Une fois de plus, le président de la MILDT se ridiculise.
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MILDT - Mission Interministérielle de lutte contre les drogues et la toxicomanie
Articles
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« Alors, c’est Toto qui lutte contre les drogues... »
30 août 2010 -
Enquête EROPP : les résultats catastrophiques des campagnes de désinformation organisées par la MILDT
22 juin 2010L’enquête EROPP sur les opinions et perceptions des Français sur les drogues a été publiée hier par la Mission interministerielle de lutte contre la drogue et la toxicomanie (MILDT). Décodage.
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Un hiver de faux espoirs
1er février 2005Le 7 septembre 2004, 126 toxicomanes étaient évacuéEs par la police d’un bâtiment de la SNCF occupé depuis plus d’un an (lire Action n° 95). Chose exceptionnelle, et malgré les pressions exercées par la préfecture pour que l’événement reste discret, l’expulsion se déroule en présence d’une dizaine de journalistes alertéEs par Act Up-Paris. De nombreuses associations spécialisées sont présentes, qui garantissent le calme et offrent du café chaud, au petit matin.
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Front contre le classement du subutex comme stupéfiant
6 mars 2006Le quotidien Libération révélait le 10 janvier dernier que la Commission
Nationale des Stupéfiants avait émis un avis favorable au classement du
Subutex© comme stupéfiant sous l’impulsion de la MILDT. Le 16 février, Act
Up-Paris, Sidaction, Anne Coppel, Marc Valleur et Michel Hautefeuille
adressaient une lettre ouverte à Xavier Bertrand, Ministre de la Santé, pour
lui demander de ne pas suivre cet avis. Ce courrier diffusé auprès des
associations est désormais soutenu par de nombreuses organisations et
acteurs concernés -
Drogues : ouvrons les yeux
1er novembre 2009Ce n’est pas en emprisonnant les usagèrEs qu’on luttera contre les drogues. Act Up-Paris défend une approche dépassionnée et des actions innovantes comme l’ouverture de salles de conso ou la délivrance d’héroïne médicalisée.
« Drogues : ne fermons pas les yeux » : la dernière campagne de l’Institut national de prévention et d’éducation à la santé (INPES) et de la Mission interministérielle de lutte contre la drogue et la toxicomanie (MILDT) nous ramène aux années 80. Rien d’étonnant. Le (...) -
Le classement du Subutex abandonné. Et après ?
Le Ministre de la Santé a décidé de ne pas reclasser le Subutex dans la catégorie des produits stupéfiants. Il a finalement entendu les associations qui avaient fait front contre ce projet et choisi de ne pas suivre la MILDT qui était à l’origine de la proposition. Il s’agit d’une victoire importante et d’un désaveu pour Didier Jayle, président de la MILDT, qui paie ainsi son incapacité à mettre en oeuvre un processus de concertation. Mais il faut maintenant que nous transformions cette « non-défaite » en victoire en réfléchissant à des évolutions possibles des traitements de substitution qui s’appuient réellement sur les besoins des usagerEs.
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Les conventions internationales sur les stupéfiants n’interdisent pas les salles d’injection supervisées !
26 janvier 2011Ce mercredi à 18h15, la mission d’information parlementaire sur la toxicomanie auditionne Marc Moinard, expert auprès de l’Organisation Internationale de Contrôle des Stupéfiants (OICS). A cette occasion, le collectif du 19 mai tient à clarifier la position négative de l’OICS sur les centres d’injection supervisée, principal argument contre les centres d’injection supervisée avancé par la MILDT et l’Académie de médecine.
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Plaisir des drogues
Alors que Lionel Jospin s’était engagé à ouvrir un débat public sur la politique des drogues, la MILDT (Mission interministérielle de Lutte contre la Drogue et la Toxicomanie) organise clandestinement en décembre 1997, un séminaire interministériel sur le plaisir des drogues.
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« Café-philo ou café du commerce, ma place n’est plus à la MILDT »
9 août 2010Dans une interview donnée au Monde daté du 10 août 2010, Etienne Apaire rabache une fois de plus son opposition aux salles de consommation à moindre risque, malgré toutes les preuves scientifiques de leur intérêt en matière de santé. Argument massue du directeur de la MILDT : « ces centres sont discutables sur un plan philosophique. ». Act Up-Paris suggère donc à Etienne Apaire de démissionner de son poste pour animer un café-philo.
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et pourtant
23 juin 2002La MILDT de Jospin nous avait à la fois épatés et exaspérés. Elle avait eu le bon sens enfin de reconnaître qu’« une société sans drogues, ça n’existe pas » ; et le cran même de construire un discours public sur ce constat, puis de lancer des campagnes faisant large part à l’information des consommateurs.