Une semaine après l’annonce par les laboratoires Abbott de l’arrêt de la dispensation de Norvir® en gélules pour la mi-août, de nombreuses questions restent en suspens et les malades vont payer le prix de la négligence du laboratoire.
Dans la lettre d’information qu’Abbott nous a fait parvenir le 28 juillet, les informations concernant le passage de la forme gélule à la forme sirop ne répondent pas aux multiples difficultés auxquelles les patients vont être confrontés : Le passage de (...)
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Traitements Recherche
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Les malades payent le prix de la négligence d’Abbott
4 août 1998 -
Profiteurs du sida : le vrai visage de Merck
1er juillet 1998L’ONUSIDA a engagé des négociations avec les laboratoires pharmaceutiques pour qu’ils réduisent les tarifs de leurs produits, dans le cadre du programme-pilote d’accès aux traitements dans les pays en développement.
A ce jour, Merck est le seul laboratoire à avoir donné une réponse négative. Ce refus doit être connu de tous : il témoigne de la cupidité des laboratoires Merck, à l’heure où un mouvement s’amorce pour faciliter la distribution des traitements dans les pays du Sud.
Il (...) -
Rapport Dormont : Des questions capitales sont encore sans réponse et la recherche doit se poursuivre.
19 juin 1998Si Act Up-Paris ne peut que se réjouir de la rapidité avec laquelle les experts ont réactualisé les stratégies antirétrovirales, nous considérons que la réussite du rapport Dormont se mesurera dans l’application rapide de ses nombreuses recommandations pour tous les patients atteints par le VIH.
Au lendemain de la présentation du rapport, nous souhaitons attirer l’attention sur plusieurs points : Les experts nous donnent raison. Le 12 janvier dernier, dans un encart publicitaire, nous (...) -
Grâce à Act Up-Paris, un antivomitif efficace pourra être enfin prescrit en France : le Nabilone.
17 mars 1998L’Agence du Médicament autorise l’importation, en ATU nominative, du Nabilone, un antivomitif à base de cannabis synthétique utilisé depuis vingt ans en Grande Bretagne dans le cadre de chimiothérapies.
De nombreux malades soignés par chimiothérapie s’étaient plaints auprès d’Act Up-Paris du peu d’efficacité de la gamme d’antiémétiques actuellement disponibles en France. Des vomissements, souvent spectaculaires, les empêchaient de poursuivre leur trithérapie durant le traitement de leur (...) -
Séropos, refusez l’AZT en première intention
12 janvier 1998L’AZT (Rétrovir®) ne devrait plus être prescrit en traitement initial aux personnes atteintes par le VIH.
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l’AZT, historique
12 janvier 1998L’AZT a été synthétisée en tant qu’anticancéreux en 1964 mais n’a pas été utilisé du fait de sa faible activité anti-tumorale. Son activité antivirale est démontrée en 1974 sur le rétrovirus de la leucémie murine de Friend et sur la réplication du VIH 1 en 1985.
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l’hôpital Hôtel-Dieu de Paris complice du sida
30 octobre 1997C’est ainsi que les 18 et 24 septembre 1997, le service d’urgence a refusé de prendre en considération la demande de deux personnes ayant téléphoné suite à une exposition au VIH due à une rupture de préservatif.
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rapport Dormont : Act Up-Paris exige un nouveau système d’élaboration des recommandations thérapeutiques
8 octobre 1997Le 9 octobre 1997, le rapport du groupe Dormont d’actualisation des recommandations en matière de traitement du VIH sera rendu public. Act Up-Paris se félicite de ce que les avancées thérapeutiques de ces derniers mois soient enfin rassemblées d’une façon claire et cohérente. Act Up-Paris regrette cependant un flou persistant sur trois points.
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Act Up-Paris dénonce le coup médiatique de Bernard Kouchner
29 juillet 1997Le 24 juin dernier, Act Up-Paris dénonçait publiquement l’inégalité d’accès au traitement prophylactique après une exposition au VIH.
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exposition au VIH : l’Etat organise l’inégalité des droits
24 juin 1997Le dispositif de prophylaxie mis en place par la note 666 est inégalitaire. Il ne s’applique qu’aux professionnels de santé. Il exclut donc la quasi-totalité de ceux qui sont effectivement exposés au VIH, c’est-à-dire les milliers de victimes d’accidents de capote et les usagers de drogue ne disposant pas de matériel propre.