La situation est de plus en plus alarmante pour les prostituéEs. Et à Lyon comme à Paris, les positions défendues par le Parti Socialiste offrent un soutien objectif à la droite sécuritaire.
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loi pour la sécurité intérieure - LSI
Articles
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Le PS, filiale de l’UMP ?
23 janvier 2003 -
LSI : connaissez vos ennemis
22 avril 2003Les propos tenus lors des débats de la loi sur la sécurité intérieure à l’Assemblée Nationale
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A Lyon, le PS main dans la main avec l’UMP pour mettre les prostituées en danger
1er juillet 2010Le 17 mai dernier, Gérard Colomb, maire de Lyon, a signé un arrêté municipal supplémentaire pour interdire le stationnement des camionnettes de prostituées dans le quartier de Gerland. Il va ainsi encore plus loin que l’UMP en 2003. A la suite de ce nouvel outil répressif, un collectif de prostituées s’est formé et appelle à un rassemblement ce jour à 15 heures devant l’Hôtel de Ville.
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Pénaliser les clients de la prostitution : un ticket pour la clandestinité
5 novembre 2013Pour Médecins du Monde, Arcat, Act Up-Paris, le Planning familial et Aides, « une véritable régression sociale » se cache derrière le projet d’« interdiction d’achat d’acte sexuel » visant à « éradiquer » la prostitution. En poussant les clients à la clandestinité, cette mesure n’aurait pour effet que d’accroître la précarité des personnes se prostituant.
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Cadre légal
1er avril 2010La loi du 18 mars 2003 relative à la sécurité intérieure (LSI) a inscrit dans le Code Pénal une nouvelle infraction prévue à l’Article L. 225-10-1 : « Le fait, par tout moyen, y compris par une attitude même passive, de procéder au racolage d’autrui en vue de l’inciter à des relations sexuelles en échange d’une rémunération ou d’une promesse de rémunération est puni de 2 mois d’emprisonnement et de 3 750 euros d’amende ». Le délit de racolage est ainsi élargi, il intègre désormais le « (…)
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Pénaliser les clients de travailleurSEs du sexe est contre-productif
1er avril 2011Depuis la création en France du délit de racolage passif en 2003, les conditions d’exercice des prostituéEs n’ont cessé de se dégrader : hausse des violences, stigmatisations, arrêtés municipaux écartant les sexworkers des centres-villes et lieux de passage… Aujourd’hui, des politiques de tous bords souhaitent renforcer encore un peu plus cet arsenal répressif en pénalisant le client.
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Ne nous libérez pas, on s’en charge !
13 avril 2013Pendant qu’Abolition 2012 se bat pour abolir les putes, nous luttons pour que la prostitution ne constitue plus jamais une violence, pour que celles et ceux qui ont choisi de l’exercer puissent le faire dans de bonnes conditions, pour que celles et ceux qui souhaitent faire autre chose en aient les moyens : titre de séjour, droit au logement, accès aux droits, accès aux soins.
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La loi pour la sécurité intérieure et les prostitué-es : deux ans déjà, deux ans de trop !
13 mars 2005Deux ans après la mise en application de la Loi pour la sécurité intérieure (LSI), loi prohibitionniste et ultra-répressive, le groupe interassociatif « Femmes publiques » organise le mardi 15 mars 2005, de 9 heures 30 à 18 heures, à l’Assemblée nationale, une journée pour évaluer l’impact désastreux de cette loi auprès des prostitué-es.
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La guerre aux femmes bat son plein
28 novembre 2004Près de 40 femmes prostituées ont été raflées dans les rues de Toulouse dans la nuit du 23 au 24 novembre 2004 par différents corps de police. Les conditions de vies des personnes prostituées ne cessent de s’aggraver depuis la loi de sécurité intérieure (loi Sarkozy) de mars 2003.
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des putains de droits
1er décembre 2011L’ensemble des droits sociaux doit être accordé aux travailleurSEs du sexe