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Aussi appelés effets secondaires ou « effets intolérables ». Il s’agit de toute réaction nocive et non recherchée (éruptions, diarrhées, vertiges, fatigue, etc.) survenant de façon fortuite chez certaines personnes soumises à un traitement par un ou plusieurs médicaments à des fins thérapeutiques, prophylactiques ou diagnostiques (définition de l’OMS). Au cours d’une affection de longue durée, les effets indésirables doivent toujours être pris en compte afin de permettre aux personnes la meilleure observance possible. En 2005, l’échelle de cotation de la gravité des événements indésirables chez l’adulte établie par l’ANRS tend à devenir une référence internationale. Ils sont classés par grade de 1 à 4 :
Grade 1, anomalie légère (effet sans conséquence) : gêne légère ou transitoire, sans limitation de l’activité quotidienne habituelle ; ne nécessite pas d’intervention médicale ou de traitement correcteur.
Grade 2, anomalie modérée : limitation partielle de l’activité quotidienne habituelle ; une intervention médicale ou un traitement correcteur ne sont pas obligatoirement nécessaires.
Grade 3, anomalie sévère : limitation de l’activité quotidienne habituelle ; nécessite une intervention médicale et un traitement correcteur, hospitalisation possible.
Grade 4, menace vitale (pouvant entraîner le décès) : activité très limitée ; nécessite une intervention médicale ou un traitement correcteur, presque toujours en milieu hospitalier.
INCIVO (Télaprévir) est indiqué en association à l’interféron pégylé et la ribavirine dans le traitement des patients adultes ayant une hépatite C chronique due à un virus VHC de génotype 1. Ce médicament est associé à un risque de réactions cutanées sévères (incluant syndrome d’hypersensibilité médicamenteuse (DRESS) et syndrome de Stevens Johnson) identifié dès son développement clinique. Récemment, deux cas de syndrome de Lyell dont un cas de décès ont été rapportés au Japon. La sévérité de ces effets (...) [la suite]
Les traitements VHC et VIH, leurs effets indésirables les plus fréquents et les associations contre-indiquées ainsi que des recommendations et commentaires [la suite]
Lors de 86ème RéPI, Effets indésirables pas si secondaires, Bernard Delorme, chef de l’unité d’information des patients et du public à l’ANSM, a présenté le système de pharmacovigilance. Son intervention pédagogique est retranscrite ci-dessous, ainsi que les questions et réponses auxquelles elle a donné lieu. [la suite]
En traitement d’une hépatite C depuis le 1er février avec viraferon-peg des laboratoires MSD, une personne a contacté Act Up-Paris. Cette personne doit prendre une injection par semaine via le stylo-injecteur qui devient de plus en plus célèbre pour son dysfonctionnement. Deux des stylos que contient le lot de quatre n’ont pas fonctionné correctement, voire pas du tout. Le 16 mai, au moment de l’injection, le bouton du stylo s’est enfoncé d’un coup au lieu de s’enfoncer par petits crans. La (...) [la suite]
Un effet indésirable est une « réaction nocive et non voulue due à un médicament, se produisant aux posologies normalement utilisées ». Diarrhées, lipodystrophie, fatigue, hyperglycémie, troubles digestifs, problèmes hépatiques ou rénaux, cauchemars ; et combien d’autres cauchemars justement ? Alors même qu’ils peuvent transformer la vie quotidienne en parcours du combattant, voire provoquer un décès prématuré, les effets indésirables sont souvent mal pris en compte, tant dans la prise en charge (...) [la suite]
Prezista® (darunavir/r) Une mise à jour récente des effets indésirables du Prézista® a été faite. Un effet grave a été rajouté à la liste et concerne un problème cutané, il s’agit de l’apparition d’une éruption cutanée aiguë caractérisée par de nombreuses petites pustules stériles. En cas d’apparition de ce genre de réaction cutanée, il est recommandé de consulter rapidement son médecin. Prezista® 800 mg, une fois par jour. La prescription du Prézista® (darunavir/r) en une prise unique quotidienne est désormais (...) [la suite]
Comment en parler avec ses médecins, infectiologue et généraliste ? Comment se coordonnent ces derniers pour mieux cerner les effets indésirables ? Ces effets sont-ils suffisamment pris en compte dans les essais cliniques ? Comment signaler des effets indésirables à un laboratoire pharmaceutique ? Où en est la pharmacovigilance après le scandale du Médiator et la loi du 29 décembre 2011 sur le médicament ? [la suite]
produits de comblement du visage + soins dentaires = prudence ; confidentialité et prise en charge de qualité ; fractures avec ou sans antirétroviraux ? ; effets indésirables non reconnus aux urgences [la suite]
Et si les associations de lutte contre le sida n’avaient pas existé, quel serait le visage de l’épidémie aujourd’hui ? L’Onusida aurait-il assez de place pour lister les millions de mortEs sur chaque continent ? Les laboratoires auraient-ils sorti autant de molécules ? Combien d’essais contre placebo aurait-il fallu pour prouver l’efficacité des pistes thérapeutiques ? Les conférences internationales auraient-elles donné suffisamment de place aux effets indésirables, ou se seraient-elles contentées (...) [la suite]
Une nouvelle molécule (Edurant®) et un nouveau « 3-en-1 » (Complera®) sont sur le point d’être mis sur le marché. Retour sur les deux essais cliniques de phase III qui ont évalué ce nouvel inhibiteur non nucléosidique de la transcriptase inverse (INNTI), la rilpivirine (Edurant®). [la suite]
Les décrets, amendements et autres lois, discutées plus ou moins obscurément au Parlement, ont souvent des impacts décisifs sur nos vies. Tandis que le Sénat s’apprête à se renouveler (et potentiellement à basculer à gauche) et que les législatives approchent, retour sur quelques dossiers en cours et sur leurs conséquences en termes de lutte contre le sida. [la suite]
Depuis le 15 juin 2011, il est possible grâce au formulaire joint de directement déclarer les effets indésirables au centre régional de pharmacovigilance (CRPV) dont vous dépendez géographiquement (coordonnées indiquées au dos du formulaire). [la suite]
Avant d’être commercialisé, un médicament est d’abord évalué sur un échantillon de personnes dans le cadre d’essais cliniques pour mettre en évidence les effets indésirables et les risques encourus par les personnes. Tout ne pouvant être anticipé, en particulier ce qui concerne la prise au long cours, l’évaluation du médicament commercialisé se poursuit donc en une surveillance qu’on appelle pharmacovigilance après son obtention d’ATU ou d’AMM. Décodage de ce dispositif. Premier épisode. [la suite]
Boire selon sa soif suffit pour être en bonne santé, après avoir fait du sport et transpirer beaucoup par exemple, mais sans plus ! Contrairement aux messages publicitaires ou plus « sobrement » appelé publi-communiqués, boire 1 litre et demi d’eau par jour n’est pas aussi bénéfique qu’on voudrait nous le faire croire. [la suite]
L’infection VIH qui, reste en premier lieu une atteinte du système immunitaire, peut également altérer certains tissus, en particulier le cerveau, les muscles, les os et les vaisseaux sanguins mais aussi certains organes comme le foie, les poumons ou le cœur. Cette altération peut être directement le fait du VIH, celui d’un autre agent pathogène ou bien encore être due à une atteinte cancéreuse, puisqu’il est établi que cette infection favorise la survenue de certains cancers. Cependant, depuis l’avènement des multithérapies, on sait aussi que la prise au long cours d’antirétroviraux peut provoquer des atteintes des différents tissus et organes du corps humain. Parmi les organes ciblés par le VIH et/ou les antirétroviraux, le rein ne fait hélas pas exception : il semble alors utile de faire le point sur ce sujet. [la suite]
Les troubles rénaux étant assez fréquents chez les personnes vivant avec le VIH, la prévention d’une évolution vers une atteinte rénale chronique est par conséquent essentielle. [la suite]
Le nombre croissant de personnes vivant avec le VIH sous multithérapie et ayant eu ou non une atteinte rénale donne son sens à la question des effets secondaires rénaux des antirétroviraux. [la suite]
Dans le cadre de l’infection par le VIH, différentes affections peuvent survenir. Ici sont citées les principales atteintes rénales rencontrées et présentées succinctement. [la suite]
A ce jour, l’Assurance Maladie n’assure pas officiellement la prise en charge d’interventions réparatrices/compensatrices des lipoatrophies atteignant les fesses. Or, les retentissements fonctionnels et psychiques de ces troubles sont aussi sévères, et parfois davantage, que ceux de la lipoatrophie du visage. Cet article est issu du TRT-5. [la suite]
Lundi 12 mars 2007 de 19 heures à 22 heures, Act Up-Paris vous invite à sa 63ème RéPI (réunion publique d’information). [la suite]
Du 12 au 16 novembre 2006 deux membres de la commission traitements & recherche suivaient les présentations du 8ème congrès sur les traitements dans l’infection à VIH qui se déroulait comme tous les deux ans à Glasgow, en Écosse. Petit tour d’horizon de ce qui a attiré notre attention. [la suite]
Dans certaines conférences, ou revues scientifiques, des cas de démence sont à nouveau recensés. Nous avons décidé de nous plonger dans ce nouveau dossier au vu de l’expérience que nous a apporté les problèmes ostéo, cardio, et plus récemment diabéto. Ce n’est pas un sujet joyeux, ni positif, mais il nous semblait intéressant de mettre cette information à disposition de ceux qui veulent en savoir plus. Pour autant, ces pages sont à lire avec précaution en cas de moral peu solide. [la suite]
Didier Lestrade a rédigé une chronique dans le JDS de septembre dernier, n° 188, où il pose la question de l’impact contreproductif du combat associatif dans le domaine thérapeutique. Selon lui, à force d’évoquer les aspects les plus noirs de la maladie, contraintes et effets indésirables des traitements surtout, nous masquerions les réels progrès obtenus et, plus grave, découragerions les personnes à commencer ou prendre correctement leurs traitements*. Nous souhaitons répondre ici, sans engendrer une polémique que le titre de sa chronique, « Mensonges » et certains arguments avancés pourraient autoriser. [la suite]
Le Dr. Brigitte Milpied-Homsi, investigatrice principale de cet essai nous a donné les résultats de la première étude multicentrique portant sur des tests cutanés médicamenteux dans l’exploration des toxidermies* aux antirétroviraux chez les personnes vivant avec le VIH, essai présenté dans Protocoles n°32. [la suite]
Après l’expérience de 2002 sur la notification des effets secondaires des antirétroviraux, l’AFSSaPS démarre cette étude le 1er mai prochain. [la suite]
Dans ce dossier, vous trouverez tout d’abord quelques informations d’ordre épidémiologique et sur les facteurs influençant la survenue de la lipoatrophie mais aussi plus généralement la lipodystrophie et les altérations métaboliques, puisque ces trois types d’effets secondaires sont étroitement liés. Quelques informations sur les mécanismes biochimiques de la lipoatrophie/lipodystrophie sont ensuite présentées. Le paragraphe suivant est consacré aux méthodes, autres qu’esthétiques, permettant de limiter avec plus ou moins de succès la survenue ou l’aggravation de la lipoatrophie/lipodystrophie. La suite de ce dossier est consacrée à trois méthodes de restauration de volume permettant de corriger la lipoatrophie faciale. Un premier paragraphe est consacré au New-Fill® dont le remboursement a été notifié au début de 2005. Vous y trouverez notamment certaines informations pratiques. Les deux paragraphes suivants sont consacrés à l’autogreffe adipeuse et au Bio-Alcamid, deux autres techniques alternatives au New-Fill®. Une comparaison de différents aspects de ces trois techniques clôt ce dossier. [la suite]
Aujourd’hui, dans le cadre de l’infection par le VIH, les malades sont de plus en plus fréquemment confrontés à des difficultés médicales qui semblent liées « à la durée de la maladie » et paraissent imputables à une toxicité à long terme des traitements antirétroviraux et/ou à la présence du VIH dans l’organisme. [la suite]
A l’occasion du 2 novembre, « fête des trépasséEs », les militantEs d’Act Up-Paris collent dans la capitale une affiche rappelant qu’on meurt toujours du sida. Cette affiche rappelle les principales causes de décès liées à l’infection à VIH. [la suite]
L’évolution des traitements a profondément modifié les préoccupations et les inquiétudes des malades en matière de douleurs, de maux ou d’effets induits par la présence du virus comme par celle des traitements. Les neuropathies font toujours partie de ces inquiètudes. [la suite]
En absence de traitement antirétroviral, les personnes vivant avec le VIH sont susceptibles de développer des complications cardiaques (cardiomyopathie, péricardite, endocardite, hypertension artérielle pulmonaire et vascularite). L’introduction des combinaisons antirétrovirales dans les pays industrialisés a augmenté considérablement l’espérance de vie, mais fait-elle pour autant disparaître ces complications ? [la suite]
Le TRT-5 se félicite de la mise en œuvre du remboursement du NewFill, produit utilisé pour le traitement des lipoatrophies faciales, mais le collectif souhaite que tous les patients bénéficient d’une prise en charge systématique des effets indésirables dans le cadre d’une prise en charge médicale globale. [la suite]
L’enthousiasme qu’a suscité l’arrivée des trithérapies est depuis longtemps retombé. Certes, on meurt moins du sida qu’au début des années 90 - du moins dans les pays où les traitements sont accessibles. Mais la mortalité liée au vih a depuis lors repris sa progression, ses causes ne cessent de se diversifier et notre état de santé de se dégrader. [la suite]
Anne-Sophie Glouzmann a passée avec succès sa thèse pour le diplôme d’état de Docteur en Pharmacie sur le thème de « sida : une épidémie qui se décline aussi au féminin ». Nous y avons assisté le 13 juin 2003, elle a bien voulu répondre ensuite à nos questions. [la suite]
En fonction des traitements antirétroviraux les effets secondaires, les contre-indications et les recommandations. [la suite]
La tenue de la 10ème conférence sur les rétrovirus et les maladies opportunistes (CROI) dans la ville de Boston, aux universités prestigieuses, devait être un bon présage d’une manifestation de haute qualité. [la suite]
Etude observationnelle, multicentrique, prospective de l’évolution de la prise en charge thérapeutique au long cours de patients recevant leurs antirétroviraux en une prise unique par jour. [la suite]
Dans le monde, 21 millions de femmes avancent dans l’épidémie du sida sans savoir ce que l’avenir leur réserve, car la recherche médicale s’est faite uniquement sur les hommes. [la suite]
Selon une étude italienne, les femmes coinfectées VIH - VHC ont plus de risques que les autres personnes traitées de souffrir de lipodystrophies. [la suite]
Extraits de « Act Up, une histoire » de Didier Lestrade (éditions Denoël) [la suite]
En décembre 2002, l’OMS estime que dans le monde, la moitié des adultes séropositifs sont des femmes. En Afrique subsaharienne, le nombre de femmes infectées est même supérieur à celui des hommes : elles représentent 58% des adultes séropositifs. En France, au 31 mars 2002, 26% des nouveaux cas de sida sont des femmes. En 1998, sur l’ensemble des cas de sida, on comptait 1 femme touchée pour 2,8 hommes, contre 1 femme pour 5 hommes au début des années 90. Au 1er semestre 2001, parmi les 15/29 ans (...) [la suite]
Aujourd’hui, les infectiologues disposent d’au moins dix-huit molécules différentes d’antirétoviraux, plus quelques autres encore en phase de recherche. Aucun médecin ne peut prétendre maîtriser seul la prescription et le suivi de l’ensemble de ces molécules, ainsi que leurs effets secondaires, trop nombreux, et encore difficilement prévisibles. Ils ont donc tous leurs chevaux de bataille favoris, mais aussi leurs ennemis jurés. Voici un classement subjectif pour une première mise sous traitement. (...) [la suite]
Au printemps 2002, des associations membres du TRT-5 (Act Up, Actions Traitements, Aides) activaient leurs réseaux pour lancer une enquête sur les effets neuro-psy des traitements antirétroviraux. Quelque mille questionnaires nous sont revenus et ont été traités dès le mois de juillet. En voici les résultats. Ils montrent bien l’intérêt de faire des études à long terme et de manière longitudinale. contexte Cela fait déjà quelques années que nous nous battons pour obtenir des données à long terme des (...) [la suite]
Aujourd’hui, lundi 14 octobre 2002, une vingtaine de militants d’Act Up-Paris ont investi les locaux de Schering-Plough à Levallois-Perret pour dénoncer le mépris du laboratoire vis-à-vis des patients co-infectés au VIH / sida et à l’hépatite C. [la suite]
L’épidémie du sida a sans doute eu pour seul effet bénéfique le changement des rapports médecin/malade. Cette maladie étant aussi peu connue des cliniciens, chercheurs et malades, nous nous sommes tous trouvés au même niveau de connaissances et de compétences pour lutter contre le virus. Les malades se sont regroupés, les associations se sont formées, et le niveau d’information s’est élevé des deux côtés, soignants et soignés. Ce n’était plus le médecin seul qui décidait de la stratégie à suivre mais elle se construisait dans un relatif dialogue et non dans une relation de subordination. L’arrivée des trithérapies, la prise en charge de plus en plus complexe ont changé la donne. Les médecins ont repris un peu de leur superbe et nous recevons à nouveau des témoignages de malades confrontés à des cas “ d’inhumanisme ” médical. [la suite]
Le traitement antirétroviral contre le VIH a souvent des effets méconnus sur le moral des personnes. L’objectif de ce questionnaire est donc d’établir une liste complète et objective de ces différents effets ressentis par les malades sous traitements. [la suite]
En 2001, le nombre de femmes contaminées dans le monde était supérieur à celui des hommes. La place des femmes dans cette pandémie commence seulement à être l’objet de colloques, mais les informations restent peu accessibles. Pour tenter de répondre à nos interrogations, nous avons organisé une RéPI. Compte-rendu. [la suite]
Les multithérapies maintiennent les malades du sida en vie, elles ne parviennent pourtant pas à les guérir. Une des explications de cet échec réside dans la présence, quelque part dans l’organisme, de certaines cellules qui sont soustraites à l’action du traitement et demeurent infectées. [la suite]
Plutôt que mettre en œuvre de réels essais cliniques dont ils auraient la charge financière, Abbott préfère en effet mener des études financées indirectement par la Sécurité Sociale. [la suite]
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Les effets indésirables dus à la toxicité cumulée des traitements sont de plus en plus variés et handicapant : trouble du métabolisme des graisses, neuropathies, problèmes osseux et cardio-vasculaires... [la suite]
Du 4 au 8 février dernier s’est tenue à Chicago la " 8e conférence sur les rétrovirus et les maladies opportunistes ". La tendance de cette huitième année s’inscrit dans la lignée des dernières : après une forte prépondérance de la clinique, la recherche médicale s’oriente de plus en plus vers la compréhension des mécanismes, tant de la cible à combattre, le VIH, que de l’immunité. [la suite]
De récentes observations indiquent que la névirapine, un antirétroviral très utilisé dans les multithérapies, provoque chez les femmes des éruptions cutanées beaucoup plus graves que chez les hommes, ainsi que des troubles sévères du foie. [la suite]
Depuis 3 ans, avec la généralisation de la prescription des trithérapies, l’espérance de vie des malades du sida est devenue plus importante et les effets secondaires dûs aux antirétroviraux aussi. [la suite]
Le Dr Corman est sexologue à Toulouse, très en avance dans le domaine de la sexualité des personnes atteintes, il a accepté de répondre à nos questions. [la suite]
Aujourd’hui encore, les problèmes liés à la sexualité sont tus et passent pour inexistants lorsque les personnes concernées sont séropositifs. Ce n’est ni en gardant le silence, ni en nous opposant un silence que les problèmes s’arrangeront : problèmes fonctionnels, problèmes d’interactions avec nos traitements, problèmes psychologiques, affectifs, sociaux, problèmes liés à l’absence de parole privée ou publique. [la suite]
Evaluation prospective du risque de maladie athéromateuse au cours de l’infection par le VIH. [la suite]
Depuis plusieurs numéros de Protocoles, nous nous intéressons au New Fill. Une fois encorel’actualité qui entoure ce ce produit mérite que nous nous y arrêtions. [la suite]
Alors que les bénéfices immunologiques des traitements sont en régression et que les affections graves liées aux effets secondaires se multiplient, il est difficile d’observer l’ attitude des médecins avec l’industrie pharmaceutique sans être en colère. En écho aux firmes pharmaceutiques qui se font les hérauts d’une nouvelle ère du sida chronique, du sida tranquille, sans problème, les médecins intègrent et répercutent le discours qui érige la trithérapie en panacée. [la suite]
Traitements du sida et traitement de la séropositivité, même combat ? La question la plus débattue depuis un an lors des congrès internationaux sur le VIH-sida semble être : quand traiter ? avec son corollaire : quand changer de traitement ? [la suite]
Effets dus à l’intolérance aux traitements Les effets secondaires dus aux antirétroviraux correspondent à des intolérances aux traitements. Les plus fréquents sont les maux de tête, les nausées et vomissements, la fatigue, la perte d’appétit, les accès de fièvre, les picotements ou brûlures aux mains et aux pieds, les diarrhées et les problèmes de peaux. Certains effets secondaires sont mortels : Hypersensibilités cutanées ou respiratoires dues à l’abacavir (Ziagen®) ; Hypersensibilités cutanées et (...) [la suite]
Le sida serait devenu une maladie chronique. C’est ce que tout le monde dit : pouvoirs publics, industries pharmaceutiques... [la suite]
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Lundi 14 décembre, Act Up-Paris a rencontré le laboratoire Dupont-Pharma représenté par Alain Araguès, son président, Valérie Grégoire, médecin produits VIH, et Bruno Baconnet, directeur médical et du développement. Suite à un courrier que nous leur avions adressé comportant un certain nombre de questions très précises, ils se sont efforcés de répondre à nos interrogations avec un apparent souci de transparence et de clarté auquel nous ne serons pas restés insensibles. [la suite]
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Mercredi 19 février, de 19h à 22h, Act Up-Toulouse vous invite à sa 14ème Réunion Publique d’Information (RéPI). Aujourd’hui, une personne séropositive, sous traitement, et dans l’état actuel des connaissances de la science et de la recherche, sait qu’elle risque d’avoir à prendre des médicaments à vie. (...) [la suite]
Les résultats de l’enquête menée sur les effets neuropsy des antirétroviraux menée par le TRT-5 (lire Protocoles n°25), qui regroupe les principales associations de lutte contre le sida, font ressortir des médicaments attendus (comme l’éfavirenz) mais aussi des médicaments insoupçonnés (comme (...) [la suite]
Ca y est ! Le projet pilote de pharmacovigilance par les patients de l’AFSSaPS a été lancé. 3.000 formulaires ont été distribué depuis le début du mois. Ce questionnaire a pour but de récolter des informations concernant les effets secondaires. Contrairement au système actuel, qui se base sur la seule (...) [la suite]
Retour de la conférence sur les lipodystrophies et les troubles du métabolisme à Marbella. Il ne faudrait pas croire qu’en allant à une conférence médicale sur un sujet encore aussi trouble que les lipodystrophies (troubles de la répartition des graisses), on va forcément revenir avec de nouvelles (...) [la suite]
Mercredi 29 mai de 19h à 22h, Act Up-Lyon organise une Réunion Publique d’Information (RéPI) : « Mon traitement "marche" mais je ne suis pas content ». Au cours de cette réunion, les questions suivantes seront abordées : Quelles sont les possibilités de réparation ? Y-a-til de bons et de mauvais (...) [la suite]
Outre le questionnaire relatif aux effets secondaires psychologiques présenté dans Protocoles 23 et élaboré par les associations, une autre initiative du même acabit a été prise par l’AFSSaPS. En effet, afin d’avoir une meilleure vue d’ensemble des effets secondaires provoqués par les traitements (...) [la suite]
Act Up-Nord organise sa 1ère RéPI le 12 juin prochain, à Lille sur le thème « Traitements et effets secondaires ». Et Act Up-Lyon en organise une sur le thème : « Toxicité cumulée des traitements », le 29 mai, à Lyon. [la suite]
Les traitement antirétroviral fortement actif (HAART) ont apporté des bénéfices importants à beaucoup de malades, réduisant considérablement la morbidité et la mortalité liées au VIH, limités cependant par des toxicités significatives à court et long terme, des dosages compliqués associés à des problèmes (...) [la suite]
Si l’industrie pharmaceutique s’intéressait autant à la santé des malades qu’à ses résultats financiers, elle axerait sans nul doute la recherche sur des pistes visant la suppression de la production du VIH dans les macrophages. L’éradication pourrait alors devenir un objectif réaliste ; il serait (...) [la suite]
Le 18 octobre dernier, madame la professeure Christine Katlama invitait les malades, leur entourage et toutes les personnes intéressées à une réunion intitulée « Information-débat sur les stratégies thérapeutiques et les avancées de la recherche sur le VIH en 2001 ». Un public nombreux a assisté à cette (...) [la suite]
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