krikorian
Plus de 36 millions de personnes sont atteintes par le sida dans le monde et plus de 10 000 personnes meurent chaque jour faute d’avoir accès aux médicaments qui pourraient leur sauver la vie. Or, le prix des médicaments est une entrave majeure à leur accessibilité.
-
Le G8 a le sang de millions de séropositifVEs sur les mains
17 décembre 2010
Chaque mois, 200,000 séropositifVEs décèdent du sida. Dans cette lutte
contre la montre, le Fonds mondial anti-sida est censé apporter de l’aide aux pays pauvres tous les six mois . Or, mercredi 15 décembre 2010, les pays riches ont décidé de passer le rythme du Fonds mondial à un financement tous les 18 mois, soit 3 fois moins.
-
Sida : le ralentissement mortel des financements pour les pays pauvres met le G8 en contradiction avec ses promesses
20 décembre 2010
Chaque mois, 200 000 personnes infectées par le VIH décèdent du sida. Dans cette course contre la montre, le Fonds mondial contre le sida, la tuberculose et le paludisme est censé apporter de l’aide aux pays pauvres tous les six mois [1]. Or, le mercredi 15 décembre dernier, les pays riches ont décidé de passer le rythme du Fonds mondial à un financement tous les 18 mois.
-
Act Up-Paris en guerre contre l’inertie du gouvernement et l’autosatisfaction de Bernard Kouchner
29 novembre 2001
Bernard Kouchner présentait au Conseil des ministres le plan triennal de lutte contre le sida, et a lancé devant les médias la campagne de prévention nationale du 1er décembre. La conférence de presse et le discours prononcé par le ministre le montrent, les pouvoirs publics sont toujours aussi incapables de se mobiliser et de mobiliser le grand public contre le VIH.
-
Où sont les 10 milliards de dollars ?
10 juillet 2002
Près de 10 000 personnes meurent chaque jour du sida. Aujourd’hui nous connaissons les solutions pour contrecarrer l’épidémie, nous savons que la mort des personnes atteintes dans les pays en développement n’est pas une fatalité mais peut être évitée, nous savons quelles sont les mesures à mettre en oeuvre.