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buprénorphine
Traitement substitutif ambulatoire de la dépendance aux opiacés, dans le cadre d’une prise en charge médicale, sociale et psychologique.
La buprénorphine est commercialisée sous le nom de Subutex®, ou Temgésic® quand elle est utilisée contre la douleur. Une surveillance du bilan hépatique est nécessaire.
Voir substitution.
Articles
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Premiers états généraux des usagerEs de la substitution
31 mai 2004
Act Up-Paris et ASUD appellent les usagerEs substituéEs et toutes les personnes concernées aux premiers Etats Généraux des UsagerEs de la Substitution aux Opiacés, le 5 juin 2004 de 10h à 18h.
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Front contre le classement du subutex comme stupéfiant
6 mars 2006
Le quotidien Libération révélait le 10 janvier dernier que la Commission
Nationale des Stupéfiants avait émis un avis favorable au classement du
Subutex© comme stupéfiant sous l’impulsion de la MILDT. Le 16 février, Act
Up-Paris, Sidaction, Anne Coppel, Marc Valleur et Michel Hautefeuille
adressaient une lettre ouverte à Xavier Bertrand, Ministre de la Santé, pour
lui demander de ne pas suivre cet avis. Ce courrier diffusé auprès des
associations est désormais soutenu par de nombreuses organisations et
acteurs concernés
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Rime
1er octobre 2010
Etude de phase IV, multicentrique, randomisée, contrôlée avec comparateur actif et en ouvert de l’efficacité de la buprénorphine/naloxone sur la réduction du mésusage intraveineux de la buprénorphine en France
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bup / ip [chu grenoble]
22 mars 2003
Etude multicentrique ouverte, prospective et exploratoire, visant à comparer le rapport des concentrations plasmatiques libres de norbuprénorphine et de buprénorphine chez des personnes infectées par le VIH qu’elles soient traitées par inhibiteurs de protéase ou non
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Traitements de substitution aux opiacés : stupéfiante manœuvre arrière
16 février 2006
Act Up-Paris et Sidaction ainsi que Anne Coppel, Michel Hautefeuille et Marc Valleur ont fait parvenir à Xavier Bertrand une lettre ouverte pour répondre à la volonté de la MILDT et du ministère de l’Intérieur de classer le Subutex®, un traitement de substitution aux opiacés, comme stupéfiant.
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L’OICS, ennemi de la réduction des risques !
2 mars 2011
Marc Moinard, expert auprès de l’Organisation Internationale de Contrôle des Stupéfiants (OICS) présente aujourd’hui à Paris le rapport de l’OICS 2010. Depuis sa création, l’OICS a été le moteur de la guerre internationale contre les droguéEs. Pourquoi cette année serait-elle différente ?
L’OICS ne s’intéresse pas aux autres priorités de l’ONU telles que la lutte contre la pandémie VIH. Il a pris de nombreuses positions contre la réduction des risques ou cautionnant des politiques mortelles pour les usagerEs de drogues.