Face à l’épidémie d’hépatites virales, l’inertie règne et chacunE rejette la faute sur les autres. Et pourtant il y a urgence, comme en témoigne les résultats présentées le 13 septembre 2005 à Paris lors de la journée « Prise en charge de la cirrhose chez les patients co-infectés », organisée par l’ANRS.
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prise en charge thérapeutique coinfection VIH/hépatites
Articles
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Prise en charge de la cirrhose chez les patientEs co-infectéEs
1er décembre 2005 -
Edito
1er mars 2005En 2002, lors de la conférence européenne de consensus sur l’hépatite C, un acquis essentiel a été obtenu en termes d’accès aux soins des malades. Les usagèrEs de drogues ont eu la possibilité d’accéder à un traitement malgré un usage de drogues actif, tout comme pour le VIH. Il serait assassin de remettre en cause cet acquis puisque nous savons que c’est l’accès aux soins des infections virales qui peut favoriser par la suite, une prise en charge des problèmes d’addiction, si nécessaire.
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GILEAD REFUSES ACCESS TO TREATMENT TO SERIOUSLY ILL HEPATITIS C PATIENTS
25 July 2013GILEAD REFUSES ACCESS TO TREATMENT TO SERIOUSLY ILL HEPATITIS C PATIENTS
People living with HCV who are in a urgent need of new treatments should get an early access to compounds that are in their latest stage of development, and therefore not yet on the market. The French early access system called ATU (Temporary Authorization of Use) allows this early access.
The French national regulation agency (Agence Nationale de Sécurité du Médicament, ANSM) has granted patient name-based (...) -
Edito
La théorie de la relativité nous rappelle que rien ne dure, tout est relatif. Une bonne prise en charge, un traitement efficace, une guérison, toutes ces notions évoluent dans le temps. Une chose ne change pas, c’est la fragilité des malades et le sens du mot « guérison », ainsi que le respect et l’humilité qu’y accorde certains médecins.