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Près de six mois après les manifestations sans précédent qui ont secoué les Antilles françaises, Nicolas Sarkozy s’est envolé pour témoigner du « calme après la tempête ». Seule conclusion à en tirer : dès qu’il s’agit de sujet d’importance, le Président de la République a pris habitude d’arriver sur le terrain après la bataille , notamment quand sa politique est soumise à la contestation publique. [lire la suite]
Sans vouloir s’enfermer dans un esprit commémoratif, marquer ces 20 ans vont permettre de dénoncer le fait que l’association a besoin d’exister encore auprès du grand public, de faire valoir son expertise ; de mettre en avant les victoires mais aussi, et surtout, surtout les combats encore nombreux à mener. [lire la suite]
Le slogan choisi par Act Up-Paris pour la manifestation du 1er décembre 1997 (voir ci-dessus), est explicite. En effet, des textes légaux ou réglementaires condamnent certaines personnes à la clandestinité, et les exposent ainsi à plus de risques sanitaires, dont ceux liés au VIH ou aux hépatites virales. [lire la suite]
Dès la création d’Act Up-Paris, la question de la recherche a toujours été cruciale, l’accès aux traitements encore inexistant, a fait l’objet de nombreux zaps. Aujourd’hui encore si l’action publique est moins nécessaire, la question des traitements et des effets indésirables reste l’une de nos prioncipales préoccupations. Faire entendre le point de vue des malades, faire face au corps médical, affronter l’industrie pharmaceutique, obtenir la mise en place des accès compassionnels (l’accès à des médicaments avant leur autorisation de mise sur le marché) sont les premiers combats que nous menons. [lire la suite]
Le COREVIH est un acteur à part entière de la démocratie sanitaire et tient un rôle plus qu’important dans la mise en places des politiques de lutte contre le sida. [lire la suite]
A peine six mois après sa création Act Up manifestait déjà sur la question des femmes devant le Congrès « Femme et Enfant face au sida », sous la banderole : Agir pour ne pas mourir. Act Up connaît bien la question des minorités, des homosexuelLEs, des femmes, des usagerEs de drogues, des étrangerEs, des prostituéEs. [lire la suite]
L’Onusida estime que le nombre de personnes vivant avec le VIH s’élèvera à 33 millions fin 2009. À cette même date, au moins 70 % des personnes qui auraient besoin d’un traitement n’y auront pas accès. Les premiers responsables ? Les grands laboratoires de marques, qui imposent des prix exorbitants et s’opposent à la concurrence des génériques, mais aussi les pays riches, parmi lesquels la France, dont les contributions financières à la lutte contre le sida dans les pays du Sud restent totalement insuffisantes, et qui font pression pour que les pays pauvres n’aient pas recours aux médicaments génériques. [lire la suite]
Aujourd’hui, 22 % des personnes vivant avec le VIH en France n’ont pas de logement et 1 personne sur 2 vit en dessous du seuil de pauvreté. Lutter contre le VIH, c’est lutter contre la précarité, contre les discriminations et pour les droits des personnes. [lire la suite]
Depuis 1999, des membres de la Commission Droits Sociaux tiennent une Permanence Juridique à Act Up-Paris tous les mercredis après midi. [lire la suite]
Dès sa création en 1989, Act Up-Paris a dénoncé, par la contestation et l’action, le sempiternel retard pris par la France en matière de prévention. Originellement issuEs de la communauté gay, et premierEs à avoir été touchéEs par l’épidémie, nous ne pouvons tolérer le peu de mobilisation des pouvoirs publics face au nombre de nouvelles contaminations qui ont lieu chaque année. [lire la suite]
Un pays qui ne reconnaît pas les identités de genres, l’homosexualité ou qui les pénalise, exclut les lesbiennes, gais, bi et trans’ (LGBT) des politiques de prévention et d’accès aux soins. Il les précarise en les discriminant. C’est un fait avéré, le VIH/sida touche plus les personnes LGBT dans les pays qui les pénalisent. [lire la suite]
La commission trans’ d’Act Up-Paris a été crée il y a sept ans par une femme trans’ séropositive et un garçon trans’ seroneg, touTEs deux membres d’Act Up-Paris depuis des années. [lire la suite]
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