Nous, les séropositifVEs, avions pris l’habitude d’être des malades d’exception tant que nous n’étions confrontéEs qu’au VIH. Les choses ont bien changé. Dans les années 90, pris par l’urgence de la maladie, nous avons réussi à construire avec nos soignantEs des relations très actives, de véritables collaborations médecin/malade.
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relation malade-médecin
Articles
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Edito
28 novembre 2003 -
Paroles de médecins
1er mai 2003Dans la prise en charge d’une personne vivant avec le VIH, la relation avec le médecin est cruciale, mais pas toujours évidente, y compris pour le personnel médical. Pour « Action », six médecins témoignent.
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Table ronde
12 septembre 2007Quand on vit avec le VIH, la relation avec son médecin est importante pour que le suivi se déroule dans les meilleures conditions. Comment se passe cette relation aujourd’hui quand on est nouvellement contaminé ou quand on vit depuis plus longtemps avec le virus ? Confronter les points de vue, tel fut l’objectif de cette table-ronde organisée à Act Up en juin 2007.
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Malades précaires, malades en colères
1er avril 2005Créée en 1999 et tenue par des militants séropositifs, notre permanence sociale et juridique, doit aujourd’hui faire face à la faillite des pouvoirs publics et à son incidence sur les structures d’accueil. Nous recevons un nombre toujours plus important de séropositifVEs en situation de précarité. Si les questions relatives au revenu et au logement sont les plus nombreuses, nous devons également apporter une aide qui va au-delà du cadre social.
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Cochin : infantilisation intimidation incohérence
L’épidémie de sida a fait évoluer positivement le rapport malade/médecin, du moins au début. Aujourd’hui, la distance se creuse. Mais à lire l’expérience racontée ci-dessous, on se dit qu’il faut tout mettre en oeuvre pour conserver cette humanité qui semble avoir disparue dans les services hospitaliers spécialisés dans d’autres pathologies.
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mon corps m’appartient, le choix me revient
1er septembre 2005Incompréhension des enjeux, des procédures, des situations, négligences, voire franche hostilité... Les médecins françaiSEs entretiennent des relations parfois difficiles avec nous, malades étrangèrEs. Il n’est pas question de généraliser ces difficultés, mais de les dénoncer : elles peuvent avoir des conséquences graves sur notre suivi médical.
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Édito
12 septembre 2007Au début de l’épidémie de sida, le niveau des savoirs des médecins était quasiment équivalent à celui des malades : les premiers assistaient impuissants à la dégradation inéluctable de la santé des seconds et les malades étaient témoins de cette impuissance. Du coup, la relation classique médecin/malade a été remise en question : un médecin ne sait pas tout, le médecin n’ordonnait plus la prise de médicament avec la même autorité tranquille qu’avant l’épidémie, puisqu’il n’y avait pas de traitement réellement efficace. Et cette impuissance face à la nouveauté de la maladie a servi de marchepied pour de nombreux malades.
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Comment compliquer la vie d’un malade ?
En s’inspirant de faits réels, nous nous sommes amuséEs à imaginer ce qui peut se passer dans l’esprit de certainEs de nos médecins. Petite recette à ne pas suivre.
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Édito
La protection du secret médical n’est pas un luxe : si nous l’exigeons, c’est par souci de protéger nos vies privées et la confidentialité de nos états de santé.
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Secret médical
Un droit en péril.