Depuis des années, l’Organisation Mondiale de la Santé oppose une résistance active et criminelle a la distribution de traitements antirétroviraux dans les pays pauvres.
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conférence internationale de Durban (juillet 2000)
Articles
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l’OMS à la solde des laboratoires
11 juillet 2000 -
Durban est notre Seattle
13 juillet 2000Break the silence : le mot d’ordre officiel de la XIIe Conférence internationale sur le sida rappelle d’une manière un peu pathétique le Silence = Mort lancé par Act Up il y a presque quinze ans. Il n’y aurait donc rien de bien nouveau si cette conférence ne se tenait pour la première fois dans un pays africain. Ici, c’est moins le silence qu’il faut briser que la fatalité qui voudrait que 95% des malades soient privés des traitements existants, et le cynisme de laboratoires pharmaceutiques arcboutés sur leurs brevets et leurs bénéfices.
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Allègement thérapeutique : Durban, ou la revanche des captifs.
Paradoxe : si la conférence de Durban représente indéniablement un succès politique pour tous ceux qui se battent afin d’améliorer l’accès des malades du Sud aux traitements disponibles, elle marque aussi, au Nord, la fin d’une période d’avancée thérapeutique dont les trithérapies furent l’emblème.
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A Durban, on a marché sur la lune
Il aura fallu quinze ans, et tellement de morts que les chiffres ressassés sans cesse sont devenus obscènes. Mais enfin, c’est fait : à la dernière Conférence Internationale sur le sida, qui s’est tenue en juillet à Durban en Afrique du Sud, on a enfin envisagé de donner des traitements aux séropos des pays en développement.
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Edito
30 septembre 2000Numéro disponible en PDF