La question est épineuse : le droit et ses effets concerts peuvent-ils être autre chose qu’un moyen sécuritaire et répressif de plus, peuvent-ils être mis au service des personnes atteintes ? Autrement dit : jusqu’où faut-il se battre pour obtenir des textes spécifiques sur les droits des personnes séropositives ?
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assurances
Articles
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Edito
, par Act Up-Paris -
ce que Act Up demande à Lionel Jospin
23 mars 2002A la suite d’une rencontre organisée le 12 mars dernier entre les associations de lutte contre le sida et Lionel Jospin, Act Up-Paris a transmis au premier ministre-candidat ses demandes d’engagements.
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Mutuelles, assurances : quelle est la différence ?
1er avril 2010Régies par le Code de la Mutualité, les mutuelles fonctionnent grâce à la solidarité et l’entraide de touTEs. Dans une mutuelle, le risque maladie est mutualisé et les coûts répartis de manière solidaire : chacunE paie selon ses moyens et reçoit selon ses besoins.
Les mutuelles ne peuvent réaliser aucun bénéfice, contrairement aux sociétés d’assurances, qui sont des sociétés de capitaux à but commercial. Les excédents peuvent servir à développer de nouvelles garanties, prendre en charge (...) -
Le droit à l’assurance doit devenir une réalité pour tous
7 avril 1999A la veille de l’an 2000, les personnes touchées par le VIH, ou par d’autres pathologies lourdes, sont toujours victimes de discriminations dans l’accès à l’assurance. Nous, associations de lutte contre le Sida, constatons une multiplication des questionnaires de santé et des refus de dossiers, et tenons à réaffirmer que : la majorité des produits d’assurance ne sont pas accessibles aux personnes touchées par le VIH car la seule réponse aux questionnaires de santé lors de la demande (...)
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Assurances et VIH
La convention de 1991 et les dérives de l’assurance
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En cas de litige, si le risque se réalise et que vous ne pouvez plus rembourser
1er avril 2010Si le risque couvert se réalise, l’assureurE se montre en général très pointilleuxSES et fait toutes les recherches nécessaires pour ne pas payer. Il/Elle veillera ainsi à ce que vous n’ayez pas fait de fausses déclarations. Il faut être particulièrement vigilant sur les points suivants : le litige éventuel ne peut pas suspendre le versement de la prime d’assurance pour couvrir le risque. L’organisme de crédit est donc tenu de payer. Seul unE juge peut décider de le suspendre. la charge (...)
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L’assurance en cas de décès
1er avril 2010Grâce à cette assurance, le/la bénéficiaire désignéE perçoit une rente ou un capital en cas de décès de l’assuréE. Quelle que soit la forme du contrat, il est pratiquement impossible à une personne atteinte d’une pathologie grave comme le VIH d’y souscrire.
Par contre, si vous avez souscrit ce type de contrat avant le diagnostic de votre séropositivité, l’assurance peut pleinement jouer. En cas de problèmes avec l’assureur, n’hésitez pas à contacter les associations de lutte contre le sida. -
L’accès au prêt dans le cadre de la convention AERAS
1er avril 2010La convention AERAS (s’Assurer et Emprunter avec un Risque Aggravé de Santé) a pour objectif de faciliter l’accès à l’assurance et à l’emprunt des personnes présentant un risque aggravé de santé.
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Principes généraux
1er avril 2010Dans la majorité des cas, toute demande de prêt est soumise à l’obtention préalable d’une assurance, que l’on nomme assurance emprunteur. Ce contrat garantit à l’organisme de crédit (banque, grand magasin, concessionnaire automobile) la couverture des échéances du prêt, au cas où le client ne pourrait les rembourser. Les événements (décès, invalidité, chômage) qui peuvent empêcher le paiement des échéances sont appelés des « risques ». Lorsqu’ils se produisent, on dit que « le sinistre s’est réalisé ».
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L’assurance sur les divers risques de la vie
1er avril 2010Il est recommandé de s’assurer sur les divers risques de la vie, qu’ils menacent vos biens (logement, mobilier, voitures), des étapes de votre vie ou de vos ayants droit (assurance scolaire, assurance des vacances et des loisirs) ou qu’ils mettent en cause votre responsabilité civile. Dans la plupart des cas, votre état de santé n’a rien à voir avec le risque assuré (un dégât des eaux par exemple) et l’organisme assureur n’a pas à vous poser de questions médicales. Si c’est le cas, ne (...)