En refusant d’abroger les lois Pasqua et Debré comme il s’y était pourtant engagé, le gouvernement a décidé de maintenir une législation qui se base sur la suspicion à l’égard des personnes étrangères.
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Étrangers
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Loi chevènement
11 juin 1998 -
Chevènement démission
17 avril 1998Aux cris de "Chevènement réveilles-toi, les sauvageons sont là" et "Chevènement démission, arrêt des expulsions", les militants d’Act Up-Paris ont, vendredi 17 avril, réveillé à son domicile Monsieur Jean-Pierre Chevènement.
Les militants ont été interpellés par les forces de l’ordre et amenés au commissariat, pour être ensuite relâchés 4 heures plus tard.
Act Up-Paris entendait ainsi dénoncer les propos tenus, à plusieurs reprises, par le Ministre de l’Intérieur. A propos des (...) -
Act Up-Paris soutient les sans-papiers
18 mars 1998Tandis que les sans papiers s’apprêtent à commémorer le deuxième anniversaire de l’occupation de Saint Ambroise, M. Chevènement rend hommage aux méthodes répressives de son prédécesseur.
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Le Ministre de l’Intérieur instaure un tri entre les bonnes associations et les associations indésirables.
6 mars 1998Act Up-Paris invite les associations de défense des étrangers à résister.
Dans l’indifférence générale, la loi Chevènement a été votée mardi soir à l’Assemblée Nationale. En première lecture, les députés avaient souhaité supprimer enfin le délit de solidarité. L’article 10 bis protégeait contre des poursuites les " associations à but non lucratif qui apportent aide et conseils à un étranger [ en situation irrégulière ], et en particulier les associations qui viennent en aide aux (...) -
rétention de sans-papiers : cela arrive aussi à Melun
23 octobre 1997Le 23 octobre à 9h, la Coordination nationale des sans-papiers, soutenue par Act Up-Paris et d’autres organisations engagées dans le combat des sans-papiers, ont investi les locaux de la préfecture de Melun.
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Le Préfet de police de Paris prétend empêcher une manifestation réclamant la régularisation des sans-papiers
16 octobre 1997Depuis le 15 octobre, la préfecture de police de Paris fait obstacle à un rassemblement prévu vendredi 17 octobre pour réclamer la régularisation des sans-papiers et l’abrogation des lois Pasqua-Debré.