Les soins prodigués pour les infections ou autres maladies considérées comme ne découlant pas du VIH ne sont pas compris dans la prise en charge du 100 %. [la suite]
L’infection à VIH est classée parmi les affections longue durée (ALD). Cela ouvre notamment le droit à une prise en charge intégrale des frais médicaux liés à l’infection, notamment une exonération du ticket modérateur. C’est ce qu’on appelle le 100 %. [la suite]
En France, le parcours d’une personne qui souhaite faire une transition (incluant ou non des opérations chirurgicales) doit en théorie commencer par la consultation d’unE psychiatre (de ville ou hospitalier). Généralement, seul le certificat d’unE psychiatre diagnostiquant un « transsexualisme » et surtout certifiant que vous ne présentez pas de « pathologie mentale associée (co-morbidité) » vous permettra la délivrance d’hormones. Attention ! Les équipes hospitalières exigent généralement un suivi (...) [la suite]
La santé c’est cher. L’élite gouvernementale se creuse la tête pour faire payer davantage les malades. [la suite]
Aujourd’hui, 22 % des personnes vivant avec le VIH en France n’ont pas de logement et 1 personne sur 2 vit en dessous du seuil de pauvreté. Lutter contre le VIH, c’est lutter contre la précarité, contre les discriminations et pour les droits des personnes. [la suite]
Le témoignage rapporté ici illustre à merveille la différence entre « l’esprit de la loi » et son application au jour le jour. Exemple d’autant plus d’actualité, que le gouvernement actuel ne demande pas mieux que de faire exploser notre système de prise en charge basée sur une solidarité publique. [la suite]
Suite à la réforme de l’assurance maladie de 2006, les personnes bénéficiaires d’une prise en charge des soins et des traitements à 100 % au titre d’une Affection Longue Durée (ALD) doivent établir un nouveau protocole de soins. La mise en place a pris beaucoup de retard, alors que les malades dépendant de ce régime devaient avant le 1er juillet 2008 faire mettre à jour leurs protocoles de soins par leur médecin. C’est grâce à l’alerte lancée par les associations de malades et les nombreuses discussions avec la CNAMTS et la ministre de la Santé, que nous avons obtenu que ce délai, qui n’était pas tenable, soit repoussé au 31 décembre 2009. Vous trouverez dans cet article toutes les informations utiles sur ce nouveau protocole de soins. [la suite]
Roselyne Bachelot-Narquin recevait ce matin des associations de lutte contre le sida afin de préparer la Conférence mondiale de lutte contre le sida qui se tiendra à Mexico du 3 au 8 août prochain. Lors de cette rencontre, Act Up-Paris et AIDES ont demandé que le financement par la France de l’accès universel aux traitements, la nécessaire lutte contre les discriminations fondées sur l’orientation sexuelle dans les pays en développement et la dénonciation de la pénalisation de la transmission du VIH constituent le cœur des déclarations de la France à l’occasion de la conférence. [la suite]
Si Act Up-Paris se félicite du vote unanime du CA de la CNAMTS contre le démantèlement du système de l’Affection Longue Durée (ALD), nous ne sommes pas dupes pour autant de ce revirement. Cette proposition n’était pas le seul fait de Frédéric Van Roekeghem, elle est avant tout politique : Xavier Bertrand, Roselyne Bachelot-Narquin, Eric Woerth et Martin Hirsch font partie d’un gouvernement qui a déclaré la guerre aux malades : [la suite]
Comme le laissaient entendre les annonces de ces derniers mois, la fin du 100 % est désormais très sérieusement envisagée, si l’on en croit les déclarations de Frédéric Van Roekeghem dans Les Échos ce mardi. Le directeur de l’Assurance Maladie préconise en effet de ne plus rembourser qu’à 35% certains médicaments des patients souffrant d’Affections Longue Durée (ALD). Cette obsession comptable, au mépris de la situation des malades en ALD - dont bon nombre sont dans des situations de grande précarité - est insupportable. [la suite]
Le ministère de la Santé a annoncé, ce lundi 9 juin, la prolongation jusqu’au 31 décembre 2009 de la période transitoire de validité des anciens protocoles de prise en charge des affections de longue durée (ALD), qui devait initialement s’achever le 1er juillet 2008 . Cette décision fait suite à l’alerte lancée depuis quelques semaines par les associations du TRT-5 au ministère de la Santé et à la CNAMTS sur les risques à prévoir, dès l’été, de ruptures de prise en charge à 100 % des soins aux personnes concernées par une ALD, notamment les personnes séropositives pour le VIH. [la suite]
En 2004, le gouvernement Raffarin, une fois de plus « soucieux d’assurer la maîtrise des dépenses de santé », proposait en urgence au Parlement la discussion d’une loi réformant l’assurance maladie. Ce projet visait, entre autres, à améliorer le fonctionnement du système de soins en instaurant le principe d’unE médecin traitant et le parcours de soins coordonné. [la suite]
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Le gouvernement vient de dévoiler le projet de loi sur le financement de la sécurité sociale 2008. Comme annoncé, celui-ci prévoit d’instaurer des franchises sur les soins, sans qu’aucune mesure réelle ne soit prise pour protéger les malades les plus précaires. [la suite]
Non content de vouloir, avec les franchises, faire payer les malades pour les malades, Nicolas Sarkozy envisage aujourd’hui de restreindre les soins pris en charge à 100% pour les malades atteints de maladies graves, comme le sida. Ainsi, dans son discours de ce mardi sur la stratégie sociale, il dénonce un « dérapage » des dépenses consacrées aux affections longues durées (ALD) et demande à sa ministre de la Santé de limiter l’exonération du ticket modérateur des malades en ALD. [la suite]
Act Up-Paris s’invite au Sénat ce lundi en fin d’après midi afin d’exprimer à la Haute Autorité de Santé son refus de toute remise en cause de la prise en charge à 100% pour les séropositifVEs [la suite]
Cet été, en catimini, les parlementaires ont discuté en urgence et adopté une loi réformant la Sécurité sociale - entendez la démantelant purement et simplement. [la suite]
Aujourd’hui, jeudi 15 juillet en début d’après-midi, une vingtaine de militants d’Act Up-Paris ont zappé le Ministère de la Santé. Les activistes entendaient dénoncer les menaces que représente (notamment pour les séropositifVEs) le projet de réforme de l’assurance-maladie en terme d’accès aux soins, de prise en charge ou même de remise en cause du secret médical. [la suite]
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Il devient, notamment à Paris, de plus en plus difficile d’obtenir une seconde carte de sécurité sociale dite manuelle sur laquelle ne figure pas votre prise en charge à 100%. [la suite]
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