Les vidéos de la 103e RéPI « Capotes ! » sont disponibles. Bon visionnage ! [la suite]
Difficile de parler de maladie lorsque l’on veut danser.
Difficile d’évoquer la précarité de nombreuxSES séropos parisienNEs lorsque l’on veut se trémousser.
Difficile de compter des contaminations toujours plus nombreuses lorsque nous voudrions nous contenter de compter des pédés, des trans, des gouines et des biEs heureuxSES et fiEREs de l’être.
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Même si le déploiement du concept de santé sexuelle semble très en vogue actuellement, les préoccupations en matière de santé sexuelle n’ont pas commencé avec le sida mais bien avant. Dans les années 70, avec la syphilis, l’hépatite B était au premier rang des préoccupations des gays et a servi, bien avant le sida, à concrétiser les règles du safer sex qui se sont répandues dans les années 80 pour se protéger de la transmission du VIH. Ces règles ont permis la quasi disparition des Infections Sexuellement (...) [la suite]
Le SLAM est un mode de consommation de drogues injectables apparu récemment chez les gays avec l’émergence sur le marché, très accessible, de la mephédrone et de ses produits dérivés. [la suite]
Où en est la recherche sur la prévention de la transmission du VIH et des autres IST ? En quoi répond-elle (ou pas) à nos préoccupations quotidiennes ? Des réponses sur reactup.fr [la suite]
L’enquête PREVAGAY avait déjà montré que, parmi les gays fréquentant les bars parisiens, une personne sur six était infectée par le VIH et 20 % ignoraient leur statut sérologique. Depuis, des données d’incidence particulièrement dramatiques ont été publiées à partir de cette étude. Ces chiffres sont tellement effarants que personne n’a pu les commenter. [la suite]
Pour la marche des Fiertés 2010, Act Up-Paris interpelle la communauté LGBT sur son attitude face au sida et appelle à davantage de combativité. [la suite]
La prévention n’est pas affaire de mode, elle est affaire politique. On entend trop dire que le discours centré sur la capote aurait échoué, qu’il faudrait passer à autre chose. Mais qui, en dehors d’Act Up-Paris, pose la question des raisons politiques de cet « échec », à commencer par l’invisibilité et l’inefficacité des campagnes publiques sur le préservatif ? [la suite]
Alors que le risque de transmission sexuelle de l’hépatite C chez les gays est identifié depuis plusieurs années, l’INPES publie enfin, en 2010, une brochure d’information. [la suite]
Roselyne Bachelot-Narquin cherche à imposer une approche dite de "réduction des risques sexuels" chez les gays, alors même que cette question continue de diviser fortement le milieu associatif en France comme à l’étranger. [la suite]
Séronet au départ c’est une belle idée, développée aux USA et mise en oeuvre en France sur une petite échelle par des bénévoles. Son but : créer un réseau internet qui permettrait aux séropositifVEs, souvent isoléEs, d’échanger les unEs avec les autres ; et accessoirement leur diffuser de l’information. La réalité n’est pas aussi généreuse. [la suite]
En 2004, dans le cadre de l’émission Sida blabla, 8 spots de prévention ont été enregistré. Ils sont réunis ici. [la suite]
sida : qui ne risque rien n’a rien
Quel que soit son statut sérologique, chacunE s’interroge sur le risque de transmission du virus du sida. Dans les débats qui traversent actuellement la prévention (notamment sur l’influence de la charge virale et l’impact des traitements), cette notion de risque et de son évaluation est centrale. Comment caractérise-t-on ce risque ?
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Dès sa création en 1989, Act Up-Paris a dénoncé, par la contestation et l’action, le sempiternel retard pris par la France en matière de prévention. Originellement issuEs de la communauté gay, et premierEs à avoir été touchéEs par l’épidémie, nous ne pouvons tolérer le peu de mobilisation des pouvoirs publics face au nombre de nouvelles contaminations qui ont lieu chaque année. [la suite]
Où le travail commence sur les chapeaux de roue, où on parle de médicaments pour enfants et de sexe multipartenaire. [la suite]
1/5 : ce serait la part d’homosexuels touchés par le VIH en France. Alors que les gays sont censés être les mieux informés parmi la population, quel paradoxe nous conduit aujourd’hui à de tels chiffres, 25 ans après le début de l’épidémie ? Portrait d’un serpent qui se mord la queue... [la suite]
La commission fédérale suisse sur le sida a récemment affiché une conviction bien troublante en affirmant que, dans certaines conditions qu’elle précise, les séropositifVEs ne risqueraient pas de transmettre le virus à leur partenaire. Il n’en fallait pas moins pour lancer un débat mondial. [la suite]
L’infectiosité d’une personne récemment infectée est très élevée les premiers mois qui suivent sa contamination. Ignorant souvent encore qu’ils viennent d’être contaminés, ces nouveaux séropositifs ne modifient pas nécessairement leur comportement sexuel pour adopter des pratiques safe. [la suite]
Depuis bientôt deux ans, des chercheurEs en sciences sociales décrivent, en Grande-Bretagne, aux Etats-Unis et en Australie, l’émergence de pratiques de sérotriage (serosorting) dans la communauté homosexuelle. On décrit sous cette terminologie le choix de partenaires de même statut sérologique par des gays engagés dans des rapports sexuels non protégés avec des partenaires occasionnels. [la suite]
Pour que soit respecté le droit à la santé des actrices et des acteurs, l’idée d’imposer une visite médicale obligatoire semble particulièrement pertinente, si bien-sûr les impératifs élémentaires de prévention sont pris en considération lors de ces visites. [la suite]
Il faudrait que non seulement les pénétrations anales et vaginales soient protégées, que les éjaculations buccales n’aient plus cours, tant dans le porno gay que dans le porno hétéro (où elles sont légions), mais aussi que la fellation soit pratiquée avec préservatif. [la suite]
Pour la première fois, en plus de quinze ans de lutte contre le sida, Act Up-Paris s’allie à une agence de communication pour produire une campagne d’interpellation destinée au grand public. Le constat, partagé par touTEs les acteurRICEs, d’un retour en arrière dans la perception de la pandémie nous oblige à repenser nos modes d’intervention et il nous impose d’abord de nous faire entendre. De toute urgence. [la suite]
Pour la première fois, en plus de quinze ans de lutte contre le sida, Act Up-Paris s’allie à une agence de communication pour produire une campagne d’interpellation destinée au grand public. Le constat, partagé par tous les acteurs, d’un retour en arrière dans la perception de la pandémie nous oblige à repenser nos modes d’intervention et il nous impose d’abord de nous faire entendre. De toute urgence. [la suite]
Lors de cette conférence organisé par l’association the warning, nous avons distribué ce tract. [la suite]
En France 780 000 personnes sont touchées. la co-infection avec le vih accélère l’évolution de l’hépatite C vers une cirrhose et le cancer du foie. Les hépatites sont la première cause de mortalités chez les séropositifVEs au VIH. Une étude de l’InVS montre que chez les pédés il y a une forte incidence de contamination par voie sexuelle, lors de rapports non protégés. [la suite]
La réapparition, chez les pédés, d’une maladie presque disparue, la lymphogranulomatose vénérienne rectale (LGV ou maladie de Nicolas Favre) est inquiétante. Parce qu’elle peut entraîner des complications très sévères au niveau du colon. Parce qu’elle se soigne difficilement, nécessitant une cure d’antibiotiques d’au moins 3 semaines. Parce qu’elle témoigne d’un relâchement, tout comme la réapparition de la syphilis, des pratiques de prévention. [la suite]
En octobre 1991, une étude menée à San Francisco alertait sur le fait que la fellation présentait un risque de transmission au VIH. Elle mettait en évidence que plusieurs pédés qui n’avaient pas pratiqué de pénétration anale mais seulement des fellations avaient été contaminés. [la suite]
Au cas où vous ne le sauriez pas encore, Aides ne fait plus de prévention, mais se lance dans la Réduction Des Risques. [la suite]
Les infections sexuellement transmissibles (IST) sont en pleine recrudescence en France. Cette réapparition des IST est préoccupante car elle indique que le risque de transmission du VIH est aussi augmenté, notamment chez les gays. [la suite]
Pendant un rapport sexuel non ou mal protégé, les virus qui détruisent le foie sont facilement transmissibles. L’évolution vers la cirrhose ou le cancer du foie est très fréquente. Explications. [la suite]
Il existe une procédure à suivre en cas d’exposition accidentelle au VIH. [la suite]
En 2004, les contaminations continuent et on meurt toujours du sida. [la suite]
Ce second contre-argumentaire, moins pédé-centré nous permet de répondre plus largement aux mauvaises excuses qui légitiment les prises de risques sexuels. [la suite]
A Act Up-Paris, les militantEs ont une vie sexuelle très active et nous rencontrons de nombreuxSES partenaires. Malheureusement, la prévention ne semble plus une évidence et nous devons de plus en plus souvent imposer le port de la capote. Pendant ce temps, les contaminations reprennent de plus belle dans notre communauté. Voici donc une liste des idées reçues sur le sida et la prévention, chacune accompagnées d’un contre-argumentaire : [la suite]
Le pari était risqué. Pourtant nous l’avons gagné. Il y avait 400 personnes le mardi 7 novembre 2000, pour participer à l’Assemblée générale des Pédés. Le mot d’ordre que nous avions lancé était « Il est temps de parler ». [la suite]
Compte-rendu de la RéPI du 8 mars 2000. [la suite]
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