Monsieur Moschos a contacté Act Up-Paris et nous relayons sa lettre ouverte à Marisol Touraine.
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cancer
Du grec karkinos : crabe. Tumeur liée à la prolifération anarchique et indéfinie d’une lignée cellulaire avec pour conséquence la destruction du tissu originel et l’extension locale puis généralisée (métastases) de la tumeur.
Articles
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Lettre ouverte à Madame la ministre des affaires sociales et de la santé
31 octobre 2012 -
Actu des traitements
20 novembre 2012Cancer : antirétroviraux à la rescousse
Le nelfinavir (Viracept®) est un inhibiteur de protéase utilisé contre le VIH qui serait actif dans le traitement du cancer du sein au même dosage. Utilisé dans des essais cliniques comme agent de chimiothérapie ou radiosensibilisant dans le traitement du cancer, il a inhibé la croissance de certains types de cancers. L’équipe de la Johns Hopkins School of Medicine qui a présenté ces résultats a d’abord étudié son activité anti-tumorale sur des (...) -
Le Vaccin HPV
31 décembre 2006Les infections à HPV génitaux sont contractées rapidement après l’entrée dans la vie sexuelle, mais ce n’est pas systématique. Entre 50 et 75 % des jeunes femmes (15-44 ans) sont ou ont été porteuses d’une infection génitale à HPV. Comme du point de vue épidémiologique, la majorité des cancers à HPV sont du type cancer du col de l’utérus, il est apparu logique aux développeurs de vouloir cibler en priorité les femmes et, du fait du mode et du moment d’infection, plus particulièrement les adolescentes et préadolescentes pour une vaccination anti-HPV.
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Attention, cancer en vue
20 octobre 2002L’infection à papillomavirus est une MST très fréquente, mais c’est aussi un facteur de risque du cancer du col de l’utérus et du canal anal, cancers auxquels les séropositifs semblent particulièrement exposés. Or, si le dépistage et les risques des pathologies du col de l’utérus (cervicales) sont à présent bien établis, on ne peut pas en dire autant de celles du canal anal. Quelles sont les différences entre ces deux situations, à quels risques sont spécifiquement exposés les séropositifs, quels progrès sont à apporter à l’heure actuelle ? C’est ce à quoi nous essaierons de répondre dans ce dossier.
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Généralités
19 juillet 2005En absence de traitement, la présence du VIH dans l’organisme augmente le risque de développer certains cancers. L’arrivée des antirétroviraux a eu pour effet de diminuer l’incidence* et la progression de certaines de ces tumeurs. Cependant, le profil général d’apparition des tumeurs chez les personnes traitées n’est pas devenu pour autant similaire à celui de la population séronégative pour le VIH.
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« Plus cancéreux que moi, tu meurs » (P. Desproges)
4 juin 2003De plus en plus d’informations nous parviennent sur les risques de cancer augmentés chez les séropositifVEs. Le système immunitaire attaqué par le VIH se défend moins efficacement contre l’invasion cancéreuse.
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Cancer anal & VIH
11 février 2013L’infection par le VIH augmente le risque de développer un cancer anal. Deux publications récentes sur le cancer anal précisent la situation chez les personnes séropositives en France et aux Etats-Unis. Voyons plus en détail ce que disent les chiffres, notamment entre hommes et femmes.
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Les lésions anales associées à HPV progressent moins vers un cancer que les lésions du col de l’utérus.
16 novembre 2012Une analyse australienne indique que les hommes qui ont des rapports sexuels avec des hommes présentent un risque élevé de lésions anales précancéreuses associées au papillomavirus humain (HPV) mais ces lésions progressent moins vers un cancer anal que dans le cancer du col de l’utérus pour les femmes.
Les vaccins anti-HPV qui protègent les jeunes filles contre le cancer du col de l’utérus, diminuent les verrues génitales chez les hommes hétérosexuels, ce qui suggère que la vaccination (...) -
Lymphomes du futur
1er octobre 2010L’infection par le VIH se traduit par un risque accru de développer certains cancers, tout particulièrement des lymphomes. Des travaux récents pointent vers une meilleure compréhension des mécanismes sous-jacents où les macrophages joueraient un rôle-clé. Un pas en avant pour développer un outil diagnostique, voire un traitement ?
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HIV CHEST
1er mai 2011Enquête prospective, non comparative, multicentrique, de faisabilité du diagnostic précoce des cancers broncho-pulmonaires par tomodensitométrie thoracique faible dose sans injection de produit de contraste chez les personnes vivant avec le VIH et tabagique chronique.