La dépénalisation du cannabis ne nous intéresse pas. Au sens où elle n’a pas besoin de nous pour se faire. Au sens où elle est aussi évidemment indispensable qu’évidemment insuffisante. Libération, a pourtant décidé que le cannabis nous obsdédait.
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Nicole Maestracci
Articles
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Libé et les drogues : le goût du sens commun
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2cc de vie en moins
Le 24 février 2000, la Direction générale de la santé (DGS) envoyait à tous les responsables de Programme d’Echanges de Seringues (P.E.S.) une note concernant les “ conséquences pour les usagers de drogues par voie intraveineuse (UDVI) de la suppression des seringues graduées à 40 unités à compter du 30 mars 2000 ”.
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honte au PS
1er mars 2002Le 8 décembre 2001 se tenait à la mairie du XVIIIème arrondissement parisien une table ronde intitulée « Toxicomanie et vie de quartier ». Cette rencontre intervenait dans un contexte de fortes crispations sur les questions de consommation de drogues à la Goutte d’or et à Stalingrad.
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Près de 6% des détenus en prison : usage & détention
Un seul suffirait pour attester des aberrations de la loi pénale française en matière de stupéfiants, et il sont près de 3 000 ! Au 1er novembre 2000, 2 892 personnes étaient détenues dans les prisons françaises pour usage et/ou détention illicites de stupéfiants.
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70 millions d’années après
30 décembre 2000Loi du 31 décembre 1970 : 30 ans de trop
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Edito
, par Emmanuelle CosseCurieusement, personne n’a tenu, cet hiver, à fêter les 30 ans de la loi du 31 décembre 1970 de lutte contre la drogue et la toxicomanie - hormis quelques associations d’usagers attachées à en dénoncer les conséquences.
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Et les usagers de drogues ?
1er mai 2003En 1998, avec la nomination de Nicole Maestracci à la MILDT, la reconnaissance des politiques de réduction des risques a permis de grands espoirs quant à l’évolution de l’accès aux soins des usagers de drogues. Aujourd’hui, nous constatons avec le retour de la droite, un désir manifeste de tout faire pour rendre la vie impossible aux usagers, quitte à les rendre malades à force de détruire, un à un, tous les avantages sociaux innovants qui avaient été mis en place par les gouvernements précédents.