Militant dans l’âme, Bruno-Pascal a fait ses classes aux jeunesses communistes. Il travaille à Act Up-Paris pendant six ans où il s’occupe de la commission banlieue. Il rejoint ensuite le Conseil d’Administration d’Aides Ile-de-France et le Patchwork des Noms.
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Articles
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Le combat contre les franchises de Bruno-Pascal Chevalier
14 février 2008 -
Médecin traitantE, exception et majoration de participation
1er avril 2010La loi de 2004 sur la réforme de l’Assurance Maladie a instauré l’obligation d’avoir recours à unE médecin traitantE dans le cadre du « parcours de soins ». Le cas échéant, votre « participation forfaitaire » est majorée. Sont toutefois consultables sans passer par unE médecin traitantE (« accès spécifique ») : la gynécologie médicale et obstétrique l’ophtalmologie la psychiatrie (jusqu’à 25 ans) la neuropsychiatrie et les soins dentaires
Dans le cadre de la loi HPST, l’Article L 162-5-3 (…) -
Edito
31 mai 2008En 2004, le gouvernement Raffarin, une fois de plus « soucieux d’assurer la maîtrise des dépenses de santé », proposait en urgence au Parlement la discussion d’une loi réformant l’assurance maladie. Ce projet visait, entre autres, à améliorer le fonctionnement du système de soins en instaurant le principe d’unE médecin traitant et le parcours de soins coordonné.
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Sida : combien coûtent nos vies ? La CPAM du Val-de-Marne nous envoie la facture
25 novembre 2004Jeudi 25 novembre au matin, des activistes d’Act Up-Paris ont investi le siège de la Caisse Primaire d’Assurance Maladie (CPAM) du Val-de-Marne à Créteil. Malgré plusieurs barrages, ils ont réussi à pénétrer dans la partie interdite au public au sein de laquelle ils ont interpellé tous les agents de la Caisse de manière bruyante.
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Fin du 100% : l’Etat déclare la guerre aux malades
24 juin 2008Comme le laissaient entendre les annonces de ces derniers mois, la fin du 100 % est désormais très sérieusement envisagée, si l’on en croit les déclarations de Frédéric Van Roekeghem dans Les Échos ce mardi. Le directeur de l’Assurance Maladie préconise en effet de ne plus rembourser qu’à 35% certains médicaments des patients souffrant d’Affections Longue Durée (ALD). Cette obsession comptable, au mépris de la situation des malades en ALD - dont bon nombre sont dans des situations de grande précarité - est insupportable.
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Édito
Il y a un an, Act Up-Paris a ouvert sa propre permanence juridique. Cela n’entre pas dans notre mode de fonctionnement habituel. Mais trop de malades nous ont sollicité, se plaignant d’administrations qui leur refusent des prestations légitimes.
Notre but n’était pas - et n’est toujours pas - de nous substituer aux services sociaux ou aux associations plus directement impliquées dans l’aide sociale aux malades. Cela relève de notre combat politique et de notre conception de la politique à (…) -
Un an de Sarkozy à l’Elysée : la Santé est mal barrée
5 mai 2008Comme nous l’anticipions lors de la campagne présidentielle, le bilan de cette première année de Nicolas Sarkozy à l’Elysée est particulièrement délétère pour la santé publique et l’accès aux soins. Le président a radicalement tenu ses promesses : les plus riches ont eu leur bouclier fiscal, les plus malades ont eu leurs franchises médicales. Mais Nicolas Sarkozy a aussi radicalement perdu en popularité. Et il ne lui suffira pas de communication : il faudra bien que le Président revienne sur des mesures injustes et injustifiables et qu’il recadre sa politique anti-sociale.
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Réforme du système de remboursement : perspectives.
1er décembre 2004Nous, les malades du sida, sommes fréquemment confrontéEs à l’arrivée de marqueurs sanguins nouveaux qui déterminent plus finement l’évolution de notre pathologie et ses complications.
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Mobilisation contre les franchises médicales
27 septembre 2007Le collectif national contre les franchises médicales, dont Act Up-Paris fait partie, organise une journée de mobilisation samedi 29 septembre. Quatre heures de débats pour éclairer et développer la mobilisation contre les franchises sur les dépenses de santé et penser ensemble l’avenir de la sécurité sociale.
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La permanence Juridique d’Act Up-Paris : SIDA = PRECARITE
Il y a un an, Act Up-Paris a ouvert sa propre permanence juridique. Cela n’entre pas dans notre mode de fonctionnement habituel. Mais trop de malades nous ont sollicité, se plaignant d’administrations qui leur refusent des prestations légitimes.