Depuis l’apparition des premiers antirétroviraux, Act Up-Paris favorise la mise à disposition des nouveaux traitements, répondant aux besoins des malades dont le virus devient résistant, ou présentant moins d’effets indésirables et plus de simplicité dans leur gestion quotidienne. Notre exigence n’a pas varié au cours du temps : nous nous battons pour obtenir la meilleure prise en charge des personnes atteintes, celle qui leur garantit la meilleure qualité de vie.
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laboratoire Schering Plough
Articles
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La sécurité des malades n’est pas à vendre
1er décembre 2004 -
Schering-Plough nous fatigue, vraiment
23 septembre 2002Aujourd’hui en France, 40 % des personnes séropositives au VIH sont atteintes d’une hépatite virale (B, C, ou D) et toutes peuvent à un moment de leur infection nécessiter une prescription d’interféron pégylé. Parmi ces personnes coinfectées, environ 30.000 sont infectées par le VIH et le VHC, et sont susceptibles d’être traitées par une bithérapie spécifique d’interferon pégylé et de ribavirine.
Des effets secondaires plus importants, des résultats moins favorables Les notices (...) -
Schering-Plough ment aux malades
14 octobre 2002Aujourd’hui, lundi 14 octobre 2002, une vingtaine de militants d’Act Up-Paris ont investi les locaux de Schering-Plough à Levallois-Perret pour dénoncer le mépris du laboratoire vis-à-vis des patients co-infectés au VIH / sida et à l’hépatite C.
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nausées
9 février 2002Deux ans avant son autorisation de mise sur le marché (AMM), le laboratoire Schering Plough vantait déjà sur toute la planète l’arrivée de son traitement miracle contre l’hépatite C : le PEG interféron.
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Act Up-Paris dénonce une stratégie commerciale cynique qui réduit la palette de prescription du médecin et la liberté de choix du patient
19 octobre 1998En ce moment-même, le laboratoire Schering-Plough manoeuvre pour obtenir l’Autorisation de Mise sur le Marché (AMM) du Rebetron, un pack de deux médicaments contre l’hépatite C : l’interféron (Introna), sous forme injectable ; et la ribavérine, (Rebetol), sous forme de cachets.
En France, le seul traitement contre l’hépatite C est l’interféron alpha en injection sous-cutanée. Cette molécule rudimentaire ne produit que de piètres résultats et de lourds effets secondaires, situation (...) -
Les usagers de drogues occupent le stand de Schering-Plough à la conférence de Genève
2 juillet 1998Jeudi 2 juillet, vers 15 heures, une quinzaine de militants d’Act Up-Paris ont occupé le stand de Schering-Plough.
Après 6 mois de négociations infructueuses, Act Up-Paris a décidé de déclarer la guerre à Schering-Plough qui oppose une fin de non-recevoir à ces revendications. Schering-Plough discrédite la substitution avec un produit hégémonique et dangereux.
Le laboratoire Schering-Plough a conquis une position monopole sur la substitution en France : produit joué contre les autres (...) -
Schering Plough profite à mort
Depuis 1996, Schering Plough prospère en France grâce au marché que lui offre la prohibition des drogues : 150 000 à 200 000 usagers de drogues par voie intraveineuse constituent le réservoir d’utilisateurs potentiels de ses produits.
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Le classement du Subutex abandonné. Et après ?
Le Ministre de la Santé a décidé de ne pas reclasser le Subutex dans la catégorie des produits stupéfiants. Il a finalement entendu les associations qui avaient fait front contre ce projet et choisi de ne pas suivre la MILDT qui était à l’origine de la proposition. Il s’agit d’une victoire importante et d’un désaveu pour Didier Jayle, président de la MILDT, qui paie ainsi son incapacité à mettre en oeuvre un processus de concertation. Mais il faut maintenant que nous transformions cette « non-défaite » en victoire en réfléchissant à des évolutions possibles des traitements de substitution qui s’appuient réellement sur les besoins des usagerEs.
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Schering plough ou le mépris
9 octobre 2004Depuis deux mois, les associations ont entamé un bras de fer avec Schering Plough afin de modifier les critères d’inclusion de leur essai sur une nouvelle molécule prometteuse : le SCH-D.
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sida, la course aux molécules
14 avril 2005, par Corinne Taéron, Hugues FischerAujourd’hui, on a le droit de s’interroger sur l’avenir du mouvement associatif de lutte contre le sida et sur notre alliance objective avec l’industrie pharmaceutique, tant nous avons réclamé la même chose pour des raisons différentes : l’accès le plus rapide possible à des molécules antisida, des antirétroviraux. Il n’en reste pas moins vrai que les routes des activistes et des firmes pharmaceutiques sont immanquablement divergentes, et seul un effet d’échelle a pu permettre de les confondre un temps donné. Récemment, des événements sont venus catégoriquement démentir cette confusion.