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DO
Déclaration obligatoire. Anciennement Déclaration obligatoire de sida (DOS), cette déclaration concerne certaines maladies listées par décret, par exemple : la séropositivité au VIH. C’est sur cette déclaration qu’est fondé le système de surveillance épidémiologique actuel. Auparavant, seul le sida avéré faisait l’objet d’une déclaration obligatoire. La DO est en vigueur depuis 2003.
Voir le site de l’InVs : www.invs.sante.fr.
Articles
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Edito
, par Emmanuelle Cosse
Voilà ce que je ressens actuellement dans l’ensemble du milieu sida, et notamment à Act Up. Partout je vois des militants usés, exaspérés par cette histoire qui se répète : des pouvoirs publics peu mobilisés et toujours à la traîne, des administrations sourdes face aux malades, des laboratoires cyniques.
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Une épidémie anormalement élevée : aucune annonce sérieuse en termes de prévention
27 novembre 2006
Le 27 novembre 2006, l’InVS (l’Institut national de Veille Sanitaire) vient de rendre public les données de la Déclaration Obligatoire de Séropositivité (DOS). Le nombre de nouveaux diagnostics de séropositivité en 2005 (6 700) est équivalent à celui de l’année précédente et montre que l’épidémie de sida se maintient, en France, à un niveau anormalement élevé. Il n’y a jamais eu autant de personnes vivant avec le VIH/sida qu’aujourd’hui. Mais c’est chez les gays que ces nouvelles données sont les plus alarmantes.
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L’Institut de veille sanitaire n’assure pas son travail de veille et d’alerte
9 juin 2004
Act Up-Paris a zappé aujourd’hui mardi 8 juin l’Institut National de Veille Sanitaire (INVS). Cette administration était censée assurer une médiatisation importante des chiffres extrêmement inquiétants de l’infection à vih/sida. Or, en dehors d’une diffusion sur le site de l’INVS, aucune publicité n’a été entreprise.
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Jospin : sida, connais pas
7 février 2002
Aujourd’hui, mercredi 6 février 2002, une vingtaine de militants d’Act Up-Paris occupent le siège national du Parti Socialiste, à Paris, pour dénoncer ce blocage politique du nouveau dispositif de surveillance de l’épidémie de VIH/sida.
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Droits des malades
Les dossiers de l’année : CMU, asssurance, DOS.
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Édito
Alors que l’observance est plus ou moins facile selon les malades et les thérapies, alors que les effets secondaires des traitements sont toujours aussi handicapants, alors que les chiffres des personnes en échappement thérapeutique sont plus qu’alarmants, les Minstères agissent comme si l’épidémie de sida était désormais réglée et ne suscitait aucune action urgente de leur part. Leurs intentions sont clairement exprimées : il s’agit de revenir sur les droits accordés depuis quelques années aux personnes vivant avec le VIH en proposant des réformes visant à une réduction des prestations offertes. A l’opposé, le secteur privé (assureurs, employeurs ...) continue de considérer les malades comme des indésirables, soit dangereux, soit trop prompts aux congés maladie, à l’invalidité.
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Le contenu du secret médical
1er avril 2010
Le secret médical porte sur les éléments connus du/de la médecin dans l’exercice de sa profession, mais aussi sur ce qu’il/elle a pu comprendre ou interpréter lors d’une consultation. Mais, même en dehors des pathologies, les médecins sont tenuEs de respecter l’anonymat et la vie privée de leur patientE.