Etude ouverte, non-comparative, de phase IV exploratoire évaluant l’imiquimod crème à 5% dans le traitement des condylomes ano-génitaux externes chez des personnes séropositives et traitées par HAART.
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papillomavirus (HPV)
Famille de virus à ADN. L’infection à papillomavirus est extrêmement répandue, elle fait partie des IST. Son dépistage et son suivi sont importants, particulièrement chez les séropositifVEs, car elle provoque parfois l’apparition de condylomes qui peuvent être à l’origine de cancers du col de l’utérus ou de l’anus.
Articles
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1456 imiq
20 octobre 2002 -
HPV : fellation, cancers et vaccins
6 décembre 2007S’il est la cause d’infections bénignes telles que verrues plantaires ou de condylomes acuminés (crêtes-de-coq), le Papillomavirus Humain (HPV) se décline en différentes souches plus ou moins virulentes. Aujourd’hui, il existe un vaccin, mais quelle est son action ?
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NoKpote = infections sexuellement transmissibles
14 juin 2004Les infections sexuellement transmissibles (IST) sont en pleine recrudescence en France. Cette réapparition des IST est préoccupante car elle indique que le risque de transmission du VIH est aussi augmenté, notamment chez les gays.
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Brièvement
Erratum Une coquille s’est glissée dans la fiche sur la Cohorte Vighy publiée dans le dernier numéro de Protocoles. Dans le paragraphe qui peut particper à cette cohorte, il fallait lire : « Les femmes consultant en gynécologie, vivant avec le VIH-1, ayant AU moins 18 ans » et non « ayant moins de 18 ans ».
papillomavirus au masculin Les résultats d’une étude récente, menée par Merck, indiquent que le vaccin Gardasil visant à une protection contre 4 sous-types du papillomavirus humain (...) -
Le Vaccin HPV
31 décembre 2006Les infections à HPV génitaux sont contractées rapidement après l’entrée dans la vie sexuelle, mais ce n’est pas systématique. Entre 50 et 75 % des jeunes femmes (15-44 ans) sont ou ont été porteuses d’une infection génitale à HPV. Comme du point de vue épidémiologique, la majorité des cancers à HPV sont du type cancer du col de l’utérus, il est apparu logique aux développeurs de vouloir cibler en priorité les femmes et, du fait du mode et du moment d’infection, plus particulièrement les adolescentes et préadolescentes pour une vaccination anti-HPV.
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Cancer anal & VIH
11 février 2013L’infection par le VIH augmente le risque de développer un cancer anal. Deux publications récentes sur le cancer anal précisent la situation chez les personnes séropositives en France et aux Etats-Unis. Voyons plus en détail ce que disent les chiffres, notamment entre hommes et femmes.
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Attention, cancer en vue
20 octobre 2002L’infection à papillomavirus est une MST très fréquente, mais c’est aussi un facteur de risque du cancer du col de l’utérus et du canal anal, cancers auxquels les séropositifs semblent particulièrement exposés. Or, si le dépistage et les risques des pathologies du col de l’utérus (cervicales) sont à présent bien établis, on ne peut pas en dire autant de celles du canal anal. Quelles sont les différences entre ces deux situations, à quels risques sont spécifiquement exposés les séropositifs, quels progrès sont à apporter à l’heure actuelle ? C’est ce à quoi nous essaierons de répondre dans ce dossier.
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Et toujours
31 mai 2008PACTG 1047
Prévention des infections à HPV chez les personnes infectées par le VIH.
Les premiers résultats encourageants d’un essai de vaccination préventive avec le Gardasil® contre les infections aux papillomavirus humains (HPV) chez les personnes vivant avec le VIH ont été présentés sous forme de poster à la dernière CROI (Conférence internationale sur les rétrovirus et les infections opportunistes) de février 2008 à Boston.
Les infections à HPV peuvent parfois persister dans (...)