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Autorisation temporaire d’utilisation. Elle permet aux malades d’avoir un accès précoce aux médicaments avant ou hors AMM.
ATU nominative : elle est demandée par unE clinicienNE pour une personne donnée, pour un médicament dont le développement en est encore à un stade précoce (phase II). La demande est transmise par le ou la pharmacienne de l’hôpital à l’Afssaps qui l’envoie au laboratoire. Après expertise du dossier et en cas d’avis favorable, l’Afssaps transmet l’ATU au ou à la pharmacienne et en informe le ou la prescriptrice.
La durée de l’ATU nominative correspond à la durée du traitement.
ATU de cohorte : les personnes répondant aux critères de la cohorte sont traitées et surveillées selon un protocole établi par l’Afssaps et le laboratoire, et peuvent ainsi obtenir un médicament, dont le développement est plus avancé que précédemment (phase III). Souvent le dossier d’AMM est en préparation voire même en cours d’expertise. La demande est adressée au centre de gestion de l’ATU et l’accord de chaque COREVIH est requis. Le produit est alors disponible auprès du ou de la pharmacienne hospitalier.
La durée des ATU de cohorte est de un an, parfois renouvelée.
GILEAD REFUSES ACCESS TO TREATMENT TO SERIOUSLY ILL HEPATITIS C PATIENTS / GILEAD REFUSE DE DONNER UN TRAITEMENT A DES PERSONNES GRAVEMENT MALADES DE L’HÉPATITE C [la suite]
Le 13 février dernier, avait lieu au Sénat une rencontre publique intitulée : « Quelle politique publique industrielle, recherche et démocratie sanitaire du médicament en France, en Europe et dans le Monde ? ». [la suite]
baisse globale des prix des médicaments assortie d’une promotion des génériques, augmentation substantielle des contributions au fonds internationaux, mise en place d’une taxe sur les transactions financières qui bénéficie au Sud, prises de positions suivies de faits quant à la primauté de la santé sur le commerce et la propriété intellectuelle... c’est urgent ! [la suite]
loi sur la sécurité du médicament ; VIH & tuberculose ; témoignages pour Actions Traitements ; enfin une étude sur le cœur des femmes ; diabète, âge et VIH ; L’ANRS devient une agence autonome de l’Inserm ; la SFLS en webcast ; interactions entre anti-épileptiques et antirétroviraux. [la suite]
Le TRT-5 a rédigé un document de positions proposant des amendements au projet de loi relatif à la sécurité du médicament. Ces amendements concernent le régime des Autorisations Temporaires d’Utilisation et l’inclusion dans les essais cliniques de populations négligées par la recherche (femmes, personnes âgées, enfants, trans, usagErEs de drogues, personnes co-infectées, etc.). [la suite]
Vous trouverez ci-dessous le courrier qu’Act Up-Paris et Aides envoie aux sénateurRICEs de la nouvelle majorité. Nous y exprimons nos inquiétudes quant à l’avenir du dispositif des ATU (Autorisations temporaires d’utilisation) tel que la loi sur le médicament va le définir. Les sénateurRICEs risquent en effet de bloquer l’accès à des nouveautés thérapeutiques vitales pour les personnes vivant avec une pathologie grave. [la suite]
Act Up-Paris envoie aujourd’hui à chaque sénateurRICE un questionnaire sur ses relations avec l’industrie pharmaceutique (voir document joint). Ce questionnaire, très simple, dont la réponse ne prend pas plus de 5 minutes, vise à éclairer les débats parlementaires sur la loi sur le médicament : nos éluEs sont-ils et elles indépédantEs des laboratoires pharmaceutiques ? [la suite]
A l’occasion des discussions à l’Assemblée Nationale autour de la loi sur le médicament, Act Up-Paris avait envoyé un questionnaire aux députéEs sur leurs relations avec l’industrie pharmaceutiques. Au 18 octobre, une cinquantaine de députéEs ont répondu. Ce sont majoritairement des éluEs n’ayant pas déclaré de relations avec les entreprise du médicament. [la suite]
AMM américaine pour Complera® et AMM pour Edurant® (rilpivirine) ; Viramune® désormais disponible en une prise par jour ; AMM pour Victrelis® (bocéprévir) et Incivo® (télaprevir) ; Extension de l’indication de l’ATU de cohorte d’Incivo® (télaprévir) aux co-infectés VIH-VHC [la suite]
Quels usages, quels effets du cannabis chez les personnes vivant avec le VIH et/ou du VHC ? Retour sur la Réunion Publique d’Information (RéPI) du 15 décembre dernier sur le cannabis thérapeutique où nous avions invité Fred Navarro (commission Drogues & Usages d’Act Up-Paris), Anne Pelet (médecin, Unité des dépendances du CHU de Genève) et Bertrand Lebeau, président de la Coordination pour l’Étude du Cannabis Thérapeutique (CECT). [la suite]
Au moment où nous bouclons, la loi-phare de Xavier Bertrand est passée en première lecture à l’Assemblée Nationale. Le Sénat, qui vient de basculer dans l’opposition gouvernementale, est susceptible de l’améliorer. Tout comme nous avons travaillé avec les députéEs, nous nous emploierons à convaincre les sénateurRICEs de la nécessité d’améliorer ce texte trop timide sur de nombreux sujets : présence des femmes et des minorités dans les essais, souplesse des ATU, transparence du prix du médicament. [la suite]
Alors que la discussion du projet de loi relatif au renforcement de la sécurité sanitaire du médicament et des produits de santé débute mardi 27 septembre à l’Assemblée nationale, le groupe interassociatif de lutte contre le VIH/sida TRT-5 appelle les député-e-s à conserver de la souplesse au dispositif d’Autorisation Temporaire d’Utilisation (ATU) pour sauver des vies. [la suite]
Act Up-Paris envoie aujourd’hui à chaque députéE un questionnaire sur ses relations avec l’industrie pharmaceutique (voir document joint). Ce questionnaire, très simple, dont la réponse ne prend pas plus de 5 minutes, vise à éclairer les débats parlementaires sur la loi sur le médicament : nos éluEs sont-ils et elles indépédantEs des laboratoires pharmaceutiques ? [la suite]
Les décrets, amendements et autres lois, discutées plus ou moins obscurément au Parlement, ont souvent des impacts décisifs sur nos vies. Tandis que le Sénat s’apprête à se renouveler (et potentiellement à basculer à gauche) et que les législatives approchent, retour sur quelques dossiers en cours et sur leurs conséquences en termes de lutte contre le sida. [la suite]
Nous demandons depuis des mois un accès d’urgence pour les personnes co-infectéEs aux deux nouvelles molécules anti-VHC, boceprevir et telaprevir, via la recherche publique (essais de l’ANRS) et via une Autorisation Temporaire d’Utilisation (ATU) nominative protocolisée de l’Afssaps (Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé). [la suite]
Des photos sont disponibles
La brève que nous avons publiée dans Protocoles 45 le mois dernier, contenait des informations inexactes et pour le moins prématurées concernant l’accès au TMC 125 ou etravirine (inhibiteur non nucléosidique de la transcriptase inverse de Tibotec) et à l’anti-intégrase MK 0518 de MSD. [la suite]
La recherche élabore actuellement de nouvelles spécialités pharmaceutiques. Pour ceux et celles qui se trouvent en échec thérapeutique (plus 6% des malades traitéEs), l’arrivée de ces nouvelles molécules représente un espoir de vie. Ceux et celles qui n’ont jamais encore été traitéEs pourraient bénéficier de traitements moins lourds et contraignants. [la suite]
Quand Act Up-Paris a lancé sa campagne “Guerre aux labos” il y a un an, certaines compagnies pharmaceutiques sont tombées des nues. Pourquoi tant de haine ? Les raisons sont nombreuses, mais en voici au moins une : l’industrie diffère l’accès à de nouveaux traitements, vitaux pour une partie des malades en échappement thérapeutique. Malgré ses velléités de séduction des associations de malades (prépondérance du marketing, etc.), l’obsession de réduire l’accès pré-AMM à ses produits l’emporte, et les malades sont finalement perdants. [la suite]
Gilead-NexStar refuse de mettre rapidement à disposition des malades en impasse thérapeutique en Europe alors qu’il l’est aux Etats Unis, le ténofovir. [la suite]
Roche-Trimeris refuse de mettre rapidement à disposition des malades en impasse thérapeutique le T20. [la suite]
Pharmacia & Upjohn refuse de mettre rapidement à disposition des malades en impasse thérapeutique le tipranavir, nouvelle antiprotéase. [la suite]
Abbott refuse de mettre rapidement à disposition des malades en impasse thérapeutique l’ABT 378, nouvelle antiprotéase. [la suite]
Le chiffre est maintenant officiel : 8% des séropositifs traités ne répondent plus à leur traitement, soit entre 6 000 et 8 000 personnes. Huit associations de lutte contre le sida, dont Act Up-Paris, se sont réunies pour élaborer une stratégie visant à permettre aux personnes en échec thérapeutique un accès précoce à de nouveaux médicaments. [la suite]
D’après les chefs des services spécialisés dans l’infection à VIH, entre 5 et 10% des séropositifs ne répondent plus aux traitements antirétroviraux. Ils sont donc à peu près 8000 que leur système immunitaire ne protège absolument plus d’éventuelles infections opportunistes, du fait d’un taux de CD4 extrêmement bas ; certains ont d’ores et déjà développé des affections graves : tuberculose, pneumocystose, toxoplasmose, CMV, candidose sévère. La résistance du virus aux traitements actuellement disponibles sur le marché français est la cause principale de ces échecs thérapeutiques très préoccupants. [la suite]
Elle permet à toutE médecin de s’adresser à l’Agence du Médicament pour prescrire un médicament à unE malade donnéE alors que le médicament n’est pas encore homologué [la suite]
Cette année aura été l’occasion pour les associations de malades des Hépatites de mener avec succès un gros travail de lobby afin d’obtenir la mise à disposition rapide de l’adéfovir, un traitement pour l’hépatite B, et l’ouverture d’une ATU nominative qui a permis la prescription pour environ 250 patients (...) [la suite]
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