Accueil > Mots-clés > sida, un glossaire V > VHC
VHC
Virus à ARN responsable de l’hépatite C, il appartient à la famille des flaviridae. Son génome est constitué d’un ARN simple brin codant pour 8 protéines virales qui ont permis son identification sérologique. Il existe plusieurs génotypes du VHC qui résultent de la grande variabilité du virus. Ils sont numérotés de 1 à 6, leurs sous-types sont identifiés par les lettres a, b, c, etc. Certains génotypes prédominent dans certaines régions du monde. La nature du génotype conditionne souvent la réponse aux traitements antiviraux ; bonne réponse : génotypes 2 et 3, moyenne : génotype 4, mauvaise : génotype 1.
Voir hépatite.
Articles
-
en bref
1er octobre 2011
états généraux de la prise en charge des personnes vivant avec le VIH ; suppression de l’HTA sévère de la liste des ALD ; baisse des troubles neurocognitifs chez les personnes vivant avec le VIH ; une nouvelle piste prometteuse pour traiter le VHC ; Cervarix®, Gardasil® et HPV ; statines et lymphome non hodgkinien...
-
GILEAD REFUSES ACCESS TO TREATMENT TO SERIOUSLY ILL HEPATITIS C PATIENTS
25 July 2013
GILEAD REFUSES ACCESS TO TREATMENT TO SERIOUSLY ILL HEPATITIS C PATIENTS
People living with HCV who are in a urgent need of new treatments should get an early access to compounds that are in their latest stage of development, and therefore not yet on the market. The French early access system called ATU (Temporary Authorization of Use) allows this early access.
The French national regulation agency (Agence Nationale de Sécurité du Médicament, ANSM) has granted patient name-based (...)
-
ViraféronPeg® : la pharmacovigilance en pantoufles.
22 juin 2012
La première alerte sur le stylo injecteur ViraféronPeg® du laboratoire MSD utilisé dans le traitement de l’hépatite C date de plus d’un an
-
FierEs d’en mettre
1er juin 2011
Il y a trente ans, apparaissaient les premiers cas de sida. Premiers touchés, les gays ont connu des années lugubres à se dire que les cimetières ne seraient pas assez grands pour tous leurs amis et amants. Le “cancer gay”, comme il fut d’abord nommé, s’est ensuite répandu, tout en restant surreprésenté dans certaines communautés : gays, usagèrEs de drogues, trans, étrangerEs, travailleurSEs du sexe, détenuEs, notamment. Mais les gays font figure d’exception : les dernières données (...)
-
Baiser sans capote c’est aussi risquer l’hépatite C
1er juin 2010
Alors que le risque de transmission sexuelle de l’hépatite C chez les gays est identifié depuis plusieurs années, l’INPES publie enfin, en 2010, une brochure d’information.
-
Conférence sur les rétrovirus et les maladies opportunistes [2]
6 février 2006
Deux thèmes d’actualités ont été traités dans cette première plénière de la CROI 2006, un point de science sur l’hépatite C et, dans la série des comémorations, une de plus pour cette année, les dix ans de la trithérapie.
-
les lois, celles et ceux qui les font, et nous
1er septembre 2011
Les décrets, amendements et autres lois, discutées plus ou moins obscurément au Parlement, ont souvent des impacts décisifs sur nos vies. Tandis que le Sénat s’apprête à se renouveler (et potentiellement à basculer à gauche)
et que les législatives approchent, retour sur quelques dossiers en cours
et sur leurs conséquences en termes de lutte contre le sida.
-
lipiocis [ANRS HC06]
10 mai 2003
Essai thérapeutique randomisé, multicentrique, sans insu, proposant un traitement adjuvant du carcinome hépatocellulaire, associé au virus de l’hépatite C.
-
Actu des traitements
13 septembre 2013
Erratum
Protocoles 72 a été publié avec quelques coquilles. Les voici, ici, corrigées Dans le texte « Toward An HIV Cure », il ne s’agit pas d’une étude, mais bien d’une stratégie scientifique globale. Dans la fiche essai HC 30 QUADRIH, l’investigateur coordinateur mentionne le Pr Stanislas Pol au lieu du Pr Lionel Piroth, CHU Dijon, Tel : 03 80 29 33 05. Dans la fiche Optiprim, l’investigateur principal s’appelle Antoine Cheret et non François comme cela a été indiqué.
Viread® en (...)
-
Warning - Hépatite C - Warning - Hépatite C - Warning -
10 mai 2006
Depuis l’an dernier, plusieurs études concordantes ont attiré l’attention sur des cas de transmission sexuelle de l’hépatite C chez des homosexuels séropositifs ayant eu des rapports non protégés. L’analyse montre que, dans certaines situations spécifiques, le risque de transmission sexuelle de l’hépatite C avait été jusqu’à présent minoré.