Le 16 juillet, 33 organisations du Collectif Non à EDVIGE se sont réunies pour dénoncer le décret du 27 juin 2008 créant le fichier EDVIGE (Exploitation Documentaire et Valorisation de l’Information Genérale) et ses attaques contre les droits et les libertés publiques (fichage des militants) et individuelles, contre les droits des enfants (fichage des mineurs), contre le respect de la vie privée (vie sexuelle, état de santé, comportements...), et pour organiser la riposte.
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judiciarisation des actions militantes
Articles
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Communiqué du Collectif Non à EDVIGE
17 juillet 2008 -
Procès Pussy Riot : réaction d’Act Up-Paris
17 août 2012Act Up-Paris condamne le jugement rendu aujourd’hui contre Nadejda Tolokonnikova, Ekaterina Samoutsevitch et Maria Alekhina, les trois chanteuses du groupe Pussy Riot.
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la régression
1er décembre 2005Le sida a été déclaré grande cause nationale pour 2005. Pourtant, pour nous,
acteurs et actrices de la lutte contre la pandémie, la régression est
partout. Régression des moyens accordés, régression des droits des malades
et des populations particulièrement vulnérables, régression de la
mobilisation, régression des réflexes de prévention : tout concourt au
désespoir et à la solitude des personnes séropositives et de celles et ceux
qui se battent à leurs côtés. -
il faut aider Philippe
24 octobre 2001Il y a quatre ans, en septembre 1997, nous écrivions des choses très simples, dans un tract distribué lors d’une manifestation pour la réouverture de cinq établissements gays, fermés parce que des drogues y avaient été vendues
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Act Up-Paris relaxée : une victoire pour la démocratie, le droit des malades et la critique des accords internationaux
1er juillet 2014Aujourd’hui, la dix-septième chambre du tribunal de grande instance a rendu sa décision dans le cadre de l’affaire Muller-Guyot contre le président d’Act Up en 2010. Act Up-Paris a été innocentée de l’accusation de diffamation qui pesait sur elle. Il s’agit là d’une victoire pour la démocratie, le droit d’interpeller les responsabilités des fonctionnaires, le droit des malades.
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Chronique d’une garde à vue ordinaire
1er février 2005À peine dix minutes après le début de l’action du 30 novembre, les 8 militantEs étaient interpelléEs, emmenéEs au commissariat de police du VIIIème arrondissement et immédiatement placéEs en garde à vue. LibéréEs 24 heures plus tard, juste à temps pour aller zapper le siège de l’UMP et participer à la manifestation du 1er décembre. Les huit militantEs se sont vuEs inculpéEs pour « dégradation volontaire d’un bien classé ou inscrit » ayant entraîné un « dommage grave ».
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Communiqué judiciaire
« Par arrêt rendu le 3 avril 2008, la Cour d’appel de Paris 11ème chambre B a condamné
Jérôme MARTIN pour avoir publiquement diffamé Colette CHILAND au moyen d’un tract
édité par l’association ACT UP PARIS et distribué sur la voie publique le 10 juin 2005 ». -
Huit membres d’Act Up-Paris en procès le 27 janvier : appel à rassemblement
27 janvier 2005Le jeudi 27 janvier, huit membres d’Act Up-Paris passeront au Tribunal de Grande Instance de Paris au motif « d’avoir volontairement dégradé un bien classé ou inscrit, le palais de l’Elysée (monument historique), appartenant à la présidence de la République, dégradation dont il est résulté un dommage grave [...] ». En 15 ans d’activisme, c’est la première fois qu’une action d’Act Up-Paris contre une institution publique conduit à un procès de ce type.
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Trois militantEs d’Act Up-Paris en garde à vue : la criminalisation de la protestation se confirme
14 février 2005Trois militantEs d’Act Up-Paris ont été arrêtéEs et placéEs en garde à vue à la fin d’une action visant le siège de l’UMP.
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Act Up-Paris innocentée par le tribunal correctionnel
3 février 2014C’est une victoire presque totale que fêtent les militantEs après près d’un an et demi de procédure judiciaire.