En absence de traitement antirétroviral, les personnes vivant avec le VIH sont susceptibles de développer des complications cardiaques (cardiomyopathie, péricardite, endocardite, hypertension artérielle pulmonaire et vascularite). L’introduction des combinaisons antirétrovirales dans les pays industrialisés a augmenté considérablement l’espérance de vie, mais fait-elle pour autant disparaître ces complications ?
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prise en charge extra-VIH
Articles
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Atout coeur
16 décembre 2004 -
Prise en charge extra-VIH : quel parcours pour les séropos à l’hôpital ?
13 novembre 2003A l’occasion de la sortie du numéro hors série de notre revue Protocoles,
Act Up-Toulouse, Act Up-Lyon et Act Up-Paris vous invitent à trois RéPI autour du thème : Prise en charge extra-VIH, quel parcours pour les séropos à l’hôpital ? -
Édito
En 1995, nous avions largement participé à l’élaboration de la Charte du Patient Hospitalisé, premier texte formalisant réellement les droits des malades dans les établissements de santé et tentant de corriger le déséquilibre d’une relation patient/médecin où le malade n’avait qu’à se taire. On sait combien, déjà à l’époque, les résistances du corps médical avaient été grandes et combien le malade était considéré comme incapable de participer au choix, à la mise en place et au déroulement (...)
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Edito
28 novembre 2003Nous, les séropositifVEs, avions pris l’habitude d’être des malades d’exception tant que nous n’étions confrontéEs qu’au VIH. Les choses ont bien changé. Dans les années 90, pris par l’urgence de la maladie, nous avons réussi à construire avec nos soignantEs des relations très actives, de véritables collaborations médecin/malade.
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L’accès aux soins des usagers de drogues
Un usager de drogue admis dans un établissement de soins est rarement considéré comme un patient comme les autres. Alors qu’il devrait, comme tout autre malade, recevoir tous les soins que sa pathologie exige, et dans des conditions adaptées à sa situation, il est fréquemment reçu d’abord comme un « malade » de la toxicomanie, et non pas comme un patient souffrant d’une pathologie.
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Table ronde
12 septembre 2007Quand on vit avec le VIH, la relation avec son médecin est importante pour que le suivi se déroule dans les meilleures conditions. Comment se passe cette relation aujourd’hui quand on est nouvellement contaminé ou quand on vit depuis plus longtemps avec le virus ? Confronter les points de vue, tel fut l’objectif de cette table-ronde organisée à Act Up en juin 2007.