C’est avec colère que nous avons suivi les débats qui, ce lundi 30 mars, se tenaient au Sénat autour de la proposition de loi « visant à lutter contre le système prostitutionnel » et pris acte des décisions finales. [la suite]
Pour Médecins du Monde, Arcat, Act Up-Paris, le Planning familial et Aides, « une véritable régression sociale » se cache derrière le projet d’« interdiction d’achat d’acte sexuel » visant à « éradiquer » la prostitution. En poussant les clients à la clandestinité, cette mesure n’aurait pour effet que d’accroître la précarité des personnes se prostituant. [la suite]
Pendant qu’Abolition 2012 se bat pour abolir les putes, nous luttons pour que la prostitution ne constitue plus jamais une violence, pour que celles et ceux qui ont choisi de l’exercer puissent le faire dans de bonnes conditions, pour que celles et ceux qui souhaitent faire autre chose en aient les moyens : titre de séjour, droit au logement, accès aux droits, accès aux soins. [la suite]
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Ils doivent recevoir les travailleurSEs du sexe et les associations de lutte contre le sida ce mercredi. [la suite]
Act Up-Paris condamne l’amendement du sénateur socialiste Philippe Kaltenbach visant à reporter sine die l’abrogation du délit de racolage. Cette mesure est dénoncée par les travailleurSEs du sexe eux-elles-mêmes, par toutes les associations de terrain et par les expertEs unanimes de la lutte contre le sida. Nous appelons les parlementaires socialistes à refuser cet amendement. [la suite]
La loi pour la Sécurité Intérieure, qui fait du racolage public un délit, a été adoptée le 18 mars 2003. Les effets catastrophiques et contre-productifs de cette mesure ont été annoncés en amont, puis constatés et constamment dénoncés depuis sa mise en œuvre. Rejoignez-nous le samedi 16 mars 2013, Place Pigalle à 14h30 [la suite]
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Après avoir hier participé au rassemblement contre la pénalisation de clientEs des travailleurSEs du sexe, Act Up-Paris et Act Up-Sud Ouest ont été reçues par deux secrétaires nationaux du Parti Socialiste sur le lieu où se tient le congrès du parti. [la suite]
La Ministre liquide deux axes du plan national 2010/2014 de lutte contre le sida incluant les travailleurs/ses du sexe. Aucune concertation interministérielle n’a même été envisagée. [la suite]
À l’approche de l’été et sous couvert de motifs tous plus honorables les uns que les autres, la chasse aux putes a été officiellement ouverte le 1er mars dernier. [la suite]
Dans le cadre de son action autour des élections, “Sida : battre la campagne”1, Act Up-Paris organise une discussion publique avec les représentantEs des partis de gauche suivants : PS, EELV, Front de Gauche, NPA. Cette réunion aura lieu le jeudi 12 avril, à partir de 19 heures. Elle abordera les questions liées aux drogues, aux malades en prison, au travail du sexe et à l’impact de la politique migratoire sur la santé des personnes. [la suite]
Après deux secrétaires nationaux il y a 10 jours, ce sont des « femmes de l’UMP » qui dénoncent la proposition de François Hollande d’abolir le racolage passif. La réaction tardive aux propos du candidat socialiste s’apparente avant tout à une justification bricolée face au communiqué d’associations de lutte contre le sida et d’organisations défendant les travailleurSEs du sexe. Les signataires font semblant d’ignorer que le candidat socialiste répondait à un site de lutte contre le sida. Elles font (...) [la suite]
Jeudi dernier, deux secrétaires nationaux de l’UMP, Bruno Beschizza 1 et Sébastien Huygue 2, ont condamné la proposition faite par François Hollande de supprimer la pénalisation du racolage passif. Il s’agit pourtant d’une demande des associations de lutte contre le sida, des associations de santé communautaire et du STRASS, syndicat du travail sexuel. Nous condamnons la rhétorique sécuritaire et obscurantiste de ces deux représentantEs de l’UMP. [la suite]
Les associations appellent à manifester pour la date anniversaire de la loi de pénalisation du racolage du 18 mars 2003. [la suite]
TravailleurSEs du sexe, prostituéEs, et alliéEs, nous manifesterons le 17 décembre pour dénoncer les violences que nous subissons. [la suite]
Le 28 novembre dernier, le collectif Droits et Prostitution et d’autres associations envoyaient aux députéEs un courrier expliquant leur inquiétude face à la façon dont la représentation nationale se saisit de la question du travail du sexe et de la prostitution. [la suite]
L’ensemble des droits sociaux doit être accordé aux travailleurSEs du sexe [la suite]
Ce 20 juin 2011 a été rendue publique une proposition de résolution pour réaffirmer la position abolitionniste de la France en matière de prostitution. [la suite]
Sinistre anniversaire. Retour subjectif sur l’histoire, les luttes, les perspectives et les enjeux actuels de la lutte contre le sida. [la suite]
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La mission parlementaire de l’Assemblée nationale sur la prostitution a rendu son rapport. Sa présidente, Danièle Bousquet (PS) s’allie à l’UMP pour préconiser la pénalisation des clients [la suite]
Demain, la mission d’information parlementaire de l’Assemblée nationale sur la prostitution rendra public son rapport. Pour sa présidente, la députée PS Danielle Bousquet, cette mission aura été avant tout le prétexte pour promouvoir la seule mesure législative qui compte à ses yeux : la pénalisation des clients. [la suite]
En février ou mars devrait paraître le rapport de la mission parlementaire sur le travail du sexe présidée par la députée PS Danielle Bousquet. Il semble que cette dernière soit déjà en train de préparer le terrain à une proposition qui comporte tous les risques d’une plus grande exposition des travaileurEUSES du sexe à des violences ; tant morales, qu’économiques ou physiques. [la suite]
Le 17 mai dernier, Gérard Colomb, maire de Lyon, a signé un arrêté municipal supplémentaire pour interdire le stationnement des camionnettes de prostituées dans le quartier de Gerland. Il va ainsi encore plus loin que l’UMP en 2003. A la suite de ce nouvel outil répressif, un collectif de prostituées s’est formé et appelle à un rassemblement ce jour à 15 heures devant l’Hôtel de Ville. [la suite]
La loi du 18 mars 2003 relative à la sécurité intérieure (LSI) a inscrit dans le Code Pénal une nouvelle infraction prévue à l’Article L. 225-10-1 : « Le fait, par tout moyen, y compris par une attitude même passive, de procéder au racolage d’autrui en vue de l’inciter à des relations sexuelles en échange d’une rémunération ou d’une promesse de rémunération est puni de 2 mois d’emprisonnement et de 3 750 euros d’amende ». Le délit de racolage est ainsi élargi, il intègre désormais le « racolage passif ». (...) [la suite]
Texte lu lors des assises de la prostitution par des militantEs d’Act Up-Paris, d’ARCAT et de l’UNALS [la suite]
Depuis 2002, des associations de travailleusEs du sexe et des associations les soutenant maintiennent une ferme opposition à la répression de la prostitution. Ainsi nous manifesterons contre la pénalisation du racolage le lundi 5 novembre 2007, devant le Sénat, place Paul Claudel, à 18 H. [la suite]
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Depuis l’arrivée au pouvoir de la droite, les prostituéEs ont été la cible privilégiée des forces de police. Et le vote de la Loi pour la sécurité intérieure1 (LSI) de Sarkozy qui, sous couvert de lutte contre la traite et le proxénétisme, a mis en place une véritable chasse légale contre les travailleurSEs du sexe. Les prostituées africaines du bois de Vincennes, qui subissent encore aujourd’hui cette violente répression, se sont mobilisées au sein d’un collectif pour mieux se défendre et faire valoir leurs revendications. Rencontre avec Marianne, membre de ce collectif. [la suite]
La loi pour la sécurité intérieure (LSI) est appliquée depuis deux ans. La semaine du 15 au 20 mars 2005 a été l’occasion pour les prostituéEs, ainsi que les associations d’en dresser un bilan catastrophique et de demander son abrogation. [la suite]
Depuis novembre dernier, Grisélidis (à Toulouse) et Cabiria (à Lyon), associations de santé communautaire avec les travailleuses du sexe, ont de nouveau dénoncé les conséquences désastreuses de la loi pour la sécurité intérieure et exigé son abrogation. [la suite]
Près de 40 femmes prostituées ont été raflées dans les rues de Toulouse dans la nuit du 23 au 24 novembre 2004 par différents corps de police. Les conditions de vies des personnes prostituées ne cessent de s’aggraver depuis la loi de sécurité intérieure (loi Sarkozy) de mars 2003. [la suite]
Rassemblement en soutien aux prostituées victimes de la répression Mardi 4 juin, 23 h 30, Rond Point de Boulogne M° Porte d’Auteuil [la suite]
La législation française tient une position abolitionniste face à l’activité prostitutionnelle, c’est-à-dire qu’elle refuse toute réglementation de la prostitution. Il n’existe donc pas de droits spécifiquement ouverts pour cette activité : les personnes prostituées sont censées bénéficier des dispositifs de droit commun, mais des obstacles interviennent fréquemment dans l’accès aux droits. Avant toute démarche, n’hésitez pas à vous renseigner auprès des associations de soutien ou des permanences sociales et juridiques d’arrondissement. Beaucoup d’entre elles peuvent vous accompagner dans vos démarches (...) [la suite]
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