Des données épidémiologiques exponentielles et pourtant très sous-estimées, des traitements accessibles à moins de 1% des séropositifs des mesures discriminatoires inscrites dans la loi qui excluent les premiers touchés (usagers de drogues et prostituées), un accès à l’information et au matériel de prévention inexistant, une répression de l’usage de drogues qui éloignent les usagers de l’échange de seringues, les traitements de substitution interdits, de gigantesques prisons mouroirs... La Russie est au bord du gouffre.
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