Exigée dès 1998 par les associations de lutte contre le sida, Act Up-Paris en tête, pour disposer d’un moyen efficace pour suivre l’évolution des contaminations en France, la Déclaration obligatoire de séropositivité (DO) n’a été mise en place qu’en 2003. Les résultats qui viennent de paraître nous laisse perplexes.
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Action 110
Articles
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Baisse en trompe l’oeil des contaminations
6 décembre 2007 -
Menaces au Sud
6 décembre 2007Dans certains pays du Sud, la parité est plus qu’atteinte, elle est dépassée. Inégalité devant l’éducation et l’information, domination statutaire des hommes, disparités accrues face aux revenus et à l’emploi, la féminisation de l’épidémie se fait, plus encore au Sud qu’au Nord, sur le lit des inégalités hommes-femmes.
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On ne soigne pas les femmes comme les hommes
6 décembre 2007Dans l’infection à VIH, la recherche n’a pas suffisamment étudié les spécificités des femmes séropositives. Il est pourtant primordial de connaître précisément l’impact de la maladie et des traitements lourds sur nos corps.
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Rencontre avec Catherine, l’une de nos militantEs
6 décembre 2007sida : envie d’en être ? À cette question nous répondons : non. Et puis d’autres questions se posent, simples et plus complexes. De ces interrogations est née cette rubrique, un espace pour parler de soi, de son rapport à la maladie, à la sexualité, aux traitements, à la prévention, au monde. Nous sommes des séropositifVEs, des malades, des activistes de la lutte contre le sida. Rencontre avec une de nos militantEs, Catherine.
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Edito
6 décembre 2007, par Emmanuel Chateau, Hugues FischerLe mot d’ordre que nous avons choisi cette année pour la manifestation du premier décembre « sida : bientôt la parité, à quand l’égalité ? » met en avant la question des femmes dans l’épidémie. Dix ans après la première rencontre « Femmes et VIH » organisée par la DGS, Sida info service et le Centre Européen pour la Surveillance Epidémiologie du Sida (CESES), Act Up-Paris, le Planning familial, Sida Info Service sont à l’instigation d’un nouveau colloque qui se tiendra le 30 novembre et le 1er décembre.
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Sex, drug and sex : c’est la fête ?
19 décembre 2007Mercredi 19 décembre 2007 de 19 heures à 22 heures, Act Up-Paris vous invite à sa 67ème RéPI (réunion publique d’information).
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Sans parler de plaisir et de pratiques, on ne prévient rien
6 décembre 2007L’hétérosexualité, le couple, la confiance en l’autre, la fidélité ne protègent pas du sida. La classe sociale, la couleur de peau et la « bonne mine », non plus. Seul le préservatif protège du sida. Une femme qui a une sexualité, c’est déjà gênant. Une femme qui propose une capote, ça l’est d’autant plus qu’elle l’assume.
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Un bon rapport ! Un rapport de plus !?
6 décembre 2007Le contexte sanitaire des prisons est connu ou presque. De nombreux rapports ont dénoncé la surpopulation carcérale, l’insalubrité, l’insuffisance dans l’accès aux droits et aux soins. La Direction régionale des affaires sanitaires et sociales d’Ile-de-France (DRASSIF) a néanmoins estimé qu’il était nécessaire de réaliser un état des lieux de la prise en charge du VIH, des hépatites et des IST dans les 10 prisons de sa région.
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SIDA : BIENTÔT LA PARITÉ, À QUAND L’ÉGALITÉ
6 décembre 2007Les femmes sont aussi nombreuses que les hommes à être touchées par le sida. C’est une forme de parité que personne n’a souhaitée. Mais quand les femmes seront-elles traitées à égalité dans les campagnes de prévention et dans la recherche ? Leur invisibilisation face au sida et, de façon générale, le sexisme, nourrissent la stigmatisation, sapent la prévention et freinent l’accès aux soins. Pour que les femmes ne soient plus les oubliées de l’épidémie, nous manifesterons le 30 novembre, à l’occasion de la journée mondiale de lutte contre le sida.
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Etat raciste, Etat machiste
6 décembre 2007Derrière le discours qui victimise et stigmatise les femmes étrangères séropositives se cache une politique migratoire qui contribue à précariser ces femmes et à propager l’épidémie. Les femmes séropositives étrangères que nous rencontrons chaque semaine à la permanence étrangerEs ne peuvent aujourd’hui ni se soigner, ni vivre correctement avec leurs proches en France.