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Recherche systématique chez une personne ou un groupe de personnes d’une affection latente. Dans l’infection par le VIH, un premier test permet de mettre en évidence les anticorps anti-VIH par une technique dite ELISA, un autre prélèvement doit confirmer le diagnostic. Dans l’avenir, une seule technique, plus sensible et plus spécifique pourrait s’avérer suffisante. En 2009, deux tests sont encore exigés par la législation pour déterminer un statut sérologique.
Voir tests rapides et l’article votre suivi.
En automne dernier, nous décidions de faire évoluer notre position sur les auto-tests et à en faire valoir les bénéfices éventuels, tout en insistant sur les recommandations qui nous semblaient essentielles. Le Conseil national du sida (CNS), qui nous a auditionné, ainsi que d’autres associations et les principaux laboratoires en mesure de développer des autotests, entre autres, a rendu un rapport le 22 mars dans lequel il recommande, à certaines conditions, l’autorisation des auto-tests. Nous faisons ici le point sur les données scientifiques sur lesquelles il est indispensable de s’appuyer pour avoir une vision claire des bénéfices et des risques de tels outils, notamment concernant leur fiabilité. Nous en profitons pour rappeler que les enjeux ne sont pas seulement ceux de la bio-médecine ; ils sont aussi politiques et sociaux. [la suite]
Le retard au dépistage entraîne une perte de chance thérapeutique massive… [la suite]
Viennent de paraître dans le BEH, les données sur les diagnostics de séropositivité au VIH et de cas de sida pour l’année 2011 issues des déclarations obligatoires. Ces chiffres illustrent une situation en matière de dépistage qui évolue, et restent très inquiétants en ce qui concerne le nombre de diagnostics tardifs. [la suite]
Indemnisation de la contamination à l’hépatite C Les personnes contaminées par le VHC lors d’une transfusion sanguine sont confrontées aux méandres administratifs pour faire valoir leurs droits. Alors que la loi de 2002 restait floue sur les questions de preuves, Madame Bachelot s’était prononcée en faveur d’une application large des procédures d’indemnisation (application de la procédure d’indemnisation amiable quelle que soit la date de la transfusion et la nature juridique de la structure ayant (...) [la suite]
Un test de dépistage du VIH peut être proposé aux femmes au cours des examens prénuptiaux ou au cours d’une grossesse. Ces tests ne sont pas obligatoires mais doivent être systématiquement proposés. Vous avez tout intérêt à accepter ces tests si vous n’êtes pas sûre de votre statut sérologique. Rien ne vous oblige à parler de votre statut sérologique à votre conjoint, mais il est nécessaire, si vous êtes séropositive, d’adopter des pratiques sexuelles sans (...) [la suite]
Comment me faire dépister sans informer mon entourage ? Ai-je le droit de donner mon avis ? Le/la médecin doit-il/elle suivre les indications de mes parents ? Que faire si j’estime que l’attitude de mes parents est dangereuse pour ma santé ? Peut-on me refuser des soins ou des vaccins en raison de mon âge et de ma séropositivité ? Que faire si je ne veux pas informer mes parents de ma séropositivité ? Comment payer mes soins ? Et si je veux assumer ma vie pleinement avant ma majorité ? [la suite]
Vous pouvez en permanence vous faire dépister auprès des infirmièrEs ou médecins des UCSA, pour le VIH comme pour le VHC. Ce droit à connaître votre statut sérologique au VIH ou aux virus des hépatites vous appartient. Médecins et infirmièrEs doivent répondre à votre demande. Faites-le au moindre doute, si vous pensez avoir été contaminéE par le VIH (exposition au sang, au sperme, rapports sexuels non protégés, échange de seringues) ou l’hépatite C (par le sang, tatouages, échanges de seringues, de (...) [la suite]
Pendant l’entretien d’embauche Les questions posées lors de l’entretien d’embauche doivent avoir un lien direct et nécessaire avec l’emploi que l’on vous propose. L’employeurSE n’a pas le droit de vous questionner sur votre état de santé, ni sur votre vie privée en général. S’il/elle le fait, vous n’êtes pas tenuE de répondre et vous avez même le droit de mentir. Seule une fausse information qui par la suite s’avérerait préjudiciable pour l’employeurSE pourrait justifier la rupture ultérieure du contrat de (...) [la suite]
La visite médicale Dans les 24 heures suivant votre incarcération, vous allez être soumisE à un examen médical, notamment afin de rechercher toute maladie contagieuse ou évolutive qui nécessiterait des mesures d’isolement ou des soins urgents. Vous passerez aussi une radio des poumons pour la détection de la tuberculose. Une seconde visite médicale est proposée à toute personne condamnée dans le mois précédant sa libération. La visite médicale d’entrée est censée aussi contrôler l’état vaccinal. (...) [la suite]
Pour la première fois depuis le début de l’épidémie, des données sur la prévalence de l’infection à VIH mesurée par des tests sérologiques chez les gays sont publiées. Act Up-Paris demandait la réalisation d’une telle étude depuis plusieurs années. [la suite]
La Haute Autorité de Santé recommande enfin le dépistage généralisé du VIH/sida. Reste au ministère de le mettre en oeuvre. [la suite]
La Haute autorité de santé (HAS) recommande un dépistage généralisé du VIH/sida. Une mesure qui aurait dû être mise en place il y a au moins 3 ans ! Pour autant, le nécessaire renforcement du dépistage ne saurait à lui seul remplacer une réelle politique de prévention. [la suite]
Le Conseil National du Sida (CNS) vient de publier un avis sur l’intérêt du traitement en matière de prévention. Au regard de cet avis plutôt mesuré, les recommandations avancées par le CNS sont relativement simplistes. Cet avis confirme l’intérêt du dépistage et de la mise sous traitement pour endiguer l’épidémie à une échelle globale et réitère la prudence nécessaire quant à la transposition à l’échelle individuelle de ces données. [la suite]
La campagne de l’INPES de juin 2008, « Avant d’arrêter le préservatif, faites le test » met en scène des couples qui s’installent dans une relation suivie. Ces couples utilisent systématiquement le préservatif jusqu’au test, fait en commun, moment manifestement libérateur où ils pourront cesser de se protéger. Autrement dit, où ils découvriront qu’ils ou elles ont le même statut sérologique. [la suite]
Jusqu’à présent les moyens de dépistage du VIH nécessitent une prise de sang en CDAG ou en laboratoire privé et en cas de positivité, une confirmation un mois plus tard. Aujourd’hui les tests rapides élargissent la palette d’outils de dépistage. Comment fonctionne-t-ils ? [la suite]
Le 14 novembre dernier, Act Up-Paris a rencontré la ministre de la Santé, de la Jeunesse et des Sports, Roselyne Bachelot-Narquin. Ce rendez-vous, sollicité depuis sa nomination, s’est débloqué à la faveur de la pression que nous avons exercée à propos des franchises médicales, lors du débat parlementaire. Déroulé de ce rendez-vous : [la suite]
Nous avons rassemblé les thèmes les plus pertinents de la lutte contre le sida dans un contexte d’élections municipales, et en avons produit ce questionnaire à l’adresse des principaux/principales candidatEs à la Mairie de Paris, afin qu’ils/elles y explicitent leurs points de vue et leurs programmes concernant ces sujets urgents. [la suite]
« Ne vous inquiétez pas, ils ne sont que deux. Cela fait des années qu’ils protestent, cela ne sert à rien ». C’est ainsi que Nicolas Sarkozy a réagi alors qu’il était interpellé par plusieurs militants d’Act Up-Paris protestant contre l’investiture de Christian Vanneste par l’UMP pour les municipales. Le Président de la République - alors simple président de l’UMP - s’était pourtant publiquement engagé à exclure Christian Vanneste, après que celui-ci a été condamné pour insulte homophobe suite à la plainte d’Act Up-Paris, de SOS Homophobie et du SNEG. En lui accordant « son soutien plein et entier » pour les élections municipales, l’UMP rend l’homophobie éligible, avec le soutien de Nicolas Sarkozy. [la suite]
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Le 27 novembre 2006, l’InVS (l’Institut national de Veille Sanitaire) vient de rendre public les données de la Déclaration Obligatoire de Séropositivité (DOS). Le nombre de nouveaux diagnostics de séropositivité en 2005 (6 700) est équivalent à celui de l’année précédente et montre que l’épidémie de sida se maintient, en France, à un niveau anormalement élevé. Il n’y a jamais eu autant de personnes vivant avec le VIH/sida qu’aujourd’hui. Mais c’est chez les gays que ces nouvelles données sont les plus alarmantes. [la suite]
En septembre Act Up-Toulouse alertait les médias des risques que la municipalité fait courir en matière de santé publique. Les moyens donnés au seul CDAG de Toulouse sont évalués à la baisse, alors qu’en France 47 % de personnes découvrent leur séropositivité au stade sida. [la suite]
La protection de la santé est un droit élémentaire auquel peut prétendre toutE employéE et qui incombe à l’employeurSE, eu égard au Code du travail. Les tournages réalisés sans préservatifs font prendre des risques considérables aux actrices et aux acteurs en termes de transmission des IST, dont le VIH/sida. [la suite]
Une quinzaine de militantEs d’Act Up-Paris ont occupé ce matin les locaux de l’Institut national de prévention et d’éducation pour la santé (INPES) pour alerter contre la fermeture prochaine de nombreux centres de dépistage. Alors que tous les indicateurs montrent une baisse tendancielle des dépistages, alors que Xavier Bertrand se dit "inquiet de la recrudescence de la transmission", alors que Villepin annonce vouloir "adapter les campagnes et les actions de prévention en donnant une image plus réaliste de la gravité de l’infection", une réforme mal gérée de "recentralisation" des politiques de prévention met en péril l’existence même de nombreux CDAG à compter du 1er janvier 2006. [la suite]
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Depuis cet été, nous recevons des messages inquiétants qui nous signalent la fermeture de Centre de dépistage anonyme et gratuit (CDAG) de ville à compter du 1er janvier 2006 (à Toulouse, Bayonne, Nîmes, Boulogne-sur-Mer, dans le 92, etc.). Les subventions qu’accordaient jusqu’alors les conseils généraux à ces structures n’ont pas été renouvelées. [la suite]
Le sida a été déclaré grande cause nationale pour 2005. Pourtant, pour nous, acteurs et actrices de la lutte contre la pandémie, la régression est partout. Régression des moyens accordés, régression des droits des malades et des populations particulièrement vulnérables, régression de la mobilisation, régression des réflexes de prévention : tout concourt au désespoir et à la solitude des personnes séropositives et de celles et ceux qui se battent à leurs côtés. [la suite]
En moins de 10 jours, nous avons été contraints par deux fois de rappeler à l’Agence france presse (AFP) qu’elle n’a pas fait sérieusement le travail d’information auquel on pourrait s’attendre. Des militants bénévoles d’Act Up auront dû dépenser leur temps à corriger des erreurs diffusées par des journalistes professionnels qui, par incompétence, paresse ou goût du sensationnalisme, participent activement à la désinformation du public sur les questions liées au sida. [la suite]
Plusieurs médias français se sont fait l’écho d’une information publiée ce 13 novembre au matin dans deux tabloïds britanniques annonçant à grand renfort de sensationnalisme la guérison "miracle" d’un séropositif. Act Up Paris dénonce le fait qu’à nouveau une telle information soit diffusée sans plus de précautions et sans plus de vérifications. Outre les faux espoirs qu’elle peut susciter chez les malades, elle peut avoir des répercussions dangereuses sur la perception par la population de la fiabilité des tests de dépistages du sida. [la suite]
Si vous êtes mineur et âgé de plus de 15 ans, vous pouvez vous faire dépister gratuitement et confidentiellement dans un Centre de dépistage anonyme et gratuit (CDAG). [la suite]
M6 lance une nouvelle émission, Loft Story. Les organisateurs de l’émission ont annoncé que la sélection des participants passe par un examen médical au cours duquel on demande un test de dépistage du virus du sida et des virus des hépatites B et C. Imposer de tels tests est illégal et discriminatoire. Rien ne peut justifier de telles pratiques. [la suite]
L’année a mal débuté au Togo. La pénurie de réactifs a déjà commencé, et pour l’instant, aucun bailleur de fonds n’a prévu le financement de tests de dépistage. [la suite]
Les 18 et 19 janvier 2000 avaient lieu à Sida Info Service deux journées de formation sur les hépatites et la coinfection par les virus du sida (VIH) et de l’hépatite B (VHB) ou C (VHC). Cette formation gratuite était organisée à l’attention des associations par le Kiosque Info Sida. [la suite]
Le Conseil National du sida (CNS) a rendu au mois de novembre un rapport sur la politique de dépistage en France après l’audition de nombreux acteurs. Dans ce rapport, le CNS suggère une remise à plat de la politique française de dépistage qui date du début des années 90. Il envisage notamment la (...) [la suite]
Une présentation très intéressante a été faite par E. S. Valencia (Netherlands - TuOrD1206) sur l’accès au dépistage de la tuberculose chez des SDF atteints de pathologie mentale à New-York, à haut risque VIH. Dans le cadre d’intervention de courte durée dans des centres d’hébergement provisoires, (...) [la suite]
Sous prétexte de ne pas cautionner une didacture, le gouvernement togolais, les bailleurs de fonds internationaux condament la population : il n’existe aucun financement pour les réactifs qui permettraient d’assurer la sécurité transfusionnelle et les dépistages volontaires. Au Togo, les bailleurs de (...) [la suite]
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