Depuis 1986, avant même l’arrivée des premiers antirétroviraux, le docteur Laurent Roudière s’est consacré au suivi des séropositifs.
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relation malade-médecin
Articles
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Médecin VIH : bonne à tout faire
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La cellule éthique
29 janvier 2004C’est souvent face à une décision médicale difficile, que la relation soignantE/soignéE peut être mise en péril. Une cellule d’éthique a été créée pour aider les personnes impliquées à sortir du conflit qui de par sa nature même, le devenir du malade, met en jeu des concepts extrèmement délicats.
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Question de confiance
1er août 2009Un lecteur de Protocoles nous a envoyé son témoignage, suite aux effets secondaires d’un traitement invalidés par son médecin. Le résumé des incidents liés à la prise de l’Isentress® illustre parfaitement les difficultés d’une relation malade - médecin en 2009, et nous rappelle que le recul est encore insuffisant pour les nouveaux antirétroviraux.
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Médiateur en santé
12 septembre 2007Quand rien ne va plus entre le malade et son médecin, que la relation existe depuis quelques semaines ou plusieurs années, l’intervention d’un tiers peut permettre de repartir sur d’autres bases, tout en conservant un passé chargé d’informations qu’un changement de médecin ne permettrait pas. C’est le rôle des médiateurs en santé qui commencent à œuvrer dans certains services hospitaliers.
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Les malades, acteurs et actrices de la recherche
1er octobre 2004Durant les mois d’avril et mai 2004, différentes associations membres du TRT-5 et du CHV se sont réunies afin d’apporter une contribution inter-associative à la réflexion nationale sur la réorganisation de la recherche française.
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Bilan de la situation début 2005
1er février 2005Malgré de multiples interpellations du gouvernement sur la situation des trans (transsexuelLEs et transgenres), les pouvoirs publics ont donc catégoriquement refusé (malgré des promesses verbales) d’inscrire la transphobie dans la liste des délits et des discriminations.
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Sylvie Fainzang
12 septembre 2007Dans le cadre de ce numéro Hors Série de Protocoles sur le rapport malades/médecins, Sylvie Fainzang, anthropologue, directrice de recherche à l’INSERM, auteure d’une recherche sur « La relation médecins-malades : information et mensonge » a bien voulu nous consacrer un peu de temps afin de répondre à nos questions. Interview.
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Introduction
16 août 1997Information = pouvoir Invités à rendre compte du travail de l’Agence Nationale de Recherches sur le Sida (ANRS) lors d’une des réunions publiques d’information (RéPI) que nous oganisions, les Pr. Jean-Paul Lévy (directeur) et Jean Dormont (responsable de la recherche clinique) ont admis les manques en matière d’information sur les essais cliniques.
Nous étions le 4 décembre 1995 et l’ensemble des participantEs déplorait l’absence de dispositif permettant de prendre connaissance de (...) -
Les malades acteurs de la recherche
2 novembre 2004Au mois de mai et juin derniers, des membres des associations de lutte contre le sida se sont réunis sous la houlette du TRT-5 (groupe Traitements et Recherche Thérapeutique) et du CHV (Collectif Hépatites Virales) pour constituer un atelier local dans le cadre des Etats Généraux de la Recherche dont les travaux ont abouti à des Assises organisées les 28 et 29 octobre derniers.
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Un lama peut en cacher un autre
30 juin 2002L’épidémie du sida a sans doute eu pour seul effet bénéfique le changement des rapports médecin/malade. Cette maladie étant aussi peu connue des cliniciens, chercheurs et malades, nous nous sommes tous trouvés au même niveau de connaissances et de compétences pour lutter contre le virus. Les malades se sont regroupés, les associations se sont formées, et le niveau d’information s’est élevé des deux côtés, soignants et soignés. Ce n’était plus le médecin seul qui décidait de la stratégie à suivre mais elle se construisait dans un relatif dialogue et non dans une relation de subordination. L’arrivée des trithérapies, la prise en charge de plus en plus complexe ont changé la donne. Les médecins ont repris un peu de leur superbe et nous recevons à nouveau des témoignages de malades confrontés à des cas “ d’inhumanisme ” médical.