Le lobby catholique a gagné : à la fin du mois d’août, le Conseil d’Etat a décidé d’interdire les deux pauvres heures de prévention scolaire péniblement arrachées en 1996. La balle est désormais dans le camps de Ségolène Royal. Au vu de ses décisions passées et des tendances actuelles en matière de prévention, il y a de quoi être pessimiste.
Accueil > Mots-clés > personnalités, politiques > François Bayrou
François Bayrou
Articles
-
Prévention à l’Ecole : le Conseil d’Etat cède au lobby catholique
-
Bayrou : dernier de la classe
Act Up a finalement rencontré le ministre de l’Education nationale,François Bayrou, autant dire tout de suite que nous n’attendions pas grand chose de cette entrevue et que nous avions raison. Pour nous mettre en bouche, nous avons été reçus d’abord par Laurence Deroux, chef adjointe du cabinet, qui avait été pour l’occasion propulsée spécialiste de la question. Pour la sensibiliser un peu à ce problème qui n’a guère l’air de l’émouvoir nous lui avons parlé de notre ami Pierre-Yves, contaminé à 17 ans alors qu’il était encore lycéen et mort la semaine précédente. « Mais comment a-t-il été contaminé ? », fut la seule et édifiante réflexion que lui inspira cette histoire. Le ton était donné.
-
Edito
, par Emmanuel Chateau, Hugues FischerAvec beaucoup d’autres, nous aurons essayé durant cette campagne de faire émerger un débat sur la politique de santé. Act Up-Paris aura au moins réussi à rencontrer deux des plus importantEs candidatEs à l’élection présidentielle, Ségolène Royal et François Bayrou, pour discuter de leurs engagements face à nos revendications. De son côté, Nicolas Sarkozy ne s’est tout simplement jamais intéressé ni à la lutte contre le sida ni aux associations de défense des malades.
-
SIDA : Après les déclarations de François Bayrou, Nicolas Sarkozy est le dernier candidat à refuser de s’engager.
31 mars 2007Comme il s’y était engagé lors de notre rencontre avec lui, François Bayrou a réitéré publiquement ses engagements en matière de lutte contre le sida, à l’occasion de la 4e conférence francophone.
-
Edito
, par Emmanuel Chateau, Hugues FischerLe lourd silence qui pèse sur les questions liées au VIH/sida depuis quelques années cherche à faire oublier à quel point les questions posées par la maladie continuent d’accuser l’incurie des politiques menées en France. Ces longues années d’épidémie nous ont pourtant montré combien les mesures qu’exige la lutte contre le sida réclament une évolution profonde et une réaction rapide de notre société tant sur le front du droit des minorités, que sur le traitement réservé aux étrangerEs, les politiques internationales ou le mode d’élaboration des politiques publiques.
-
Ubiquité.
Pour dénoncer l’inaction de François Bayrou une vingtaine de militants d’Act Up-Paris ont investi, le 31 mars, deux établissements scolaires particulièrement timides en matière de prévention sida.
-
François Bayrou refuse de parler avec des malades du sida
21 mars 2007François Bayrou refuse de rencontrer les associations de malades. A la place, il nous est proposé comme à Aides un rendez-vous avec un vague conseiller technique.
-
Les idées fixes de Castella
9 mai 1996Au ministère de l’Education nationale, on se sent « concerné par le problème du sida » et « solidaire des associations ». Monsieur Castella, conseiller diplomatique et technique de François Bayrou, a enfin reçu Act Up-Paris : il était plus que temps, six mois après sa nomination.
-
François Bayrou s’engage à ce que la France paie sa part dans la lutte contre le sida
29 mars 2007Après avoir essuyé un premier refus, Act Up-Paris a rencontré François Bayrou ce jeudi 29 mars. La rencontre a porté principalement sur l’engagement de la France dans la lutte contre le sida au niveau international.
-
François Bayrou sera-t-il l’Éric Besson de la lutte contre le sida ?
25 avril 2007Pour être cohérent avec ses engagements en matière de lutte contre le sida, François Bayrou doit dénoncer le programme de Nicolas Sarkozy.
Act Up-Paris interpelle aujourd’hui François Bayrou à l’occasion de sa conférence de presse consacrée aux suites du premier tour de la présidentielle. Avec 18,57% des suffrages, son rôle est à présent décisif dans les résultats de ces élections. Compte tenu de ses engagements en matière de lutte contre le sida, il doit donc se positionner par rapport au projet de Nicolas Sarkozy.