Le 1er mars dernier, une lettre ouverte rédigée par Human Right Watch et cosignée par plusieurs centaines d’ONG, dont Act Up-Paris, a été envoyée aux déléguéEs de la 18ème session de la Commision sur les Drogues Narcotiques (CND, afin de les alerter sur le revirement de l’Office des Nations-Unis contre la drogue et le crime qui, sous la pression des États-Unis, va retirer son soutien aux stratégies de réduction de risques vers les usagèrEss de drogues alors que ces stratégies ont démontré leur efficacité pour prévenir les contaminations par le VIH.
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réduction des risques liés aux drogues
Articles
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Courrier du cœur
1er avril 2005 -
2cc de vie en moins
Le 24 février 2000, la Direction générale de la santé (DGS) envoyait à tous les responsables de Programme d’Echanges de Seringues (P.E.S.) une note concernant les “ conséquences pour les usagers de drogues par voie intraveineuse (UDVI) de la suppression des seringues graduées à 40 unités à compter du 30 mars 2000 ”.
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Le sida en prison, un problème ?
Le 20 mai se tenait la 2e Journée nationale d’échanges sur le suivi médicosocial des personnes atteintes d’hépatite virales B et C et/ou d’infection à VIH sortant de prison. Act Up-Paris et Aides y étaient invités à répondre à la question suivante : le sida en prison est-il encore un problème en 2008 ?
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La réduction « diplomatique » des risques liés aux drogues
Nous avons participé à la 11ème conférence internationale de réduction des risques liés aux drogues, qui avait lieu cette année, sur l’Ile de Jersey du 9 au 13 avril 2000.
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pour une abrogation de la loi de 70
26 septembre 2001A l’occasion de la publication du dernier rapport du Conseil National du Sida, du 21 juin 2001, intitulé « Les risques liés aux usages de drogues comme enjeu de santé publique ». Pour la commission Drogues & Usages d’Act Up-Paris, il s’agit avant tout d’un outil de réflexion dans la perspective d’une abrogation de la loi du 31 décembre 1970.
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Les conventions internationales sur les stupéfiants n’interdisent pas les salles d’injection supervisées !
26 janvier 2011Ce mercredi à 18h15, la mission d’information parlementaire sur la toxicomanie auditionne Marc Moinard, expert auprès de l’Organisation Internationale de Contrôle des Stupéfiants (OICS). A cette occasion, le collectif du 19 mai tient à clarifier la position négative de l’OICS sur les centres d’injection supervisée, principal argument contre les centres d’injection supervisée avancé par la MILDT et l’Académie de médecine.
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Réduction des risques
Ecoutons les pourfendeurs du « dogme de la capote ». Ils prétendent s’adresser au pédé qui a abandonné la capote en lui envoyant un message préventif « individualisé », lequel tiendrait compte de ses pratiques. Qu’en est-il vraiment ?
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Apaire à la tête de la MILDT : la fin de la réduction des risques liés à l’usage de drogues ?
30 août 2007La nomination du nouveau président de la MILDT n’augure rien qui vaille dans la politique menée à l’avenir en termes de réduction des risques et de soutien aux usagerEs de drogues.
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ONU : l’Etat et les associations remettent un rapport commun sur la politique française de lutte contre le sida
9 juin 2008Mardi 10 juin 2008 s’ouvre à New York la réunion annuelle des Nations Unies sur le respect des engagements pris en 2001 contre la pandémie du VIH/sida. A cette occasion, l’ONU publie chaque année un rapport sur les avancées réalisées - ou non - par chaque pays. Pour la première fois pour la France, ce rapport remis par les pouvoirs publics fait une place aux constats et aux recommandations portés par les associations françaises (AIDES, Act Up-Paris et le Planning familial).
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Les laboratoires Schering-Plough sacrifient les malades à leur logique commerciale
6 novembre 1998Aujourd’hui 6 novembre, 40 militants d’Act Up-Paris se sont rendus à l’usine de Hérouville Saint Clair (banlieue nord de Caen) et bloquent depuis 7 h du matin, toute la production ainsi que l’accès à l’unité de fabrication des médicaments du laboratoire.
Depuis 1996, Schering Plough prospère en France grâce au marché que lui offre la prohibition des drogues : 150 000 à 200 000 usagers de drogues par voie intraveineuse constituent le réservoir d’utilisateurs potentiels de ses produits. (...)