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Ensemble des moyens destinés à prévenir l’apparition, la propagation ou l’aggravation d’une maladie, à l’aide de dépistage, de médicaments, de messages de prévention, c’est le cas, par exemple, du paludisme.
Une prophylaxie médicamenteuse primaire est utilisée pour prévenir une première manifestation infectieuse, une prophylaxie secondaire pour éviter une rechute.
Dans le cas du VIH, une prophylaxie, ou traitement d’urgence (TPE), est composé le plus souvent d’une combinaison de 3 antirétroviraux ; il peut être prescrit à toute personne qui a été exposée à un risque de contamination par le VIH, et ce, pour une durée de 4 semaines. Ce risque concerne également le personnel de santé en cas de blessure par matériel médical, et tous et toutes en cas de viol, de rupture de préservatif, de partage de seringues, etc. Le traitement doit intervenir dans les 48 heures qui suivent l’événement. Il sera encore plus efficace s’il est administré dans les 4 heures qui suivent la prise de risque.
Voir prévention
Face aux prises de position récentes du Comité associatif, et à l’adoption en son sein d’un nouveau mode de décision excluant les avis minoritaires, Act Up-Paris quitte le comité associatif, tout en maintenant sa vigilance et son exigence vis-à-vis de la recherche sur les PrEPs, dont l’essai IPERGAY est un maillon important. [la suite]
Employés initialement pour prévenir la transmission du VIH de la mère à l’enfant, des antirétroviraux sont utilisés en traitement post-exposition (TPE) et actuellement à l’essai en prophylaxie pré-exposition (PREP) : où en est-on ? [la suite]
Le traitement doit commencer le plus tôt possible, dans l’idéal avant la 4e heure suivant l’exposition et dans la limite maximum de 48 heures. [la suite]
Nous avons reçu plusieurs témoignages de viol ou maltraitance de la part de codétenus ou de surveillants. En dehors de la responsabilité des personnes qui ont commis des violences, viols ou maltraitances, l’Administration Pénitentiaire engage sa responsabilité si elle reste passive face à de tels agissements et ne vous protège pas. L’Administration Pénitentiaire doit « assurer le respect de la dignité inhérente à toute personne qui lui est confiée par l’autorité judiciaire » (Article D.189 du Code de (...) [la suite]
Dès 1996, en cas de risque d’infection par le VIH, dans le cadre professionnel, un traitement prophylactique (AZT/zidovudine) était disponible pour les soignantEs afin d’éviter une contamination. Depuis 1998, et grâce au combat d’Act Up-Paris, l’accès à un traitement prophylactique est possible en cas de risque sexuel, ou d’exposition non-professionnelle. [la suite]
Le préservatif demeure le seul moyen efficace de se protéger du sida. En cas de rapport non protégé, de rupture de préservatif, ou de toute autre prise de risque, on peut en France grâce à l’action des associations bénéficier d’un traitement Prophylactique post-exposition (TPE). [la suite]
Des photos sont disponibles
« Un toxicomane de 41 ans, qui se savait porteur du VIH, a été condamné mardi à quatre ans de prison dont trois ferme par le tribunal correctionnel de Thionville pour avoir voulu transmettre le virus à un CRS en le mordant [...]. Le CRS vit actuellement "au rythme du protocole d’analyses qui ne se terminera qu’en mai prochain et là seulement il saura s’il est séropositif ou pas à son tour", a ajouté le défenseur précisant que "depuis le mois de mai, il a peur d’embrasser ses enfants, ses proches" ». Plus (...) [la suite]
Accident d’exposition au VIH : que faire ? Il existe une procédure à suivre en cas d’exposition accidentelle au VIH (capote qui craque, rapport non protégé, exposition au sang, etc.). [la suite]
Il existe une procédure à suivre en cas d’exposition accidentelle au VIH. [la suite]
Ce second contre-argumentaire, moins pédé-centré nous permet de répondre plus largement aux mauvaises excuses qui légitiment les prises de risques sexuels. [la suite]
Certains médicaments sont écartés du traitement post-exposition, sauf avis contraire d’un spécialiste du VIH, à cause du risque de survenue brutale d’effets secondaires graves et soudains [la suite]
Le dispositif d’accès aux traitements d’urgence pour les personnes séronégatives exposées au VIH a été publié en avril 2003. [la suite]
En cas de risques de contamination par le VIH (rapport non protégé, préservatif ayant craqué), vous devez vous rendre dans les plus brefs délais aux services des urgences pour y recevoir un traitement prophylactique après votre exposition au risque de contamination. [la suite]
Les pouvoirs publics consultent les malades : rapports d’experts, groupes de travail, réunions d’information, les pouvoirs publics font mine de s’intéresser aux besoins des malades. C’est une bonne idée, mais leurs efforts s’essoufflent bien vite. [la suite]
C’est à croire que les pouvoirs publics sont irresponsables. Avant 1998, les traitements d’urgence en cas d’exposition au VIH étaient réservés au personnel de santé. Depuis, grâce à la pression d’Act Up-Paris, une circulaire définit la prise en charge des personnes exposées au VIH au cours de rapports sexuels, de partage de matériel d’injection et d’autres situations dangereuses. [la suite]
Jusqu’à maintenant, si vous êtes séronégatif et que vous pensez avoir été exposé au VIH, vous pouvez vous rendre dès que possible, et sous 48 heures au maximum après la prise de risque, au service d’urgence de n’importe quel hôpital pour y recevoir un traitement préventif. [la suite]
Le 4 octobre dernier, nous étions une vingtaine à participer à une table ronde consacrée aux problèmes des hôpitaux. Les problèmes d’accueil des malades dans les hôpitaux se multiplient, que ce soit dans les services VIH ou dans des services spécialisés (diététique, hépato, chirurgie, etc.). [la suite]
Eté 1997, Act Up-Paris entame et gagne un redoutable bras de fer contre les pouvoirs publics, pour l’application immédiate de la note 666 du 28 octobre 1996, à savoir la mise à disposition des traitements post-exposition pour tous et pas seulement pour les accidents professionnels du corps médical. [la suite]
C’est ainsi que les 18 et 24 septembre 1997, le service d’urgence a refusé de prendre en considération la demande de deux personnes ayant téléphoné suite à une exposition au VIH due à une rupture de préservatif. [la suite]
Dans le dernier numéro d’Action, Act Up dénonçait l’inégalité d’accès à la prophylaxie après exposition accidentelle au VIH, entre le personnel soignant et tous les autres.
Chronologie du feuilleton de l’été... ou la donne change...
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Le 24 juin dernier, Act Up-Paris dénonçait publiquement l’inégalité d’accès au traitement prophylactique après une exposition au VIH. [la suite]
Le dispositif de prophylaxie mis en place par la note 666 est inégalitaire. Il ne s’applique qu’aux professionnels de santé. Il exclut donc la quasi-totalité de ceux qui sont effectivement exposés au VIH, c’est-à-dire les milliers de victimes d’accidents de capote et les usagers de drogue ne disposant pas de matériel propre. [la suite]
En France, quand un pédé séronégatif se fait enculer par un pédé séropositif et que la capote se déchire - ou glisse - juste avant ou au moment de l’éjaculation, on appelle ça « un accident de capote ». Les recommandations officielles invitent seulement à attendre trois mois avant de faire un test pour savoir si le pédé séronégatif est devenu un pédé séropositif. Quels gestes peut-on et doit faire immédiatement pour limiter la graviter de l’exposition au VIH ? Peut-on s’adresser à un médecin ? Faut-il aller aux urgences de l’hôpital le plus proche ? [la suite]
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